Celtic valley

Étonnamment l'anglais obéit bien et ne se montra pas désagréable même rendu dans la chambre. Il l'observa se débarbouiller et le trouva même intéressant. Il avait bien aimer l'avoir avec lui, contre lui, enfin.... l'agripper, quoique ... ah!!! Et puis le voilà poli et qui ouvrait sa bourse pour le payer. Il allait quand même prendre des pièces .... ah!!! Rien à faire il avait besoin de ! Complètement enfin, il traversa la pièce pour le rejoindre et referma sa grand main d'homme de la terre sur celle du noble l'empêchant ainsi de prendre son argent. Il plongea son regard dans le sien, puis il hésita. C'était son ennemi juré! Le seigneur qu'il s'était juré de tuer et il avait un penchant pour lui! Non jamais! Il !!!!


- Ni l'une ni l'autre, je préférai ...


Non il allait pas le dire! Pourtant son corps n'était que traîtrise, sa main libre glisser sur la joue Liam, ses lèvres l'attiraient ! Mais Loic était écossais! il allait quand même pas sauter l'anglais! Mais il en avait tellement envie. Il effleura ses lèvres, il avait chaud et il alla jusqu'à se mettre torse contre torse, mais il devait résister, il ne devait pas c'était l'ennemi!! Il voulu se décoller son hésitation était flagrante. Il ne pourrait pas résister, il devait s'en aller, il devait se retirer, aller ailleurs maintenant. Il avait fait ce pourquoi il était venu, avoir des informations, non il était là pour le tuer, mais pas ici, après demain, si ... !!!!

Liam était bien décidé à tenir sa promesse : il allait payer Loïc pour son aide ! C’était une question d’honneur.
Et puis après tout, qu’est-ce qui pouvait plus intéresser un écossais que de l’or ? Il savait pertinemment que c’était tout ce qu’ils visaient…
Mais la main puissante de son compagnon se referma sur la sienne alors qu’il ouvrait sa bourse et Liam releva un regard un peu étonné sur Loïc, essayant de comprendre ce qui se passait.
Il ne croisa que les deux prunelles perdues de Loïc, qui semblaient plongées dans un grand trouble intérieur. L’anglais fronça les sourcils, ne comprenant pas ce qui se passait et fut surpris de la réponse de Loïc.
Il ne voulait pas être payé en or ? Mais…

La main qui glissa sur sa joue stoppa toute réflexion un peu trop poussée. Loïc se rapprochait de lui dangereusement, mais Liam commençait à aimer vraiment ça ! Aussi fou que cela paraisse, il avait envie de cet écossais !
Il savait que ce n’était qu’un paysan, un rustre mais… Il mourait d’envie de lui enlever ses vêtements et de le laisser le caresser à sa volonté.
L’hésitation troublé de Loïc n’échappa pas à Liam et ce dernier, obéissant à son instincts et à ses envies, fit le premier geste. Il se hissa un peu sur la pointe des pieds et, sa main coulant sur la nuque de Loïc, il l’attira à lui pour capturer ses lèvres dans un baiser passionné et fougueux.

Et lorsqu’il s’écarta, à bout de souffle, il murmura :

« Alors laisse-moi te payer en nature… Avec mon corps. »

Il sourit légèrement et donna un petit coup de bassin à l'écossais, cherchant à l'exicter davantage. Il sentait que Loïc était à deux doigts de craquer... Il serait à lui. Il serait à lui pour cette nuit et ensuite il l'oublierait comme s'il ne l'avait jamais croisé....

L'écossais complètement chaviré fut ainsi obligé d'embrasser cette bouche de menteur et d'anglais, de sale .... torride et bon, tendre et délicieuse lèvres, il libéra la main de ce dernier pour glisser ainsi ses deux mains contre le visage doux et jeune de Liam pour approfondir se baiser fondant toute sa résistance contre cet être rouge. Il goûta sa bouche et enfouie sa langue en elle jusqu'à ce que sentant sa proie glisser plus loin, il le regard sachant qu'il ne pourrait plus retourner en arrière et sortir sans prendre au corps cette homme qu'il voulait. Oui c'était ça qu'il voulait, mais c'était un anglais, mais ce coup de reins qui vint se coller à lui langoureusement fit le reste et ces mots si cru si pervers était la souffle sur la braise.

- C'est ce que je voulais.

Il allait prendre le corps de son ennemi contre lui, le voir nu et l'avoir à sa porter et au lieu de le tuer, le prendre pour entendre cette bouche gémir! Oui! Parfait. Il glissa ses mains sur son corps tira sur les pans de sa chemise, frôlant sa peau du bout de ses doigts, alors qu'il embrassa de nouveau ses lèvres, glissant sa langue sur les commissures de sa bouche, avant de s'écarter lentement pour l'attirer à lui et glissant son bras autour de sa taille, raffermir sa prise et ainsi glisser son autre main à même la courbure de ses fesses.

- Tu seras un vrai paiement et même plus.

Il le retourna alors, relevant le visage de l'anglais pour qu'il se voit dans le reflet du miroir ainsi enlacé par un écossais alors que une main baladeuse continuait de folatrer sur sa ceinture et sa chemise, se glissant sous les tissus pour énerver la peau blanche du noble, alors qu'il pressait son bas ventre contre le bas du dos de son partenaire de la nuit. Loic était autant échauffé par l'alcool que par la beauté que cachait l'anglais, si seulement c'était pas un anglais!

Loïc répondit à son baiser avec un enthousiasme qui n’échappa pas à Liam. Il savait qu’il avait gagné cette partie : l’écossais craquait sous les assauts de sa langue, laissant tomber ses hésitations et pliant sous le poids du désir qui naissait entre eux.
Il sentit ses mains se poser sur son visage, délicieusement possessive et pour une fois qu’il ne semblait pas dominer, Liam ne s’en offusqua pas. D’habitude il était toujours seme, détestant qu’on le domine mais là… Loïc était plus vieux que lui, plus grand, plus fort… Il ne serait définitivement pas seme… Mais bizarrement cela l’excitait encore plus.

Il lui murmura qu’il aurait son corps en paiement et le sourire de l’écossais ne lui échappa pas. Bien sûr que c’était ce qu’il voulait, malgré son enivrement, Liam avait bien aperçu les regards que Loïc posait sur lui. Ces regards brûlants, emplis de désir… Ces regards qui ne demandaient qu’à le déshabiller. Il frissonna rien qu’à leur souvenir.

Les mains baladeuses de Loïc se glissèrent sous sa chemise et il gémit doucement, s’amusant à provoquer un peu plus son compagnon, mais ses lèvres furent bientôt happées dans un nouveau baiser auquel il se prêta volontiers, n’attendant que cela.
Il se cambra en sentant une main glisser sur ses reins et il sourit à l’écossais, murmurant à son tour d’une voix terriblement sensuelle :

« Mon corps pour cette nuit… Tout ce que tu voudras… »

Liam savait parfaitement exciter ses partenaires et il se doutait que cette phrase ne laisserait pas l’écossais de marbre. Au contraire, que son sang bouillisse dans ses veines, qu’il le brûle au point de le pousser à le prendre sauvagement. Liam n’attendait que cela !
Il fut retourné et son visage ainsi relevé, aperçut son reflet dans le miroir…
Lui, enlacé par…
Il aurait bien dit écossais en cet instant, mais ce n’était plus tout à fait la vérité. Une fois perdu dans les jeux du sexe, l’anglais oubliait ces détails insignifiants. Une fois nus l’un face à l’autre, ils n’étaient plus que deux hommes, et c’était tout.
Lui, enlacé par un homme magnifique aux yeux de braise.

Il gémit brusquement, réclamant davantage de caresses. Les mains de Loïc n’étaient pas assez audacieuses, il voulait plus. Ils commençaient à peine et il était déjà affamé de Loïc.
Il porta ses mains à sa chemise et doucement, regardant son propre reflet dans le miroir, il déboutonna le vêtement, se faisant sensuel, donnant un spectacle des plus intéressant à son compagnon.
Il ondula légèrement des hanches, frottant son bassin à celui de l’écossais qui le collait et bientôt, sa chemise tomba au sol, révélant un torse imberbe magnifique, taillé par les entraînements et légèrement coloré par le soleil.
Il sourit, fier de lui et murmura :

« Alors, ton prix te plaît ? »

Ce gémissement. Si délicieux. Il voulait encore l'entendre. Certes il n'était pas très audacieux, entreprenant, mais il avait quand même contre son corps, sous ses mains un ... homme terriblement séduisant, désirable et chaud! Mais alors qu'il refermait ses mains calleuses d'homme à la vie rude sur les hanches masculines, viriles, pour le presser contre lui alors qu'il pensait déjà à ce qu'il pourrait trouver une fois l'avoir dénudé, mais Liam fut plus rapide et pour son regard river au sien à travers la surface lisse du miroir, il le vit défaire sa chemise lentement, se montrant petit à petit pour ensuite être torse nu pour lui. Doré et imberbe! Il remonta rapidement ses mains sur son torse pour venir frôler sa chair sensible et offerte qui se démarquait sur son torse, les pinçant entre ses doigts d'abord délicatement, comme pour cueillir une bourgeon, puis un peu plus vicieusement alors qu'il cherchait à savoir si son paiement lui plaisait.

- Hum... il me plaisait déjà à table. Alors oui, cette nuit, tu seras à moi et je ne prévois pas ... dormir.

Il glissa ses mains ensuite sur lui, profitant du moment pour le palper avec vigueur, alors qu'il découvrait toute la texture de ses abdominaux délicats pour aller le chercher par les flans et ainsi l'agripper par la ceinture, tout en gardant son visage contre les cheveux bruns de son partenaire, glissant ses mains à la limite du tissu, frôlant ainsi la tentation de se glisser entre la chaleur de sa peau et ce pantalon qui le privait de bien des choses. Et puis pourquoi pas?

Subitement, comme si il en avait assez de jouer, il agrippa la boucle de la ceinture du noble pour presque la lui arracher et ainsi faire tomber le tissu à leur pied. Le mettant finalement nu et offert à son regard pénétrant et vicieux, rempli de convoitise alors que lui-même portait encore les siens. Avec un sourire qui en disait long, il glissa un bras puissant autour de la taille de jeune homme pour le maintenir contre lui tandis que d'une main il releva son kilt pour ainsi découvrir un membre tendu sous le désir refouler d'un corps, trop longtemps garder affamé de chair. Pressant ainsi son désir impérieux contre lui.

Mais bon il n'était pas qu'un barbare d'écossais, même si le terme le définissait bien pour l'heure. Mais ce n'était que leur première joute, le reste aurait plus de chaleur si la chose eut été possible, mais là à trop se contenir, il n'en pouvait plus et la liberté était ce qu'il désirait le plus ardemment possible alors, se frottant sans cesse contre cette nuit impromptue, il se glissa entre les deux rondeurs blanches qui démarquait ainsi ce corps qui était tout contre lui, pour une caresse pleine de promesse, alors que ce toucher était électrisant pour Loic, glissant parfois trop rapidement, et allant rejoindre ainsi cette intimité qu'il frottait pour ensuite passé brusquement aux bourses pour revenir en arrière et recommencer. Jouer avec le feu, jouer avec la braise jusqu'à ce que subitement la flamme jaillisse et ainsi redonne vie à un feu mort.

Liam ne savait pas si c’était l’alcool qui lui procurait cette sensation incroyable ou le corps chaud de l’écossais derrière lui, qui le collait avec une passion dévorante.
Ses mains glissaient sur lui, impudentes, réclamant davantage, et Liam était tout disposé à le lui offrir. Loïc était trop beau, trop attirant, trop sexy ce soir-là. L’anglais avait déjà couché avec des écossais mais généralement c’était lui qui était le dominant.
Mais avec Loïc, c’était lui le dominé et cela lui procurait des sensations extraordinaires… Il avait un peu peur mais l’alcool l’annihilait tout doucement et le plongeait dans une extase fiévreuse. Il avait envie de l’écossais…

Sa ceinture fut brutalement enlevée et son pantalon tomba, révélant son corps nu à leurs deux regards posés sur la vitre. L’anglais eut un petit frissonnement de plaisir, surtout quand il croisa le regard de Loïc posé sur lui.
Le bras de l’écossais le retint prisonnier mais Liam n’aurait de toute façon rien fait pour s’échapper. Bien au contraire.

Il sentit les mains de Loïc glisser jusqu’à son entrejambe et il poussa un petit gémissement surpris lorsqu’elles rencontrèrent son intimité. Il se tendit, le corps crispé dans l’attente de ce qui allait se passer, et pour mieux tenir, il posa ses mains sur la commode devant lui, agité par un soubresaut tendu lorsque l’écossais s’attaqua à ses bourses.
Il ferma les yeux, ne supportant plus de voir son visage s’empourprer dans la glace, et il gémit de plaisir lorsqu’enfin les mains se reposèrent sur son sexe. Celui-ci se dressait doucement, enhardi par ces caresses osées, et dans un mouvement plus prononcé, l’anglais donna un petit coup de bassin en l’air, derrière lui, encourageant Loïc à aller plus loin.

« Je… Je te veux… Loïc… »

Il ne se rendait même pas compte de ce qu’il disait ! L’alcool et le plaisir qu’il ressentait le plongeait dans une euphorie électrisante.
Il finit par agripper le bras de l’écossais et tenta de se dégager pour pouvoir se retourner, mais Loïc tenait bon, sans doute parce qu’il croyait qu’il voulait s’échapper et Liam finit par gémir. Il griffa soudain le bras de l’écossais, le forçant à le lâcher et il se retourna pour passer ses bras autour de son cou et pour capturer ses lèvres dans un baiser passionné.
Ses propres mains descendirent, profitant de la surprise de Loïc, et relevèrent le kilt de son compagnon, pour passer en-dessous et venir titiller son intimité déjà dressée et impatiente.

Liam sourit et se hasarda même à glisser un doigt entre les fesses de l’écossais, cherchant son intimité. Il avait toujours été dominant et ce sentiment était en train de revenir à grands pas…
Et si c’était lui qui prenait Loïc ?

Loic ne quittait pas des yeux le visage jeune et anglais de son partenaire, de ce comte ennemi des peuples qui semblait trop ivre mais terriblement excitant, ainsi nu et soumis à lui qui se tendait contre lui, dont les lèvres s'ouvraient pour laisser glisser quelques plaintes sortir alors que les joues rosirent sous les caresses qu'il lui faisait. Il le sentit vouloir se libérer, mais Loic ne le laisserait pas faire! Il allait être à lui cette nuit, cela allait être le paiement pour lui l'avoir sauver de l'humiliation publique. Il l'humilierait, l'obligeant à gémir et à quémander qu'il le domine! Se montrant plus sauvage, il dû néanmoins s'arrêter quand Liam le griffa pour être de nouveau libre. Intrigué l'écossait le dévisagea lorsqu'il se retourna.

Ce dernier vint contre lui pour l'embrasser avec passion alors qu'il sentit ses mains se glisser entre leur corps pour relever son kilt et reprendre en main sa chair dressée alors qu'un doigt osa se glisser entre ses fesses. Un espèce de plainte sortit de sa bouche presser contre la sienne avant qu'il se décide enfin à glisser ses mains d'homme sous la rondeur douce et juvénile de son ennemi pour le soulever brusquement et l'installer sur le meuble de bois, alors qu'il avait gardé la bouche de ce dernier prisonnier de la sienne. Il glissa ses mains jusqu'à ses cuisses qu'il écarta complètement pour se glisser entre elle, soulever son menton pour ainsi insinuer sa langue dans le palais de ce noble.

Continuant de l'embrasser, fougueusement passionnément goulument alors qu'il se permettait de caresser ses épaules son torse puis son ventre avant de glisser sur la peau de ses cuisses, ignorant volontairement le sexe de ce dernier jusqu'à ce qu'il revienne et alors qu'il préféra à son tour insinuer un doigt sous ce dernier pour venir titiller l'intimité de sa pute. Il allait le rendre ainsi avec plaisir. Puis il pressa ses chairs pour qu'elles s'écartent et lui donne accès à son antre, d'abord juste une phalange et finalement entra complètement son doigt en lui. Même si il ne l'aimait pas, il allait être un bon amant. Il le laissa d'abord reposer ainsi sans aller plus loin sans le bouger pour qu'il s'habitue à cette minuscule intrusion en lui. Se doutant seulement que le jeune homme avait dû jamais accepter de se livrer à quelqu'un.

Liam se laissait emporter par l’instant, l’esprit dérouté par l’alcool et le plaisir qui naissait en lui, dans le creux de ses reins. Il n’avait même pas peur, alors qu’il n’avait jamais été dominé. Il était totalement vierge dans ce genre de rapports et en temps normal il aurait tout fait pour redevenir dominant. D’ailleurs il glissa sa main sur les fesses de Loïc, glissant un doigt pour venir titiller son intimité, essayant de reprendre le cours des choses en main.
Mais l’écossais ne le laissa pas faire et finalement Liam abandonna lorsqu’il le sentit le soulever et le déposer sur le meuble de bois derrière lui, le rehaussant à peine au-dessus de lui. Ses cuisses furent écartées sans ménagement, alors que sa bouche était prisonnière des lèvres de Loïc, qui ne lui laissait même pas le temps de reprendre son souffle.

Liam commençait même à avoir un peu de mal à suivre le rythme, alors que l’air se raréfiait dans ses poumons. Mais Loïc se montrait exigeant, refusait de le lâcher, le poussait à bout… Il le caressait audacieusement et Liam se cambra en sentant ses mains glisser sur ses cuisses, l’excitant de plus en plus.
Et quand un doigt se glissa en lui, écartant ses chairs encore vierges, il gémit et tenta de repousser les lèvres de Loïc afin de reprendre un peu d’air. Il l’écarta de lui mais garda ses mains sur ses épaules, la respiration haletante.

Il sentait le doigt en lui, petite intrusion étrange mais pas encore désagréable. Bon sang c’était vraiment étrange de se retrouver dominé, et qui plus est par un écossais ! Liam commençait à se demander s’il ne faisait pas une bêtise, mais quand le doigt commença à bouger en lui et qu’il fut bientôt rejoint par un deuxième, toutes ses questions s’envolèrent et il se redressa sur le meuble, poussant un gémissement plus fort de plaisir et de douleur mêlés. Ses mains agrippèrent les épaules sous lui et sa bouche repartit s’emparer de celle de Loïc, essayant d’oublier l’intrusion en lui avec un baiser passionné.
Et quand il s’écarta légèrement de lui pour reprendre son souffle, il murmura, la voix fièvreuse :

« Je fais une bêtise… Je fais une énorme bêtise… »

Oui, l’alcool n’avait pas encore réussi à effacer tout doute en lui et ce dernier s’insinuait dans son esprit. Il ne savait plus s’il devait continuer ou pas.
Loïc l’attirait irrésistiblement mais il n’avait jamais été dominé, surtout par un écossais. Il ne connaissait même pas l’homme. Il ne savait même pas avec qui il allait coucher. Qui allait le dominer, et il commençait à avoir peur.

« Attends, attends… Je ne sais plus… Je… Tu es écossais… »

Il racontait n’importe quoi, mais ces doigts en lui étaient tellement bons… Il ne savait plus où il en était.

Loic le sentit hésiter, mais même si il s'éloignait de lui pour respirer il ne se calma pas pour autant et après avoir assuré sa prise, il entra un second doigt en lui bougeant avec des mouvements lents, mais profonds pour que sa chose comprenne bien ce qui allait suivre. Qu'il allait être à lui et qu'il allait cette fois devoir ramper sous le poids du plaisir qu'il déciderait ou pas de lui donner. Cela ne semblait d'ailleurs pas trop déplaire à l'anglais qui revint à la charge contre sa bouche, mais là encore il le sentit hésiter et demander l'arrêt, parce qu'il ne pensait faire une bêtise. Bien sur qu'il en faisait une de son point de vue ! Mais ça le chef des rebelles de la liberté ne le lui dirait pas. Cela serait bien trop amusant que sur un champs de bataille il le reconnaissait, et le voir rougir par les plaisirs qu'ils avaient connu ici. « Tu es écossais » Il espérait bien l'être, car pour lui être anglais était la pire des maladies, mais sa proie semblait chercher vainement à reprendre le contrôle, à se réveiller de l'alcool.

- Oui je suis un écossais, et vous êtes anglais. Mais ce soir, nous ne sommes que des hommes, et vous allez me payer en nature le prix de votre honneur. A-t-elle si peu de valeur pour que déjà vous vouliez arrêter?

Il continua de le prendre avec ses doigts écartant ses chairs sans ménagement pour passer sa seconde main derrière sa nuque et l'approcher de nouveau de son visage pour lui mordiller l'oreille avant de prendre sa bouche, d'embrasser ses lèvres et sa langue. Il le sentait bien fiévreux et désireux de plus, le contraire serait difficile à cacher. Mais quand même, pendant encore plusieurs minutes silencieuses il poursuivit ses atouchements sur lui, lui pinçant un téton avec violence.

- Tu ne vaux pas plus cher que cela tu es sur? Cela serait dommage, parce que tu m'as pas mal excité, et je me dis que je pourrais pareil te prendre, sans avoir plus de considération, ou bien te laisser comme vous êtes et sortir comme je suis entré.

Il poussa ensuite son torse de sa main pour lui accoster le dos contre la paroi et ainsi pouvoir plus facilement continuer de le baiser de ses doigts, attendant encore qu'il lui dise. Oui, il allait laisser cet anglais ramper et lui demander de le dominer, de le baiser, et puis par la même occasion, il verrait à quel genre d'anglais il avait affaire. Il continua son jeu, le corps parfaitement droit et les épaules relevées, supérieur, il était et il donna toute la prestance de son rang de jadis à son corps présentement, pour impressionner rappeler à cet anglais que si il ne voulait pas paraître encore plus inférieur qu'il le serait en le laissant faire, qu'il avait un choix à prendre en un oui suppliant. Parce que Loic allait le faire gémir, supplier, le mettre à genoux devant lui avant de le prendre, il le traiterait comme le chien qu'il était. Il se montra un peu plus violent, voulant jusqu'où était les limites de sa proie.

L’alcool n’avait pas encore totalement annihilé ses facultés de penser et Liam était en train de se rendre compte qu’il faisait une grosse bêtise.
Loïc était écossais, si jamais il couchait avec lui, combien de temps aurait-il avant que les siens ne l’apprennent et ne se moquent de lui ouvertement… ? Il serait ridiculisé à vie !
Liam tenta de se débattre, de repousser l’écossais mais ce dernier parla de son honneur et enfonça ses doigts plus profondément en lui, rendant fou de plaisir l’anglais. Liam se mit à gémir malgré lui, et bientôt sa bouche fut happée par les lèvres dominatrices de Loïc qui ne le laissait décidément plus raisonner par lui-même. L’écossais semblait prêt à lui dicter sa conduite et à lui imposer sa volonté…

Mais quand Loïc parla de l’abandonner comme il était, dans cet état d’excitation difficile à soutenir, le regard de Liam s’embrasa d’une lueur paniquée durant quelques instants.
L’écossais ne lui laissa pas le temps de s’inquiéter et il le repoussa contre le mur, continuant ses mouvements en lui, assez violents, qui écartaient les chairs de Liam et lui arrachaient des gémissements de plaisir qu’il ne pouvait plus retenir. Malgré lui, il écarta les jambes pour mieux accueillir les doigts de Loïc en lui.

Ce dernier se fit plus violent encore et le sexe de Liam se mit à vibrer d’impatience. L’anglais porta sa main sur son propre membre et commença doucement à se caresser, gémissant et fermant les yeux sous l’effet du plaisir.
Il allait se finir comme ça et chasserait Loïc ensuite… Non, il ne pouvait décemment pas se donner à un écossais. Ce serait la fin définitive de sa réputation, parce que Loïc ne se gênerait pas pour se vanter, il en était sûr.

Il commença à se masturber, accompagnant les mouvements des doigts de l’écossais en lui, et il réussit à ouvrir les yeux pour lancer un regard noir à son compagnon :

« Je n’aurai aucun honneur à coucher avec un écossais… Voilà la vérité… »

Il le vit alors s'abandonner à lui à fort cris et gémissement écartant ses cuisses pour mieux le recevoir, aux yeux de Loic c'était un abandon total et une soumission pour qu'il le domine et il allait s'en saisir à pleine main parce que l'anglais l'avait assez tenté comme ça et il allait l'humilier même si ce n'était qu'en privé, il aurait une nuit de chaleur et de bestialité entre eux, et cela lui suffirait parce que avouer aux siens qu'il avait couché avec l'ennemi premier du peuple sans le tuer était inacceptable. Alors lui-même devrait garder le silence mais ça il semblait que Liam ne le remarquait pas. Mais quand il le vit vouloir se finir comme ça sans que lui ai le droit à rien, il ne le prit pas. Ce chien rouge d'anglais allait regretter de vouloir jouer comme ça avec lui. Il retira ses doigts pour plutôt lui prendre le poignet sauvagement et lui enlever la main sans ménagement pour aller la maintenir au dessus de leur tête alors qu'il se pencha sur lui.

- Ah non Liam! Tu vas être à moi ce soir, pas de ça. Tu auras aucun honneur à coucher avec un écossais dis-tu? Laisse moi rire un peu. Tu crois que te baiser va m'apporter la gloire? Aux yeux des miens c'est me rabaisser. Et oublie pas une chose, on a pu rentrer ici, en se disant tout deux écossais, mais moi si je pars maintenant, je serais encore écossais, mais toi à l'aube, l'aubergiste te reconnaîtra surement, tu crois que lui auras des raisons de tenir sa langue ou les soldats ici? Soit gentil, et laisse moi faire de toi ce que je veux, parce que tu ne peux plus vraiment reculer maintenant.

Sa voix était basse, un peu colérique, mais restant tout de même assez chaude alors que sa bouche était tout proche de son oreille, puis il fit claquer sa mâchoire comme un menace, avant de se reculer avec toute l'autorité qu'il pouvait avoir. Il toisa l'anglais, puis se rajusta comme si tout était fini, il récupéra sa chemise et passa sa main dans ses cheveux. Puis il regarda encore l'anglais nu sur son meuble.

- Mais par contre, je sais comment tirer cette scène à mon avantage. Un anglais qui désirait payer ses dates en nature... « « Alors laisse-moi te payer en nature… Avec mon corps. » « Mon corps pour cette nuit… Tout ce que tu voudras… » Étaient les mots qu'il prononça, mais quand il se retrouva nu, il eut trop peur et se rétracta. Tu crois qu'elle plairait à côté sur le coin du feu?

Si la manière douce ne fonctionnait pas alors il utiliserait la menace, de toute façon il était un Mackenzie, Loic! Chef et Fondateur des fils de la liberté! Alors il pouvait bien se le permettre. Il continua de toiser l'anglais avec colère, déçu de ne pas avoir eut le droit à une jolie petite nuit avec lui. Il allait le faire mettre à genoux et le faire supplier pour qu'il reste, sinon il sortirait juste comme ça. De toute façon, il l'avait bien chercher, il avait voulu être gentil et il en avait pas voulu, il avait voulu le frustrer et bien il avait réussi.

Malgré l’alcool, Liam gardait cette arrogance très english et ce mépris qu’il avait toujours eu pour les écossais. Se donner à l’un d’eux serait méprisable et vraiment peu digne de son statut. Et il était bien décidé à ne pas se laisser faire en fin de compte. S’il avait cédé un peu trop vite à ses instinct à cause de l’alcool, il comptait bien se reprendre…
Sa main caressa son sexe, essayant de le faire venir pour ôter cette pression douloureuse dans son membre et lui éviter ainsi de devoir s’offrir à Loïc mais ce dernier ne semblait pas être de cet avis et quand il le vit faire, il s’empara de sa main et la retira brutalement, arrachant un gémissement à Liam. Il la leva au-dessus de sa tête, ainsi hors de portée et rapprocha son visage du sien pour lui dire qu’il n’avait pas le choix.

Liam fronça les sourcils, furieux. Le prie était que Loïc avait raison ! Mais l’anglais ne voulait pas l’admettre parce que ce serait plier devant un écossais, et devant cet écossais de surcroît !
Mais bizarrement, alors que Liam s’attendait à ce qu’il le prenne sans lui demander son avis, l’écossais s’écarta soudain et rajusta ses vêtements comme s’il comptait partir, avant de lui lancer un regard qui fit frissonner le jeune homme.
Et ses paroles lui arrachèrent de nouveaux frissons alors que Liam comprenait qu’il était malheureusement pris au piège ! Il ne pourrait pas sortir sans Loïc d’ici, et ce dernier ne manquerait pas une occasion pour le tourner en ridicule… Encore heureux qu’il ne connaisse pas son véritable titre !

Le jeune homme soupira, mal à l’aise et baissa la tête.

« Je n’ai pas peur, si c’est ce que tu crois…. De toute façon, cela te ferait bien trop plaisir n’est-ce pas ? »

Un petit sourire naquit sur ses lèvres et il descendit du meuble, grimaçant légèrement à cause de son érection douloureuse. Sa seule satisfaction était de savoir que Loïc avait exactement la même en ce moment…
Il se dirigea vers l’écossais, tête basse et lui prit doucement la main pour la poser sur son torse.

« Très bien, de toute façon je n’ai pas le choix n’est-ce pas ? J’assumerai ma honte, au point où j’en suis… »

Il y avait tellement de mépris, de dégoût dans ses paroles qu’on pouvait sentir à quel point il méprisait l’écossais. Mais Loïc l’avait cherché… Puisqu’il tenait tellement à lui faire l’amour, et bien qu’il le fasse et ne tourne pas autour du pot. De toute façon Liam était pris au piège. Il aurait mieux fait de se méfier, dès le début, dès que l’écossais s’était assis à sa table à l’auberge…
Il soupira et se rapprocha de Loïc, collant son bassin au sien alors qu’il gardait systématiquement son regard baissé.

« Et bien, qu’est-ce que tu attends ? Je croyais que c’était ce que tu voulais ce soir… Te faire de l’anglais…. »

Ce regard baissé, cette soumission noble, il aurait préféré qu'il le dise, qu'il demande avec désespoir, mais en même temps mieux valait ne pas pousser trop loin cet anglais, au risque de le voir se renfermer. Alors il le ferait crier, peut-être pas de douleur, peut-être pas de soumission, peut-être pas honte, mais de plaisir. Il allait lui faire l'amour, avec passion, tendresse, et force, jusqu'à ce que Liam lui livre son âme. Parce que même si il était son ennemi à la vie à la mort, il n'en restait pas moins pour l'écossais que quand il l'avait vu, regardé dans les yeux, échangé avec lui, une autre émotion que celle de la haine avait envahi son corps, celui du désir, alors quand il le vit descendre du meuble pour venir le voir, se coller à lui pour lui dire qu'il gagnait, qu'il acceptait de coucher avec lui, il sentit un sentiment plus amer qu'il aurait cru, déçu de voir que ce dernier... enfin, il ne savait pas pourquoi. Il hésita un moment perdant presque l'envie de coucher avec lui, mais en même temps son corps se tendait naturellement vers lui, donc, il alla prendre son visage dans ses mains et plongea son regard de braise dans le sien avant d'aller l'embrasser doucement, avec chaleur certes, mais avec délicatesse avant d'aller lui ouvrir les lèvres et d'introduire sa langue dans sa bouche dans un baiser plus clair et fort laissant les minutes s'écouler lentement...

- En fait ce n'est pas ce que j'avais prévu de faire ce soir, mais je commençait à trouver cela plus agréable encore. Mais en réalité, ce que je veux me faire ce n'est pas un anglais, mais un jeune homme terriblement intéressant qui buvait seul à sa table, malgré sa langue de vipère, ses lèvres étaient une invitation...

Glissant ses mains jusqu'à sa taille, il le guida jusqu'au lit pour l'obliger à s'étendre. Il allait le baiser toute la nuit, jusqu'à ce que tous les deux soient complètement vidé de toute force. Il grimpa sur ce matelas de piètre qualité, mais qui ferait l'affaire pour ce soir, et s'installa sur lui pour aller reprendre sa bouche caressant d'une main son torse alors que l'autre trouvait appui au-dessus de sa tête. Caressant sa langue avec la sienne, puis il plongea son regard dans le sien pour savoir ce qu'il pensait exactement, si vraiment il faisait cela avec dégoût ou pas, avec soumission forcé, ou bien il éprouvait un peu de désir encore. Allant descendre sa main jusqu'à sa ceinture pour finalement atteindre son sexe tendu et le caresser du bout des doigts sur toute sa longueur pour finalement masser avec dextérité son gland pour lui donner un peu de vrai plaisir quand même, parce qu'il fallait que Liam, ce comte, aime coucher avec lui pour qu'il en rougisse avec violence.

Liam ne pouvait que plier pour l’instant, et se soumettre à ce maudit écossais qui savait si bien trouver les mots pour le rabaisser et lui montrer qu’il était à sa merci… Mais que Loïc ne croit pas encore la partie gagnée… Liam saurait bien se venger d’une manière ou d’une autre.
Il se colla littéralement à l’écossais, essayant de se rattraper, de séduire l’écossais pour qu’il oublie toute tentative de fuite loin de lui. Son désir pulsait douloureusement dans son membre et il rêvait que Loïc continue ce qu’il avait commencé, et prolonge son plaisir. Pour cela, il aurait fait n’importe quoi.

Loïc sembla hésiter mais ses deux mains puissantes relevèrent le visage de l’anglais et Liam plongea son regard dans celui de son compagnon. Il avait des yeux magnifiques, légèrement dorés, presque hypnotisants, et l’espace d’un instant, Liam oublia tout pour se plonger entièrement dans ce regard fier et arrogant, et en même temps d’une incroyable douceur… Il sentit ses joues rougir légèrement et il répondit au baiser quémandé avec douceur, bizarrement troublé par cette délicatesse dont faisait soudain preuve l’écossais.

Et ses mots le troublèrent davantage et l’espace d’une seconde, Liam ne sut pas quoi répondre. Il rougit stupidement et se laissa faire quand l’écossais l’entraîna vers le lit, l’allongeant sur les draps pour venir le surplomber avec assurance.
Ses lèvres happèrent de nouveau les siennes et il frissonna en sentant une des mains puissantes de l’écossais glisser sur son torse, l’effleurant délicatement. Il découvrait une nouvelle facette de la personnalité de Loïc et il devait avouer qu’elle le séduisait tout autant que la première, peut-être même plus. S’il aimait la violence, la tendresse avait tendance à le laisser troublé et sans force.

Son regard le troubla encore plus et Liam rougit de plus belle, comme un adolescent en proie à ses premiers émois, ce qui n’était pourtant pas le cas. Mais face à Loïc, Liam perdait sa belle prestance. Son regard brillait d’une lueur nouvelle, un peu farouche, mais remplie de désir. Il désirait Loïc, maintenant qu’il savait qu’il ne pouvait plus faire autrement.
Il le désirait parce qu’il était beau, parce qu’il était viril et parce qu’il en avait envie… Tout simplement…

Lorsque la main de l’écossais vint se glisser sur son sexe, le caressant doucement et jouant sur son gland, Liam retint un petit cri de plaisir et il se cambra violemment, rejetant sa tête en arrière alors qu’il sentait le plaisir l’envahir.
Ses mains vinrent s’agripper aux épaules de Loïc et, plongeant ses yeux dans les siens, il murmura :

« Alors ce soir, je ne serais que ce jeune homme, et toi tu ne seras que cet homme avec qui j’ai partagé un verre…. »

Il sourit, tentateur, et passa sa langue sur ses lèvres, de plus en plus provocant afin d’exciter à son tour Loïc. Sa main glissa sur le torse nu de l’écossais, caressant ses muscles impressionnants et remplis de force, et Liam se redressa soudain pour venir poser ses lèvres sur un des téton de l’écossais, le léchant et le mordillant doucement.

« Hmmm .... oui .... »

Murmure chaud et rauque alors que l'écossais fermait les yeux pour mieux savourer cet instant. Ce n'était plus le comte Cameron sous lui, c'était un homme terriblement excitant... c'était un amant, peut-être d'un soir, mais cela restait tout de même son amant pour toute la nuit. Il glissa sa large main sur la nuque de ce dernier mêlant ses cheveux avec plaisir pressant cette tête contre son torse, puis du bout des doigts il allait le repoussé pour qu'il s'étendre avec douceur. Non c'était à lui de le baiser, et après si il avait encore de la force ils recommenceraient. Il approcha son visage du sien, caressant ses lèvres de sa bouche, puis lui murmura : Non , laisse moi faire . J'ai envie que tu jouisses .

Il embrassa son menton, puis sa gorge, glissant sur son torse continuant de descendre plus bas encore jusqu'à son nombril qu'il brassa, glissant sa langue sur lui, en cercle puis il s'écarta légèrement pour lui masser ses cuisses puissantes, des cuisses d'homme. Avec sourire satisfaisant, il les lui écarta d'avantage pour en masser l'intérieur. Il le savait vibrant de désir et malgré que son souffle se moquait de sa chaire tendue, lui continuait son jeu, pressant ses doigts sur lui innocemment, ignorant cette colonne de chaire de nouveau.

Se penchant complètement cette fois, il alla embrasser et lécher les couilles de son amant, après avoir laisser sa langue les couvrir de sa salive, il glissa cette dernier plus bas, s'insinuant entre ses fesses, l'obligeant à soulever son bassin pour lui donner accès à son intimité qu'il avait déjà exploré. Il introduisit sa langue en lui et comme si il se serait agit d'une petite bite, il le caressa et pénétra à répétition. Savourant les soupires de Liam, il continua encore puis il glissa de nouveau ses doigts en lui, allant immédiatement à trois, allant et venant rapidement, voulant le faire jouir une première fois, pour lui couper le souffle et le prendre à son tour avec son sexe cette fois.

Liam préférait céder à ce bel écossais qui avait depuis le début su lui faire tourner la tête et les sens. Il comprit que Loïc ne comptait lui laisser mener la danse, aussi se laissa-t-il doucement allonger sur le lit, frissonnant de désir et d’impatience. Les mains de l’écossais s’étaient faites si douces, si cajoleuses que Liam n’eut aucun problème à s’y abandonner.
Le désir avait remplacé l’alcool et l’aveuglait totalement. Les baisers de Loïc sur sa peau brûlante lui arrachèrent des frémissements d’excitation et Liam gémit doucement, emporté par cette douce folie. Les lèvres de l’écossais le rendaient fou et il s’agita un peu, écartant les jambes pour pousser son compagnon à aller plus loin. Mais ce dernier se contenta au début de caresser l’intérieur de ses cuisses, provocant de plus en plus Liam qui se sentait partir, complètement envahi par le désir.

« Loïc… » gémit-il, impatient.

Il poussa un petit cri surpris quand la langue de l’écossais glissa sur ses bourses et il se cambra délicieusement, ses reins le brûlant d’un nouveau feu. Il n’avait jamais été soumis, mais face à Loïc, il n’arrivait même pas à maîtriser ce qui se passait et il était entièrement dominé. Lorsque la langue le pénétra, il couina de plaisir et ses mains agrippèrent les draps blancs, s’y accrochant comme pour chercher une aide.

« Loïc… C’est trop bon… » murmura-t-il, la voix hachée par le plaisir.

Il n’arrivait plus à aligner deux pensées correctes et quand l’écossais enfonça ses doigts en lui, il se cambra violemment, se redressant sur les draps sous l’effet du plaisir, écarquillant les yeux. Il poussa un cri de pur plaisir et incapable de se retenir, il jouit rapidement en un long jet laiteux, sa semence salissant son beau torse légèrement halé. Sa respiration se fit saccadée et pendant quelques minutes, Liam eut du mal à reprendre le dessus…

Il ferma les yeux, son corps entier transpirant, et il écarta mollement les jambes, doucement anéanti par le plaisir. Cela n’avait jamais été aussi bon avec personne et Liam souriant béatement, aux anges. Son regard tomba sur l’écossais et quand il vit son sexe dressé, tendu de désir, il murmura :

« Ne reste pas comme ça… »

Loic sourit victorieux. Son amant avait pris son pied, il fut clément, et le laissa reprendre son souffle. Pour bien le récompenser d'être enfin bon joueur, Loic alla recuillir avec sa langue toute la jouissance de son partenaire de la nuit pour l'embrasser et partagé avec lui sa salive et son sperme. Coupant ainsi sa réplique, une main sur son torse pour le garder coucher sous lui.

- Tais toi un peu et savoure à la place.

Avec un souris en coin, il glissa sa main sur son corps pour aller toucher à ce sexe qui avait déjà tant donné. Le massant avec justèce, mais en de très lent mouvement pour laisser son corps récupérer et se dresser dans sa main. Il le masturba tranquillement. Il ne l'avait pas encore assommé, il voulait qu'il soit inerte de plaisir, si bien que même ouvrir les yeux lui soit impossible pour enfin le prendre vraiment, le chevaucher avec puissance.

Il approcha sa bouche de son oreille, qu'il mordilla, lécha, embrassa jusqu'à ce que les soupire et gémissement du pauvre Liam soit trop fort. Alors il accepta de lui murmuré à l'oreille ce qui allait l'attendre, comme cette nuit unique allait se dérouler.

- Tu vas être mon jouet. Tu vas rester sous moi, et jouir encore, jouir jusqu'à ce que ton corps ne t'appartienne plus. Quand enfin, tu t'abandonneras et que je deviendrais le maître de ton corps, alors la nuit s'achevera. Et j'ai prévu tellement de belle chose pour toi. Tu n'auras plus de jus avant longtemps. Tu me demanderas t'en finir, mais je vais continuer, tu me demanderas en gémissement de te laisser dormir, et je vais prendre ton corps, m'enfoncé lentement en toi, si lentement que cela sera une torture pour toi. Tu vas être à moi. Tout ton corps ne pourra plus que répondre au mien quand j'en aurait fini avec toi.

L'écossait gémit contre son oreille, en pressant entre ses doigts le membre de nouveau rigide de son amant. En souriant doucement, il fit glisser ses lèvres sur sa joue, jusqu'à cette bouche qu'il embrassa, écartant ses lèvres pour aller enfouir sa langue en lui et l'embrasser avec une force à lui couper le souffle, alors qu'il continuait de sa main à le caresser à le masser jusqu'à ce qu'il le sente complètement pris. Le serrant dans sa main pour le pousser à laisser de nouveau couler sa soumission

Son amant lécha sa semence éparpillée sur son torse, le faisant doucement frissonner et il vint la lui faire partager en l’embrassant. Liam goûta pour la première fois de sa vie au goût de son propre sperme et il se sentit tout chose alors que la main de l’écossais glissait de nouveau sur son corps, doucement tentatrice, pour aller masser son sexe en douceur.

Liam écarquilla les yeux et gémit, avant de fermer les yeux sous l’effet du plaisir qui revenait. Pourquoi Loïc recommençait-il ? Pourquoi ne le prenait-il pas ? Lima avait été suffisamment préparé pourtant…
Un peu mal à l’aise, l’anglais fronça les sourcils, ne pouvant retenir ses gémissements quand les mouvements de la main de son amant le massaient un peu trop fort et l’excitaient encore plus.

Mais quand Loïc lui détailla le programme de la nuit, Liam frissonna, encore plus mal à l’aise. Son jouet ??? Où avait-il vu jouer cela ? Quel goujat !
Liam voulut se rebeller mais malheureusement son sexe se dressait déjà, impatient d’être libéré et son corps se soumettait de plus en plus à l’écossais qui savourait sa victoire en souriant, fier de lui.
Comment osait-il le traiter ainsi ?

Ses lèvres se plaquèrent de nouveau sur les siennes, violemment, réclamant un baiser passionnel et Liam fut bien obligé de s’y abandonner alors que sa main continuait à le rendre fou en massant son membre. Liam se cambra, gémissant mais le son était étouffé par les lèvres de l’écossais et quand ce dernier serra son sexe, l’anglais ne pu se retenir et il jouit une nouvelle fois dans sa main, dans un râle de plaisir.

Il retomba sur les draps et lança un regard noir à Loïc, reprenant difficilement sa respiration.

« Espèce de salaud !! » gronda-t-il. « Je ne suis pas un jouet !!! » s’exclama Liam, mais pas avec l’intensité dont il voulait faire preuve.

Loïc commençait à le fatiguer et il se demandait combien de fois il le pousserait à jouir.
Essayant de le provoquer pour qu’il oublie cette idée étrange, Liam écarta les cuisses et se mit un peu plus cajoleur, a main se relevant pour aller caresser le torse nu de l’écossais.

« Allez viens, je sais que tu en as envie autant que moi… »

Il offrait un tableau des plus tentant et il espérait vraiment faire craquer Loïc….

Loic souriait vraiment de joie, se retenant de rire. Son jouet ne semblait pas d'accord, son ennemi voulait pas, mais son corps le trahissait que trop, et cela faisait trop plaisir à l'écossais qui continait de ce jouer de lui encore et toujours. Cette joie était parfaite, elle le maintenant maitre de lui-même et lui permettrait de mieux faire chavirer dans ses filet cet anglais de malheur. Jamais il aurait cru pouvoir avoir du plaisir avec cette chose, mais bon, il y a un début à tout.

Il porta à ses lèvres ses doigts couvert du sperm de celui-ci et les lécha un à un, pour tout prendre. Ce qui était bien c'est qu'il n'avait pas si mauvais goût que cela. Puis après avoir prit son temps, il admira le corps offert de celui qui lui offrait son corps dans son entier pour toute la nuit. Il en vint même à caresser le torse de ce dernier avec sa main en penchant son visage sur le sien.

- ô non .... tu es mon jouet, la preuve, sous mes doigts tu es venu deux fois, et tu t'écartes comme la dernière des trainées pour que je t'honneure avec mon corps, mais avant que cela n'arrive, tu vas devoir me mérite, mon beau!

Il l'embrassa, puis introduisit en plus de sa langue un doigt entre leur bouche dans le palais de ce comte de malheur pour un peu plus de bestialité, puis le laissa avec son doigt en bouche, glissant ses lèvres sur la joue de l'anglais pour aller lui mordre l'oreille.

- Avant que je te donne plus imposant... je veux voir comment tu t'en tires avec mes doigts, imagine que tu m'as dans ta bouche, prouve moi que tu me mérites.

Oui les idées de l'écossais était nombreuse et tous aussi plus lubrique les unes que les autres, il espérait bien que l'anglais accepterait t'obéir, de jouer le jeu, d'être sa poupée, d'être sa pute pour la nuit. Il se montrait grossier avec un sourire narquois, attendant avec patience que cet homme qu'il avait à sa merci, obéisse.

- Obéis, mon joli... tu ne voudrais pas que je quitte la chambre... tu peux pas savoir comment de putin serait ravi de me finir, alors qe toi tu sera pris à devoir te tapé ta carnison qui fait la fête en bas si tu veux être soulager. alors joue le jeu, montre moi que tu mérites mes attentions.

Liam sentait la colère gronder en lui : non seulement Loïc jouait avec lui et le traitait de la pire des manière, l’humiliant et riant de ses faiblesses, mais en plus son corps le lâchait et n’obéissait plus à sa raison.

L’écossais lécha son sperme comme si c’était la meilleure des gourmandise avant de l’humilier, le traitant à nouveau de jouet et de traînée, ce qui horripila l’anglais qui cru qu’il allait se redresser et frapper cet insolent ! Mais l’écossais ne lui en laissa pas le temps et il l’embrassa sauvagement, le plaquant sur les draps, glissant même un doigt dans sa bouche.

Liam grimaça mais fut bien obligé d’obéir même s’il n’avait qu’une envie : le mordre !
Puis les humiliations recommencèrent, avec menaces à l’appui et Liam écarquilla les yeux de fureur !! Il le tuerait ! Il ferait tuer cet insolent, lui et toute sa famille ! Après tout, il était comte, il en avait tous les droits ! Personne ne pouvait le traiter ainsi !!

Mais ses menaces étaient trop concrètes pour que Liam résiste longtemps et fou de rage, lançant un regard noir à son compagnon, il se mit à lécher sensuellement ce doigt dans sa bouche, ses poings serrant les draps avec rage alors que la colère bouillait en lui et quand l’écossais retira enfin son doigt, Liam cracha :

« Immonde porc !! Je te jure que tu le regretteras !! Je te le ferai payer !! »

Et fou de rage, il lui cracha dessus, salissant le torse nu de l’écossais de son crachat.

Loic aurait bien aimer rire un peu, mais la réaction violente de liam le refroidit plus qu'il ne le pensait. Il avait perdu presque toute envie sur lui, alors quand il lui cracha dessus, se fut trop pour l'écossait qui ne vit plus en lui que l'amglais, le comte, l'ennemi. Le regard noir, il lui envoya son poigt à la figure avec toute la force de sa haine, pour lui faire voir trente-six chandelle, puis avec hargne déchira le drap du lit et prit quelque secondes pour lui lier les mains dans le dos, un genou dans les reins appuyant plus que nécessaire.

- Vraiment, je suis un porc ? Alors comme les porc ne fraternise pas avec le boucher, tu permets que je te laisse ici bien ligotter pour qu'on se serve de toi? Je suis sur que oui,

après cela, il lui fourra dans la bouche une autre étouffe avant de bien le coincé en lui mettant un baillon. Le laissant reprendre son souffle après cette bataille rapide, il déchira de beaucoup plus grand lambeau de drap avant d'attacher ses chevilles séparément avec le pied de lit, ainsi, les jambes écarter, la peau des cuisses tendu, sur le ventre, il avait l'air d'une jolie pute.

Il se leva du lit et reprit sa chemise et son kilt et s'habilla avec colère. Non mais pour qui il se prenait. Il regarda les vetements de ce dernier, et en ricanant les prit avec lui et s'approcha de la fenêtre, sans réfléchir, il les jeta. Puis il regarda le spectacle d'un anglqais complètement nu, les jambes grandes ouverte, offrant son corps à la vue.

- J'espère que tu comprendras que tu aurais du ravaler ton orgueille Liam ... La prochaine fois, joue le jeu, après tout c'est toi qui t'es offert à moi rappelle toi bien de ça. Maintenant si tu permets, j'ai besoin d'aller me soulager avec une vipère un peu moins sauvage.

Puis il se dirigea vers la porte qu'il dévérouilla et ouvrit prêt à sortir en laissant la porte grande ouverte.

La colère de l’écossais le prit par surprise et Liam reçut un violent coup à la figure qui le sonna complètement, alors qu’il avait l’impression que son nez allait exploser sous la douleur. Il poussa un cri de douleur et tenta de se débattre mais Loïc était bien plus fort que lui et il se retrouva rapidement ligoté sur le lit, cuisses ouvertes attachées aux pieds du lit et un baîllon dans la bouche pour l’empêcher de parler.

Liam sentit son cœur s’emballer alors qu’il prenait vraiment peur et il vit avec terreur Loïc jeter ses vêtements par-dessus la fenêtre et se diriger vers la porte, lui faisant clairement comprendre qu’il allait le laisser au premier venu !!

Terrorisé, Liam se mit à pousser de grands cris étouffés par le baîllon, s’agitant sur les draps, essayant de se libérer mais comme il n’y arrivait pas, il se laissa retomber en haletant.
Il serra les poings et se mit à pleurer silencieusement, effrayé et complètement déstabilisé.

Il voulait tellement que Loïc revienne ! Il n’aurait jamais dû faire ça, il n’aurait jamais dû le provoquer mais l’humiliation avait été trop dure, surtout pour lui qui était traité en temps normal comme un prince.

Il tourna un regard désolé sur Loïc, pleurant à chaudes larmes, le suppliant des yeux de ne pas partir et de ne pas le laisser ainsi.
Il ferait tout ce qu’il voudrait mais qu’il ne l’abandonne pas…. Pas maintenant, pas comme ça !!

Loic, avait ouvert la porte et le regardait se débattre. Pour quelle raison, il voulait quoi? Qu'il le détâche et s'excuse? Pas vraiment le genre de Loic ça, surtout avec un comte. Alors il s'amusait de le voir ainsi, vraiment c'était trop beau comme spectacle. Et puis ses larmes, c'était trop fort. Il referma la porte, trop tenter de lui donner un faux espoir et en ricanant retourna vers le lit.

D'une main puissante il souleva le visage de son ennemi juré et lécha ses larmes qui trainaient sur ses joues avec délice. Puis il le laissa retomber sur le lit, et fit le tourn passant derrière lui et glissa sa main sur ses jambes pres de ses fesses, mais rien de plus. Puis il eut une idée de génis. D'un pas rapide, il retourna vers le visage de Liam et lui enleva le baillon. Je veux que tu cris, que tu hameute tout l'auberge avec ta jolie voix.

Puis il le laissa comme ça et le lassa clairement entendre le bruit de la ceinture qu'on enlèvait, puis la lui montra, et retourna à ses fesses nues. La lanière s'abbatit alors violence sur ses fesses jusqu'à devenir rouge, c'était trop beau. Il allait les garder quelque jours, et n'y étant pas aller de main morte... il aurait peut-être mal pour s'asseoir pendant un moment.

- Bon on va dire que c'est suffisant pour ta première offense. Maintenant, est-ce que tu vas jouer le jeu Liam? Est-ce que tu veux bien me laisser faire de toi ma poupée, mon jouet, ma pute pour cette nuit. Tu sais... le marché était que tu serais à moi. J'ai voulu être gentil, mais je crois qu'il faut utiliser un peu plus de violence avec toi pour que tu acceptes d'obéir...

Il se déshabilla devant lui avec un sourire satisfait, le corps de nouveau tendu par le plaisir de le voir ainsi. Puis il s'approcha de son visage qu'il caressa. Ouis, vraiment, c'était un pur délice que de le voir comme ça.

Quand la porte se referma et que Loïc revint vers lui, les yeux de Liam s’agrandirent et il se mit à espérer de tout son cœur. Il était prêt à tout pour ne pas être livré au premier venu !! Même à se donner à Loïc, puisque c’était ce que ce dernier voulait. Il s’en moquait, mais qu’il ne l’abandonne pas ainsi où Liam ne s’en remettrait jamais !

L’écossais s’approcha et lécha ses larmes, jouant avec Liam qui n’osa cependant rien dire, bien trop heureux qu’il soit revenu vers lui. Tant que Loïc serait ici, Liam serait tranquille… Il redoutait bien moins cet écossais, qui pourtant n’avait cessé de l’humilier, que les soldats de la garnison en bas, qui ne lui feraient aucun cadeau… Il ne pourrait plus jamais se montrer en public après ça…
La main chaude glissa sur ses jambes et Liam frissonna, inquiet. Heureusement le bâillon lui fut retiré et l’anglais avala sa salive doucement et allait murmurer un remerciement quand il croisa le regard étrange de Loïc qui ne présageait rien de bon. L’anglais frémit, de plus en plus inquiet…

Et il avait raison de s’inquiéter car quand il comprit ce qu’allait faire l’écossais : il se débattit entre ses liens, terrifié et s’écria :

« NON s’il te plaît Loïc !!!! »

Mais l’écossais ne s’embarrassa pas de ses suppliques et la ceinture s’abattit violemment sur ses fesses nues, arrachant un cri de douleur à Liam. Jamais encore on ne l’avait frappé !!! Même pas son père !! Personne n’avait levé la main sur lui et ce retour très dur à la réalité calma instantanément Liam qui ne pu que hurler sa douleur alors que ses fesses rougissaient à vue d’œil.
Si la leçon était terrible, elle fut néanmoins profitable car tout l’orgueil et l’insolence du nobliau fondit comme neige au soleil alors qu’il comprenait qu’il avait intérêt à faire profil bas avec Loïc… Se rebeller ne lui amenait rien de bon. C’était même pire ! Et il était en train d’en subir les conséquences…

Il soupira de soulagement quand la ceinture s’arrêta enfin, même si ses fesses l’élançaient douloureusement et qu’il en avait les larmes aux yeux. Les paroles de Loïc le frappèrent de plein fouet et cette fois-ci, l’anglais n’eut même pas la force de s’insurger d’être traité de poupée et de pute. Il ferait tout ce que Loïc voudrait pour que la douleur cesse…

Il le regarda se déshabiller et rougit, conscient de sa faiblesse à être attaché : l’écossais pouvait faire de lui ce qu’il voulait… Des larmes silencieuses coulaient sur ses joues, résultat de la douleur qu’il venait de ressentir et quand Loïc caressa son visage de sa main, Liam tourna suffisamment sa tête pour pouvoir attraper se doigts entre ses lèvres et les lécher avec sensualité, faisant exactement ce que Loïc lui avait demandé précédemment. Il léchait pire qu’une pute, mieux qu’un petit chien, mais Liam se moquait totalement de cette humiliation.

Tant que Loïc resterait et ne le livrerait pas au premier venu, alors il ferait ce qu’il demandait. Parce qu’il n’était pas en position de protester.
Il continua de lécher les doigts de l’écossais avant de murmurer :

« J’obéirai j’obéirai… S’il te plaît, me laisse pas… »

Loic n'était pas conscient de son pouvoir ni même de ce qu'il pouvait faire, il se surprenait lui même, mais quand il vit l'anglais ainsi le supplier, en venir à lécher ses doigts comme ça, il eut presque peur de lui-même, il resta un long moment a ne rien faire d'autre, jusqu'à ce que, presque hypnotiser par le comportement de son ennemi, il lui caresse le visage et les cheveux, puis finalement en silence il alla défaire chaque noeud pour le libérer. D'abord ceux de ses mains lier dans son dos, puis ses mains parcourur son corps, ses fesses du bout des doigts, il avait corriger comme on corrige un enfant le comte! puis ses cuisses jusqu'à sa cheville, puis il alla défaire l'autre et il regarda le visage de cet homme. Et dit presque dans un murmure.

- Alors n'en parlons plus, et laisse moi finir ce que j'avais commencé avant ta petite rebellion...

Il monta sur le lit, et le coucha sur le dos, certe la qualité moindre des draps aller un peu piqué ses fesses, mais Loic n'y pensait déjà plus, il l'embrassa comme un embrasse son amoureux, avec douceur, tendresse, d'abord les lèvres puis la langue. Et tout en l'embrassant, il caressa son corps, d'abord la mâchoir, puis le menton, la gorge, les épaules, les bras, les côtes, le torse, faisant glisser sur ses paumes, les deux petites billes de chaire jusqu'à ce qu'elles soient toute dure, puis les prendre entre ses doigts pour les torturer légèrement en les tirant, et pinçant un peu.

- Tout ce que je veux c'est que tu jouisses, que tu es du plaisir que tu t'y noies, que tu te souviennes de cette nuit comme de celle qui ne peut que te raidir le corps de désir, pour que tu me cherches des yeux car tu n'auras désormais que du plaisir qu'avec moi.

Minauda-t-il contre la bouche de l'anglais lentement pour gagner du temps, en espérant lui faire de nouveau effet, même si il ne savait pas pourquoi. Puis, il sourit, et embrassa en petit battement d'aile de papillon ses lèvres ses joues, son nez, ses eux, jusqu'à ses cheveux. Il se coucha sur son corps, respirant l'odeur de sa peau puis retourna embrasser ses lèvres. Avant cette crise, il avait sentit son désir exploser en lui et il aurait voulu que son amant le calme pour mieux continuer, mais d'une autre façon qu'en insulte, mais maintenant il était calme et il pouvait bien continuer sans problème. Alors cela sera pour une autre fois.

Il poursuivit ses attouchements, ses baisers, mais en parcourant désormais sa peau dans son entier, son cou, ses épaules, son torse, faisant rouler sous sa langue les billes de chaires, puis jusqu'au ventre. Il avait soudainement eu une poussé de douceur et de désir pour cet anglais qu'il avait malmener.