Fiches de personnages

¤ Nom : Wairyüwant (mais plus grand monde ne s'en souvient et parmi ceux qui s'en souviennent mieux vaut pour eux qu'ils ne s'en souviennent pas officiellement)
¤ Prénom : Akiss
¤ Pseudonyme : Dark Aïk

¤ Âge : 34 ans
¤ Sexe : féminin

¤ Race : Wrounien description ici


¤ Histoire :

Née dans une petite famille exhilée sur Khor Ussante, Akiss est la fille d'un tenant de spatiotroquet dans les bas fonds de la planète. Sa mère étant occupée à aider le paternel de la famille dans le spatiotroquet (dont toutes les boissons n'étaient pas forcément légales selon ce qui se murmurait dans les ruelles aux alentours) Akiss avait souvent la possibilité de traîner dans les rues de la planète capitale. Elle finit par connaître celle-ci mieux que sa poche, aussi étrangement que cela puisse paraître au vu de l'étendue de la capitale. Mais dû à sa mémoire, si elle passait une fois dans une rue, elle s'en souvenait.

A ses dix-sept ans, aucun recoin de la planète ne lui était inconnu mais l'ennui, lui, commençait à se faire sentir. Ce fut donc par ennui qu'elle se laissa entraîner dans une chambre de palace par homme riche qui était venu l'aborder sur le trottoir alors qu'elle attendait des amis. Cette rencontre changea beaucoup de choses pour elle. Elle fut impressionnée par la richesse des lieux. Elle qui ne vivait pourtant pas dans la misère eut soudain envie de devenir aussi riche que cet homme. Problème, elle avait suffisamment de jugeote pour comprendre que ce n'était pas en héritant du spatiotroquet de son père qu'elle allait faire fortune et pouvoir se payer une nuit d'hôtel à cinq super nova (si, si, cinq étoiles) et le gigolo qui irait avec. Continuer le métier dans lequel venait de l'entraîner cet homme par sa demande pouvait être une bonne idée. Elle attendait cependant pour voir ce que cela allait donner.

Elle fut déçue et le mot est faible. Apparemment, elle était tombée sur un malade qui aimait à frapper les filles. Il y eut une petite lutte et nul ne sait, pas même elle, comment l'éclat de verre d'une bouteille de champagne brisée se retrouva sur la gorge frémissante de terreur de l'homme. Il n'empêcha que lorsqu'elle entendit sa voix tremblante implorant la pitié, elle se sentie submergée par un intense sentiment de supériorité. Ce sentiment de supériorité se transforma en sentiment de puissance lorsqu'elle lui trancha effectivement la gorge, lorsqu'elle vit son sang se déverser doucement sur ses doigts bleus, lorsqu'elle regarda ses yeux se révulser dans leurs orbites. Un fin sourire campait sur ses lèvres. Tranquillement, elle lava ses mains ensanglantées, se recoiffa et sorti droite et fière hors du palace, sans avoir oublier de faire les poches du cadavre et vidé son compte bancaire grâce à un petit réceptionniste qui était très occupé par son décolleté.

L'argent, la puissance, elle avait aimé cela et elle allait les avoir. Elle recommença plusieurs fois. Suffisamment de fois pour que les autorités s'intéresse de près à ce serial killer qui s'attaquait aux clients de prostitués. Deux djédaïs furent envoyés pour enquêter, un maître et son patawan, comme toujours, par deux ils vont. Et c'était pourtant à quatre qu'ils découvrirent le meurtrier. Quatre personnes sur la scène: les deux enquêteurs, Akiss et son ex-futur victime. Comprenant immédiatement ce que ces deux types voulaient faire, la wrounienne essaya de se défendre, ou plutôt, de les tuer aussi. Mais paf, un petit coup de Phorce dans sa direction et ce fut fini.

Elle se réveilla dans une cellule, fut jugée promptement à la prison sur une planète de la bordure extérieure non loin de la mythique Eithan et envoyée casser des cailloux sur cette dernière. Les conditions de vie n'étant pas des meilleures, il fallait se battre pour garder sa nourriture de l'écuelle jusqu'à l'estomac et se battre pour ne pas se faire attraper et passer à tabac par les gardiens qui n'étaient pas aussi tendre que leur steack de Nuna. Bref, elle devint très vite bien plus haineuse et agressive qu'elle ne l'avait jamais été d'autant plus que, par mauvaise foi, sa condamnation lui paraissait injuste.

Mais un jour, coup de chance. Un inspecteur des prisons passa par là et fut impressionné par la wrounienne. Ignorant tout de sa réputation -ou alors, c'était qu'il était particulièrement abruti- voulu 'discuter' avec elle. La discussion tourna rapidement court et elle s'en alla revêtue de ses habits qui firent bien là le moine puisqu'elle put décoller sans encombre. Il n'empêchait qu'il fallu peu de temps avant qu'elle ne fut prise en chasse. Son aéronef s'écrasa en plein milieu d'un caillou. Elle dut passer pour morte ou le Grand Chuck Nothis s'ennuyait et lui sauva la mise, toujours était-il que lorsqu'elle se réveilla, elle se retrouva dans une chambre avec vue sur un lac de lave.

Une personne encapuchonnée se présenta derrière elle et lui apprit que le nom du lac de lave était Moüsse Thafar. Si cela devait faire impression sur elle, cela la laissa de glace. Une glace qui fondit rapidement au vu de la température extérieure et de l'apprentissage qu'elle commença là-bas. Elle se découvrit une ambition latente mais démesurée et avait bien envie de supporter ce clan dont elle appréciait les valeurs.

¤ Description physique :

Comme tous les wrouniens, Akiss a la peau bleue, les pupilles jaunes et les cheveux bruns vif coupés très court. Cette femme est cependant particulièrement agréable à l'oeil. Au cours de sa captivité, elle a en effet développé une musculature assez intéressante, avec ce petit je-ne-sais-quoi de gracile et de mignon. Gracile tout comme ses mains et le mouvement de ses doigts jusqu'à ce qu'elle ne vous les enfonce dans les orbites. Ses mains sont assez grande mais leur peau est assez rugueuse. Au niveau des mesures, Akiss pèse 61 kilos pour un mètre soixante. C'est dire si elle vous battra au bras de fer.

¤ Psychologie :

Décidée est un qualificatif qui correspond parfaitement à Dark Aïk. On pourrait même dire têtue. Si elle veut quelque chose, elle l'aura d'une manière ou d'une autre. Dans cette optique, elle est opportuniste si cela sert ses intérêts. Ne vous inquiétez pas pour sa conscience lorsqu'elle retourne sa veste, ses niveaux de morale ont touché terre. A l'heure actuelle, ils creusent encore.

Egoïste ? Certes. Souvent, elle n'hésitera pas à écraser les autres pour grimper au sommet, ne pensant qu'à elle, mais il suffira d'un détail, d'un bon mot et d'une sacré chance pour qu'elle pense parfois à vous. Akiss est rancunière, mais d'une rancune ô combien tenace ! Vous croyiez qu'un pitt-bull ne lâchait jamais sa proie ? Là c'est pire. Si vous comptez la piéger ou la trahir, prévoyez de ne jamais recroiser son chemin au cas où ça rate. Il faut dire que sa mémoire aide les choses.

Sinon, elle est colérique, susceptible, violente, parfois lâche, parfois courageuse, parfois peureuse (elle a une trouille horrible des nains verts à lunettes) elle a la gifle facile, le dédain et le mépris plus aisé encore. Pourtant, elle aime à discuter avec les autres, elle peut-être très affectueuse dans les situations n'influençant pas sa carrière et souvent pleine d'énergie.

¤ Goûts/dégoûts:

- aime à découvrir de nouvelles choses, elle déteste l'ennui et l'inactivité (et par là même toutes les bronzettes parties sur les planètes munies de plages.)
- adore s'assoir.
- déteste les nouvelles technologies et ceux qui les propagent. Elle aime les traditions. Mais souvenez-vous qu'elle ne pense qu'à ses objectifs.
- adore trouver de nouveaux moyens de cuisiner (ses grandes trouvailles ? La saucisse au sabre laser ou bien le barbeuk sur lave) Elle a d'ailleurs une grande hâte : pouvoir connaître le secret des cookies !

¤ Force/faiblesse :

+ Elle connaît tous les coups des combats de rue et leur traîtrise.
+ Douée d'une formidable mémoire, c'en est d'ailleurs à la limite de l'hypermnésie.
- A une véritable tendance à se perdre dans des lieux inconnus. Sa mémoire la sauve dans les lieux connus. Il ne faut surtout pas la laisser aux commandes d'un vaisseau sans droïde Gépéhaisse. Vous arrivez à reconnaître un coin de l'espace d'un autre, vous ?

¤ Clan : Ssith


¤ Autre : Même sachant que le forum n'était pas encore ouvert, j'ai pas pu résister devant l'humour et les délires. Sans compter le futur système de jeu, bien plus simple que votre (futur) concurrent. Par ailleurs, le graphisme est superbe et votre professionnalisme (alpha, bêta-test et compagnie) me démontre une motivation de la part des admins qui ne promet pas de fermeture anticipée. Bref, pour l'instant, je n'arrive pas à voir de défauts et je dois taire le reste des compliments qui me viennent à la bouche.

[blockquote]
password;; notpassword
&& . basics //
full name;; Arthurus Gaälls
nickname;; Some people call him Art' or even Arthy. However be careful that he don't hear that from your mouth.
gender;; male
age;; 28 years old
birthday;; April first
birthplace;; He doesn't really know. It was somewhere between France and Australia.
sexual orientation;; Bisexual
phobias;; he is afraid by forks, birds and dogs.
limitations;; He his not very sporty and is quickly ill.
appearance;; Arthurus is quite small : only a meter 66 and he weights 71 kilos. He has black hair, quite a white skin and always wear black clothes. Often he has a white tie. He looks puny and if you think that you'll be right.



personality;; It sounds like Arthurus is peacefull. He is but he is more often shy than peacefull. He can go and see and talk to people but it's not easy for him. But on the contrary he hates to be lonely. He doesn't like planesbut loves maple syrup and walk in wood, it's one of the only place he can go and use his power with no danger. That's another side of him : he is quite prudent.

Arthurus is also searching for something. He doesn't know why but he feel a little empty inside. That's a reason of why he is always dressing in black. He feel more safe in that dangerous world.

history;;

Arthurus doesn't really know where he was born. Indeed : his mother gave birth on a plane back from her holidays in France. But he grew up with no problems at all, having friends and a loving familly. There was a divorce between his parents but they were not quarelling and yelling at each other so Arthurus didn't suffered from that.

Of course every thing wasn't pink in that story. He was often ill and needed more often to stay at home in his bed. He went to school when he could. At his thirteen, he soon discovered that he could make the trees tremble. That was real fun. Little by little, he learned to do a lot of more. So more that he discovered in a very bad way that his power could work on dead wood. All his house collapsed.

Nobody understood why except Arthurus. Afraid, he run of the house. He run for a long time and then was hungry. He was so shocked that there he discovered his second power : change the taste of the food. He never knew before the taste of a sardine saucissage and a spinach bread but he would never forget that hot dog.

What did he do next ? He worked a lot and bought a plane ticket to France. There he learnt history (and french) and became a teacher. He soon wanted to change of country and flew to america and is currently living of little jobs waiting for a teacher job.


&& . mutants only //
codename;; N/A
power(s);; Arthurus can control the wood. Event and above all the dead wood. A plant can grow up but it's quite difficult for him. He has another power also : he can change the taste of the food at distance.

affiliation;; lone mutant
[/blockquote]

Last name: Butcher
First name: Aulendur. But she hates that names which means 'servant' so she calls herself 'Nofing' as everybody (or almost everybody)

Gender: Female
Age: 28 years old
Activity : Employee at the blood data bank
Race: white elf
Advantages given by that race: they often have a longer life expectancy than the other races : around 500 years and they have a very strong health. They are often very tall.
Disadvantages given by that race: Pure iron is one of their greatest weakness. When pure iron are around them, their senses are weaker than the humans' ones. An elf is then nearly deaf, half blind and can't smell anything.

Characteristic :Mutant
Power: Nofing can control the wood. Even and above all the dead wood. A plant can grow up but it's quite difficult for her and made her easily exhausted. She has also another power : she can change the taste of the food at distance.

History:

It's beggins by the story of a kitten. That little kitten was firmly hold in little arms. Too firmly : that little kitten jump out of those arms and run off the house. The arms followed the kitten and the whole body finaly came out the house on the road. A body of a little girl of six years old. A car came out from nowhere, stopped, a door opened, closed and drove off the scene.

That little girl was named Aulendur.

Aulendur lived in a basement for the years following. The man who kidnapped her was her father. At the beggining, Aulendur was very happy for that change. Indeed, she remembered that her mother died in a accident soon after the divorce of her parents. The life was peaceful and full of joy since the divorce and before the accident. The truck which crashed into her mother's car left her no chance. The driver run away while she was dying. Her life ended after a two-days coma. At that time, the juge didn't wanted Aulendur to live with her father. She went to a elfic host familly which didn't give to the little elf all the love she needed.

When her father took her, the girl only see a new love coming in her life, a paternal love. But the love wasn't really the one she had expected. Her father's behavior became worse and worse. The love soon became a hatred. A hatred toward her father, a hatred toward all the elves. The release came when she was twenty one. When her father came into the cellar to give her supper, a strange shadow came by the little window. A shadow becoming a vampire in the back of her father. She saw in a slow motion the teeths biting in the white flesh of her mad father. When the vampire had finished with her father, he saw her, completely terrified, half hidding under her bed sheet.

The vampire longly look at her and then disappear again. When the police came some moments after, she saw a teenager gazing in the mid air, a large smile on her lips. Her story became very famous and then the public forgot her. But she had to continue her life, to learn how to live in that new world. The job she took was a telltale sign for her new fascination for the vampires. She learned how to write and read and became nearly adapted to the real life.


Personality: Unless she has a good reason, Nofing won't never go to people and beggin a conversation. In that way, she stays very reserved and distant. But when people beggin to talk with her, she will ever answer. That doesn't mean she will be warmth : she will stay as joyfull as a jail door. Nofing has difficulties to understand the concept of friends and reliance. She always stay vigilant to everybody except to vampires. But if you're close enough, she can be very naive.

She doesn't like the change and under her armour, she lacks of self estim and often feel insecure. That's why she often have a pepper spray in her pocket. That's a big thing : she has a real shell for everybody. A shell which give the idea that she's a strong woman, aggressive and proud.

Phobia(s)/fears: She's often afraid of very tiny things.
Passion(s): She's fascinated by vampires.
Likes: She loves tomato juice. It's rare to see her drink another thing. She loves that everything is tidy, that's nearly an illness.
Dislikes: She hates her race.
Target(s) in his/her life: To find the vampire who saved her.

Physical appearance:





Height: 1 m 89
Weight: 69 kilos
Hair: Dark grey
Particular sign: her whole appearance is a particular sign ! She dresses as gothic.
Tic: none

Strength(s): none
Weakness(es): none

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[align=center]You[/align]
Have you ever played at a RPG before ? A lot !
What do you think is your level in English ? quite good
What is the password ? I may know it ! XD

Nom: Il aime bien Hebdene du nom d'un de ses anciens maîtres mais cela change forcément en fonction de son maître actuel
Prénom: Arian
Âge: 26

Préférences: Bi sans aucun doute

Physique: Arian est relativement grand pour un humain puisqu'il mesure quand même un mètre 89. Et s'il n'est pas maigrelet, peut dire qu'il pèse quand même 90 kilos. De muscles ou de graisse ? Ca dépend des moments. Il a d'assez beaux cheveux qui forment un dégradé de brun foncé jusqu'à roux aux pointes. Sinon, pour le reste, il a deux yeux gris sale -du style eau de peinture mélangée après trois jours d'ouvrage- mais profond, c'est au moins l'avantage. Il aurait pu avoir des lèvres charnues mais raté, on en est à deux doigts. Vous comprenez le système. A chaque endroit, il aurait pu être parfait mais se plante systématiquement. Certe, l'ensemble est charmant voire beau mais en s'attardant sur chaque endroit, on remarque que rien n'est irréprochable. Il a les mains trop grandes, une mauvaise circulation dans les pied (un peu froids donc) la graisse assez flasque sur le ventre quand il se relâche et ne fait pas des abdos quotidiens, les poignets un peu trop graciles, le nez trop droit et ainsi de suite...

Signe particulier: Rien de particulier

Caractère: Comment définir Arian ? Voilà une grande question, cela semble si simple et pourtant si compliqué ! A première vue, Arian est un esclave qui ne cherche pas la liberté. D'ailleurs, à regarder ses maîtres, il s'est toujours demandé à quoi ça servait. Si c'était pour poasser sa vie à trimer, à travailler pour payer des impôts... Il n'y voyait aucun intérêt. Lui était nourri, logé et blanchi à l'oeil. Quoi de mieux ? Ah si ! Le sexe en plus. Satyre, Arian ? Non, mais presque. Il semble penser que beaucoup de problèmes pourraient se résoudre par le sexe. Et si les polymorphes et les ombres faisaient plus l'amour, il y aurait nettement moins de guerres. Néamoins, il se fiche de la politique ou des dieux. Même s'il peut parfois utliser ces conversations pour faire enrager les gens.

Oui, une de ses grandes passions est de mettre les gens à bout. Il trouve cela très amusant. Il adore trouver leur point faible et ensuite les contrôler avec cela. Car il ne faut pas croire : Arian est assez manipulateur ou du moins, il aime bien jouer avec les nerfs des gens. Sans compter avec son maître. D'ailleurs avec lui, il cherche souvent à prendre le contrôle - sans jamais déroger à son statut d'esclave, attention. Il a cependant tendance à toujours aller s'approcher des limites. S'approcher jusqu'à parfois les franchir... Que dire d'autres sinon à propos de lui ? Il n'est pas vraiment timide mais ça, vous vous en étiez douté. Sinon, le reste sera à découvrir à l'usure... Ah si, une autre chose... Il a horreur de travailler et préfère rester quasi oisif.



Histoire: L'histoire d'Arian est du plus haut, du plus extraordinaire et de la plus constante banalité. Sa vie pourrait être résumée en quelque mots : naissance, enfance, sexe, maîtres. Mais pour assurer la satiété du lecteur avide de détail, nous irons donc décrire plus longuement ce qui s'est passé autour de la personne d'Arian depuis sa naissance. Pour ce qui est avant sa naissance, je vous conseille d'aller voir les fleurs et les abeilles qui se chargeront de vous expliquer tout ça.

A la naissance donc, Arian est un mioche braillard comme tous les autres. Il grandit en étant assez turbulent, en jouant beaucoup, en se défilant pour travailler. Pour cela, il allait apprendre à lire et à écrire chez un libre. Il n'aimait pas vraiment cela mais c'était moins pire que de faire les corvées ménagères. Arrivé à treize ans, il quitte la lecture et se fait envoyer par son maître pour aller apprendre la musique dans le temple du coin. Nulle bonté d'âme chez le maître, seul appât du gain : un esclave instruit se revend nettement plus cher. Il n'allait pas alors apprendre seulement la musique mais également ce qui allait mener sa vie plus tard.

Un des prêtres qui se promenait non loin de la salle de classe remarqua son joli minois d'adolescent et décida de ne pas se priver. Sous prétexte d'un apprentissage plus approfondi à la religion locale, le prêtre invita Arian dans ses appartements plusieurs fois de suite jusqu'à ce que son maître le découvre. Arian fut alors vendu très chèrement au prêtre qui lui avait pris sa virginité.

Le prêtre avait cependant détourné de l'argent de la caisse pour pouvoir acheter Arian. cela fut rapidement découvert et commença pour Arian le début d'une longue errance à naviguer entre ses maîtres. Soit il était vendu pour une raison X ou Y soit c'était pour des questions de jalousie (donc des raisons XX ou XY) soit finalement parce qu'Arian poussait le bouchon un peu trop loin. C'est cela qui a mené son dernier maître à le vendre aux enchères.

<div style="text-align: center; background-color: #990000; color: #000000;">Qui êtes-vous ?</div>

• Nom et prénom : Ardavatz Arek
  
• Surnom : Angel ou l'ange
  
• Âge : Le centenaire
  
• Race : Mi ange mi humain
  
• Monde d'Origine : Le Ciel [bah quoi ? Notre monde s'appelle La Terre]
  
  
• Signe particulier :Il porte toujours des gants
  
• Tour des arcanes
  

<div style="text-align: center; background-color: #cc3300; color: #000000;">Approchez qu'on voit un peu à qui on a affaire...</div>



Physique : Mi-ange, mi-humain, son apparence n'était ni ange ni humain. Pourtant, il y a avait des traces de chaque race dans sa physionomie. Puisque le voir ne vous suffit pas et que l'ouïr vous ait absolument nécessaire, cher lecteur, ouvrez donc vos esgourdes et oyez.

Un peu plus petit que la moyenne, vous jugerez à l'usure qu'Arek ne fait pourtant pas son mètre soixante-quinze. On le croirait plus petit et plus mignon qu'il ne se sent réellement. De sa petitesse, on est souvent étonné de son poids. Il faut dire qu'il parait nettement plus malingre que ses 85 kilos, ce qui, là, est nettement supérieur à la moyenne.

Cette sensation de petitesse est cultivée avec attention grâce à un port quasi constant de vêtements amples. Ne le sentez-vous pas perdu dans des vêtements qui semblent être trop grands pour lui ? Pourtant, dès qu'une volute de magie fait frémir l'éther, sa cape ou son manteau se soulève pour laisser apercevoir une tenue bien plus près du corps. Là, vous pourrez voir qu'il porte des gants et, si le temps est chaud, ses gants laisseront apercevoir la délicatesse d'un poignet plus habitué à manier la plume que l'épée.

Comme beaucoup d'êtres, ses yeux méritent qu'on s'attarde à leur description. Porte ouverte sur son âme, l'Ange à du mal à cacher les sentiments qui le traversent à défaut de cacher son mobile et ses intentions. Ses yeux verts sont souvent cernés par la fatigue d'une veille sur un grimoire ou l'intensité de la recherche de perfection de l'exercice. Une étincelle brille de temps à autres lorsque des sentiments extrêmes lui traverse l'esprit.


Caractère : Si la psyché forge l'essence d'un être, c'est son passé qui modèle son caractère. Ardavatz n'échappe pas à cet adage de potier céleste. Il en serait même un exemple parfait. Ayant souffert d'un rejet de part les deux sociétés auxquels il pouvait s'identifier, il cherche à leur arracher une part de reconnaissance. Même si elle est truquée, même si elle est forcée, tous le verront tel qu'ils auraient dû le voir à l'origine. Et puisqu'ils étaient aveugles, Arek leur ouvriraient les yeux.

Si ces objectifs ne sont rien moins que gigantesques, l'Ange sait qu'il doit attendre son heure pour l'atteindre. L'ambition n'excuse pas la bêtise mais provoquerait la patience. A ce niveau là, on pourrait le confondre avec un serpent en embuscade tapis sous la roche. Il sait attendre, dans tous les domaines qu'il soit. Cette attente se traduit dans la façon dont sont fait ses gestes : lentement mais avec une grande précision.

Ce calme si constant pourrait faire croire qu'il a oublié comment se mettre en colère. Il n'a en tout cas pas oublié la rancune et sait difficilement pardonner. Il faut noter par ailleurs qu'il a tendance à faire des paris, des voeux et à se lancer des défis parfois assez stupides. De manière générale, il les tient. C'est ainsi qu'à la suite d'un vœu lancé à la mort de sa mère, il ne laisserait personne distinguer quel était son prénom par rapport au nom. Lui, n'a pas oublié mais personne ne le sait. On peut noter d'ailleurs qu'il est assez têtu : vous ne serez pas étonné d'apprendre qu'une fois qu'il s'est mis une idée en tête, il la suit coûte que coûte.


<div style="text-align: center; background-color: #CC6600; color: #000000;">Racontez-nous votre histoire... </div>


Tu auras tant de choses à voir
Pour franchir la frontière du savoir
Recueillir l'héritage
Qui vient du fond des âges
Dans l'harmonie d'une chaîne d'amour

C'est l'histoire de la viiiiiiiiiiie
Le cycle éternel
Qu'un enfant béni, rend immortel !

Rrrm, oui, enfin, ça c'est pour les belles histoires. Le gamin qui fut tiré de l'union du père humain et de la mère angélique ne fut pas vraiment béni mais plutôt fui comme la peste. Ou plutôt il reçu quelques pierres comme un chien galeux. 'Que celui qui n'a jamais frayé avec une autre espèce jette la première pierre', disait l'ancien. Nombreux furent ceux qui ont écouté les paroles du sage, pour une fois.

Le petit Arek suivi ses parents à travers divers mondes mais les divers mondes devaient connaître cet adage. La chère et tendre mère était sans aucun doute trop tendre pour la violence de cet amour, littéralement. Le père continua d'élever l'enfant mais il n'en restait qu'un humain et succomba face aux maux habituels pour les humains. Heureusement, l'enfant avait eu le temps de devenir presque adolescent et capable à ce titre de traverser les mondes tout seul.

Au détour d'une soirée dans une auberge aux relents de pisse et de bière, le jeune Ardavatz discuta avec un pilier du bar qui lui parla d'un château offrant refuge aux pestiférés comme lui. Le jeune garçon s'en alla rapidement avant que le pilier ne s'écroule et l'auberge avec. Il traversa rapidement quelques mondes avant de se retrouver là où la rumeur l'avait porté : le château des fous.

Son errance l'avait laissé exténué comme beaucoup d'autres qui s'échouaient dans ces murs comme une baleine sur la plage. Il s'y reposa dans un premier temps, y grandit dans un deuxième et se fit découvrir quelques talents dans un troisième. La magie semblait couler dans ses veines comme le vin dans le gosier d'un soulard. Cela du sûrement interpeler le maître des Arcanes qui en vint à discuter avec le jeune homme.

On dit que les premiers mots d'une personne détermine le reste de sa relation avec elle. Ce n'est pas toujours vrai et cela peut évoluer mais dans ce cas-ci, l'adage était plutôt véridique. Dès les secondes paroles du maître, Ardavatz s'en méfia. Il fallait dire qu'il avait été seul à oser lui répondre ainsi. Les paroles restaient encore fraîches dans sa mémoire. Alarin lui avait demandé son nom. Fidèle à son voeu, sa réponse avait été évasive.

"Mon prénom ? C'est l'un des deux, avait-il répondu en haussant les épaules pour bien montrer de ne pas aller plus loin dans le questionnement.
-Je déclare que ton prénom sera Arek. Diminutif du prénom Arkadiusz du monde poloniais."

Ardavatz Arek ou Arek Ardavatz ne bougea pas d'un cil, voulant éviter de se trahir par une réaction irréfléchie. Il n'empêcha que cette déclaration qu'il jugea un peu orgueilleuse provoqua en lui une certaine défiance. Cela ne le dérangea cependant pas par la suite d'avoir des relations professionnelles tout à fait correcte et de ne pas trop l'éviter au détour d'un couloir.

Car les couloirs, Arek aimait les fréquenter. Il préférait un bon couloir un peu isolé à une bibliothèque remplie d'un silence bruyant de monde. En plus, il avait vu depuis longtemps que les rencontres de couloir pouvaient être plus intéressantes que celles de bibliothèque où elles étaient continuellement ponctuées par des 'chut' agacés.

L'apologie du couloir ne se termine pas là : car qu'est ce que la vie présente sinon un corridor vers le futur ? Le reste de l'histoire de notre ami se verra dans d'autres lignes que celles-ci.



<div style="text-align: center; background-color: #cc9933; color: #000000;"> Mais... Qu'est ce qui traine dans votre sac ? Et puis, de quoi êtes vous capable ? </div>


Possessions : Un cerveau, une peau et des vêtements. Pour atteindre le sommet, il faut voyager léger. Ah si ! Il faut noter justement : son sac. En bandoulière et fait de cuir, il en prend soin. Cet objet n'a pas de symbolique particulière mais depuis le temps qu'il le possède, il en prend soin. Autre chose à laquelle il tient : sa paire de lunettes. Noires et rectangulaires, il les mets souvent pour lire des grimoires. Il n'en a pas réellement besoin mais ça lui évite des maux de tête.

Première dépense de points (niv4) :

• Acrobatie : Faible(1)
  
• Artisanat : Nul(0)
  
• Combat : Nul(0)
  
• Connaissances : Moyen(2)
  
• Magie : Fort(3)
  
• Tir : Nul(0)
  

Dons :

• Langue (en plus du commun) : angélique, fatalement, il connait la langue des anges.
  
• Flottement : dépourvu d'ailes, il sait néanmoins se déplacer sans toucher le sol. Cela ne va pas plus haut que 50 centimètres, en général.
  
• Sommeil : Il a la capacité de s'endormir instantanément et un peu n'importe quand et comment.
  

« Tiens, lis ! »

Je m’empare du dossier que me donne mon ancien supérieur. Les pages sont parcourues d’une écriture que je n’avais plus lu depuis longtemps. Non que je connaisse celui qui l’a écrit mais je ne lisais plus l’arabe depuis quelques temps. Des mots sont soulignés, d’autres, je les vois d’office, tellement familiers, tellement aimés et pour certains détestés.

« Prends ton temps, si ça se trouve, tu vas te rappeler des choses. »

Je hausse un sourcil. James a toujours été un supérieur avisé et un ami de bon conseil. Je le lis. Effectivement, rien ne manque.

الملف الكسندر جونز a écrit:

¤ Nom : Jones

¤ Prénom : Alexander

¤ Âge : 31 ans

¤ Description physique :

- Cheveux : blonds
- Yeux : Bleus-gris
- Taille : 1m75
- Poids : 76 kilos
- Corpulence : moyenne, tendance à empâter
- Groupe sanguin : AB –
- Maladies : Coqueluche, Mononucléose. Il est très résistant aux maladies dès lors qu’il se munit d’une écharpe. Sans cela, il est sujet aux rhumes et aux coups de froids.
- Blessures subies : fractures (côtes, clavicule, humérus droit -fracture ouverte) ; luxation de l’épaule gauche –peut maintenant se déboîter l’épaule à volonté
- Signe particulier : Cicatrices à l’omoplate gauche et au coude droit
- Divers : Alexander Jones est un homme moyen qui peut assez facilement se faire discret voire même se faire oublier. Sa force n’est pas énorme et est compensée par une grande endurance physique. Son physique étant plutôt flatteur, la séduction fut assez souvent une arme clé pour ses missions d’agent.

¤ Histoire :

Naissance à Edimbourg de Julie Jones le 1 Avril dans l’hôpital public. Père inconnu.

Enfance difficile : la mère travaillant de nuit pour récolter les fonds nécessaires à sa survie et celle de son enfant. Elle dort le jour. Le jeune Alexander profite de l’absence parentale pour faire l’école buissonnière et rester dans la rue. Plusieurs fois interpellé par la police, le jeune Jones ne s’assagit pas. A la menace de se faire retirer son enfant, Julie Jones préfère appeler son frère ainé à la rescousse. Mark Jones, de huit ans l’ainé de la cadette, est propriétaire d’un supermarché. Il donne un travail à Alexander et espère ainsi le remettre dans le droit chemin.

En réalité, c’est un échec. Alexander commet des vols et revends les marchandises. Suite à ces disparitions, Mark pose un ultimatum. Soit il dépose plainte et son neveu ira en maison de redressement. Soit ce dernier s’engage dans l’armée. Alexander choisit l’armée. A seize ans, incorporé à l’infanterie, il semble trouver dans ce corps difficile, l’autorité et la stabilité qui lui avait toujours manqué. Conseillé par l’un de ses supérieurs, il reprend des études sous la forme de cours du soir et se spécialise petit à petit dans la politique au Moyen-Orient.

A dix-neuf ans, sa garnison est envoyée en mission en territoire hostile. L’attitude du jeune homme lui vaut une décoration. Ce sera après ce coup d’éclat qu’il rencontrera des membres du MI6 en la personne de James B. Après quelques épreuves dont il ignorait l’importance, il se voit embauché comme agent en service actif. Après une formation complète, ce sera pour régler les papiers administratifs dans son ancien corps d’armée qu’il rencontrera Jenny.

Le coup de foudre semble réciproque puisqu’après deux mois, ils se marièrent et un an et demi plus tard naîtra Andrew. Alexander est passionné par son travail et y excelle de plus en plus. Ses missions dérapent parfois comme lors de sa capture par un groupuscule terroriste. Il sera libéré après de nombreuses négociations. Mais après un séjour surveillé, il reprendra rapidement ses missions. Son couple sera victime de ce succès puisque les disputes éclatent et le climat familial se détériore rapidement. C’est lors de ce climat orageux qu’Elizabeth nait. Un ultimatum est posé et Alexander y cède. A vingt-huit ans, il démissionne de son poste et s 'en va travailler dans le civil.

Ses compétences sont malheureusement peu utiles ailleurs. Il navigue entre des postes de traducteurs, de vigiles, de garde du corps et d’autres tout aussi variés qu’inadaptés pour Jones. Après quelques mois d’accalmie, Alexander sombre dans la déprime et l’orage recommence. Cette fois, le divorce est prononcé. Ses enfants sont retirés de sa garde. Jones continue à survivre grâce à des emplois précaires.

¤ Caractère :

Jones ne respecte pas l’autorité et ne la respecta pas plus à l’armée malgré son assagissement. Seule l’estime qu’il avait pour les hommes qui lui donnait des ordres permettait de le faire obéir. Cette estime n’est pourtant pas suffisante pour lui ordonner quelque chose contraire à sa conscience, sa morale ou les objectifs qu’il s’est fixé. A cet égard, on peut dire qu’Alexander est têtu. C’est même parfois un adjectif un peu faible : il ne reculera jamais devant rien si cela va à l’encontre de ce qu’il a décidé.

Si cet homme peut sembler très sociable et prompt à discuter avec n’importe qui, en réalité, il n’accorde que très rarement sa confiance. Peu de personnes vivantes peuvent se targuer d’avoir été son ami.

S’il est intelligent, il peut se montrer très stupide et parfois trop hâtif à tirer des conclusions. Il est un être tout sauf froid. En effet, il est très impulsif, prompt à s’énerver et à montrer ses émotions. Pourtant son entraînement l’a préparé à maîtriser ce point : s’il a décidé de manipuler une personne ou de s’attirer sa sympathie, et après un instant de préparation, il réussit assez bien à cacher ses émotions. Dans ce cas, quelques détails dans son attitude viennent souvent contredire ses paroles mais il faut avoir une bonne intuition ou être un expert dans le langage corporel pour le savoir. Par ailleurs, il est très fier, mesquin, facilement hargneux et violent. Il est cartésien et ne croit ni en Dieu ni aux fées ou au surnaturel même s’il apprécie de temps à autres à se retrouver devant un film de fantasy ou de science fiction.

Il aime le jeu (mais joue rarement de l’argent sauf en poker où il est particulièrement doué) et se révèle être un mauvais joueur, ce qui n’est pas des plus pratiques et provoque souvent des bagarres. Il faut dire que d’une manière générale, il ne supporte pas avoir tort.

¤ Informations importantes :

- Peurs : mort, douleur, espaces clôts et sombres (non, ce n’est pas de l’intensité d’une phobie)
- Hobbies : collectionne les écharpes.
- Compétences particulières : techniques de combat, cryptographie, survie en milieu hostile. Connaissance du français, de l’arabe et du pachto, maîtrise de la fabrication du thé.
- Faiblesses particulières : ne tient pas l’alcool, malade facilement sans écharpe, par temps de pluie sa blessure au coude droit lui fait mal jusqu’à parfois le laisser incapable de bouger la main et l’avant bras.

« Effectivement, c’est complet, commentais-je légèrement amer de voir ainsi le désastre de ma vie.
-N’est-ce pas ?
-Où t’es-tu procuré ce dossier ? C’est écrit en pachto.
-Notre gouvernement collabore avec les afghans, tu sais ?
-Tu vas me dire que les temps ont changé ?
-Non, plutôt que l’histoire se répète. Ce dossier a été trouvé au cours d’une saisie chez les rebelles.
-Sur moi ? Pourquoi ?
-Nous n’en savons rien. Je veux que tu enquêtes là dessus.
-Tu sais que j’ai arrêté le service actif depuis la naissance de ma fille ?
-Evidemment. Comme je sais que depuis ce temps là, tu te sens un moins que rien. Tu as arrêté pour être avec ta famille et tu n’as plus de famille. Je te propose de recommencer à être toi-même.
- Je vais réfléchir, concluais-je en me levant. »

Mais James savait aussi bien que moi ma décision. Trois jours après, je commençais mon enquête. Je me sentais à nouveau un homme neuf en phase avec moi-même. En cette année 2016, rien n’avait vraiment changé depuis 2008 : les groupes terroristes constituaient toujours la menace numéro une de notre société. Et celui sur lequel j’étudiais était très actif. Très actif et ses membres étaient loin d’être des enfants de chœur. Je n’avais que quelques photos floues de ses chefs. Ca devenait très brûlant. Son nom qui semblait tiré d'un mauvais film reflétait cette chaleur : le groupe du feu purificateur.

Je devenais aussi de plus en plus gênant, je commençais à savoir trop de choses et même si mon métier était d’être discret, tout se savait. De plus, je me sentais constamment suivi. Ils étaient habiles, jamais je n'avais pu les voir. Je rétorquais par les techniques habituelles pour être connues comme les plus efficaces : je ne prenais jamais d'habitude, je ne rentrais jamais chez moi par le même chemin, je m'arrêtais sur le bord de la route pendant plusieurs minutes pour éviter qu'on en me file.

En fait, je repris une seule bonne habitude : je ne quittais plus mon arme. Ce fut grâce à elle que je tirai sur deux de mes agresseurs dans cette ruelle. Mais je fus vite maîtrisé. Je me souviendrai encore de la sensation de ma joue contre le sol humide et puant lorsqu’on m’enfonça une aiguille dans la chair. Je me souviendrai encore de cet instant qui suivit, de cet instant où je me savais faible et impuissant comme le pire instant de ma vie. Du moins, c’était ce que je croyais. Naïf que j’étais…

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Lien éventuel avec une personne déjà présente : aucun

Quelle sorte de maître souhaitez-vous ? Dominateur sadique dont le joueur n’aura pas peur d’aller loin pour briser et/ou blesser mon personnage. De préférence masculin même si ce n'est pas nécessaire. Bon ensuite si quelqu'un est particulièrement passionné, je veux bien voir aussi.

Nom de l'avatar : Ewan Mc Gregor (on m’a dit que son joueur n’était plus là dernièrement et qu'il était donc possible que je prenne)

Vos disponibilités pour poster : Aléatoire. Cela dépend surtout de ma passion pour le(s) sujet(s). De manière générale, je viens tous les jours sur les forums, je peux poster en conséquence

Mots de passe : Rodolphe; Flocon; Sapin (c'est qui Rodolphe ? ^^)

Comment avez-vous connu Vampires Kingdom ? top site velusia bien que j'ai failli prendre l'autre. Faudra que vous m'expliquiez la différence. ^^'

Nom : Rickleoff
Prénom : Andriyin
Age : 19 ans
Sexe : Masculin
Lieu de naissance : Reykjavik, Islande

Pouvoir : Clairvoyance

Ce pouvoir ressemble beaucoup à celui de la précognition sauf qu'il agit dans le présent et qu'il n'y a pas de limite spatiale à l'utilisation de ce pouvoir tant que le citoyen se rapelle présicement les lieux qu'il veut sonder. (il ne peut pas déterminer la présence ou non de choses dans des lieux inconnus)

Niveau I) abscence ou présence d'un objet
Niveau II) abscence ou présence d'un objet, d'un être vivant
Niveau III) abscence ou présence d'un objet, d'un être vivant, d'un évènement


Caractère : En un mot, on pourrait dire que Andriyin est endoctriné. Il est un fervent fanatique du Maire, son rêve est de devenir le chef de la police politique et il n'hésite pas à balancer les gens à celle ci. Il suit tous les réglements à la lettre -ce qui n'empêche pas d'avoir des interprétations différentes. Et s'il respecte les règlements et pourrait se laisser tuer pour le maire, c'est malgré tout un meneur assez bagarreur,.

Au delà de ceci, il aime beaucoup les enfants et plus particulièrement sa soeur, même s'il ne peut s'empêcher d'être aussi dur et rude avec eux comme avec le reste du monde.

Il est amusant de voir comment il alterne entre de longues périodes où il n'a rien à faire de particulier et d'autres où il est complètement débordé. Par ailleurs, il est assez ordonné dans ses actions. Il sait ce qu'il a à faire et il le fait. Andriyin est assez prosaïque, utilitariste et pas vraiment romantique. Pour lui, tout ce qui est fait doit avoir une utilité, ou presque.

Il est par ailleurs très orgueilleux et facilement insolent avec les gens qu'il considère comme inférieurs, les thaumaturges en particulier. Il méprise ces gens qui ne sont pas fichus d'aligner cinq lignes de code. La magie, ce sont des choses pour endormir les petits enfants.

Enfin, un de ses points sensible est qu'il déteste qu'on le traite de vieux à cause de la couleur de ses cheveux. Mentionnez cela et vous pouvez être sur qu'il s'énervera et qu'il essaiera de vous casser la figure.

Ambition : Devenir dirigeant de la FDC

Histoire : Andriyin est né en Islande mais ne se souvient de rien de sa vie là bas. En effet, à l'âge de deux ans, le médecin de la famille lui ayant fait passer le test, il fut détecté comme dégênéré et envoyé à Dégênerescence.

Au vu de son jeune âge, il ne fut pas envoyé à l'orphelinat en attendant ses neuf ans mais fut recueilli par une famille de technologues de Dégênerescence. Il y vécu une enfance heureuse auprès de ses nouveaux parents.

Alors qu'il avait cinq ans, une petite soeur, Jézabell, est née dans la famille. Il l'a tout de suite adoré et s'en occupe assez souvent. C'est à la même époque qu'il entra dans les brigades de la jeunesse. Alors qu'il avait huit ans et Jézabell trois, il apprécia d'autant plus particulièrement sa petite soeur. En effet, leur mère avait repris un travail au zoo de dégênerescence et avait engagé quelqu'un pour garder sa petite soeur. Or, la dame engagée venait avec sa propre fille, Elisabeth, qu'Andriyin voyait souvent à la brigade et qu'il appréciait beaucoup. L'amitié a grandit entre eux pendant ces moments là.

Cette amitié grandissante ne faisait qu'attiser la jalousie d'un autre garçon, Gulian. De ce fait, Gulian et Andriyin ne pouvaient pas se supporter et se battaient souvent. Cela continua ainsi jusqu'au jour où, Gulian lança à Andriyin qu'il ne valait pas mieux qu'un Sans Pouvoir parce qu'il n'était même pas né à Dégênerescence.

Andriyin revint chez lui en pleurant et expliqua la situation à sa mère qui soupira. Puis elle lui expliqua ses origines. Andriyin fut pour le moins choqué et partit en courant de la maison. Il marcha longtemps dans le parc de la ville et, comme d'habitude, se perdit. A un moment, il s'arrêta au milieu des arbres et s'assit. Il décida ce jour là que, puisqu'on lui avait menti pendant tout ce temps, il ne dirait pas la vérité lui non plus. Il se releva alors et esseya de retrouver son chemin. Comme toujours ce fut sa soeur qu'il le retrouva, elle tenait la main de sa mère derrière elle.

L'année suivante, alors qu'il eut neuf ans, il entra à l'école des technologues et reçu son ordinateur. Il fut époustoufflé par la cérémonie qu'il y avait et fut fasciné par l'apparition du maire et cela le conforta dans sa croyance. Andriyin suivit sa scolarité sans problème pendant tout ce temps jusqu'à un jour dans sa seizième année où il vécu un autre épisode important de sa vie.

Au fil des années, l'amitié entre Elisabeth et Andriyin s'était faite plus forte et les relations entre Gulian et lui s'étaient dégradées. Ils se haïssaient littéralement. Il se battaient toujours mais Gulian, plus baraqué, gagnait toujours et l'avait envoyé parfois à l'hôpital. Ce jour là, Ils avaient commencé une fois de plus à se battre mais la situation avait dégénérée (^^) et alors qu'Andriyin était à terre, Gulian avait sorti un revolver à femto-ondes. A ce moment là des membres de la FDC apparurent derrière Gulian, le désarmèrent et l'emmenèrent. Celui qui apparaissait être le chef s'approcha d'Andriyin, s'accroupi près de lui et lui dit simplement : "si tu n'es pas capable de te défendre seul, tu n'es pas digne d'être dans la même ville que notre bien-aimé maire" Il s'en alla en rallumant une autre cigarette.

Andriyin resta assis par terre comme un abruti pendant quelques minutes avant de comprendre ce qui lui arrivait. Quelque jours plus tard il revit Gulian. Celui ci était parfaitement aimable et doux avec tout le monde. Andriyin comprit alors la force des FDC et décida d'en faire partie et d'en être tout particulièrement le chef. C'est à ce moment là qu'il se mit à fumer et à essayer d'acquérir les compétences voulues pour postuler en tant que membre de la FDC quand il aurait fini ses études. Il se mit donc à étudier les techniques de renseignement et à essayer de mener une vie à peu près exemplaire tout particulièrement concernant le culte du Maire.

Il devint donc assidu dans ses études, délateur efficient -mais si discret que peu de gens ne pouvaient le soupçonner. Peut-être pouvait-on lui reprocher une activitée physique irrégulière, toujours est-il qu'il fut nommé délégué à ses dix-sept ans. Il continue ses études et son train de vie.


Description physique : Andriyin a tendance à se tenir soit droit comme un I soit relativement vouté. Ce qui aggrandit ou rétrécit son mètre 79 assez considérablement. Malgré son manque d'exercice régulier, il n'est pas en surpoid car il mange assez peu, d'où ses 75 kilos tout tassé. A noter qu'il n'est absolument pas musclé, ca doit être 75 kilos de graisse. Ses cheveux sont très clairs, presque blanc, pour ne pas dire complètement blanc. Cela contraste avec son teint mat, assez fonçé. Andriyin ne s'explique pas la raison de ces deux couleurs et à vrai dire, s'en contrefiche totalement.

Il s'habille généralement avec des chemises de couleur et des jeans noirs ainsi que des chaussures ou des bottes, cirés. Quand il pleut ou qu'il fait un peu froid il enfile une veste ou un long manteau de cuir noir. Il n'y a qu'en été lorsqu'il porte des t-shirts où l'on peut voir son ordinateur bracelet sinon il est sous ses vêtements.

Tic : Il a tendance quand il est gêné ou stressé à se passer la main derrière le cou -et à s'allumer une clope.

particularité : Il n'a aucun sens de l'orientation. Il a son permis de conduite de vaisseau.

Description du bracelet : Le bracelet-ordinateur d'Andriyin est assez fin à peine plus d'un centimètre de large et de hauteur. Les bords sont nets et plutôt carrés. Il est gravé de signes noirs sans aucune courbe. Il n'y a que deux boutons sur celui ci : celui pour ouvrir le bracelet et l'autre pour activer le clavier. Alors, un hologramme rigide e forme de clavier apparait sous sa main droite. Andriyin peut ainsi taper facilement ses lignes de code. Apparait également un écran où il voit ce qu'il tape. La petitesse de son ordinateur fait qu'il glisse généralement sous ses vêtements.



Mots secrets :
-admin edit-

EDIT du Maire. Je t'avais complètement oublié, merci de ton mp. Pour toi avant de postuler au niveau supérieur 7 sujets en jeu. Je crois que tu les a déjà fini de toute façon.

Name:Louise
Age:19 years
Contact Information: i will send it by mp to whomever want it
Ps I'm French so please correct me if I do any (too much) grammar or over faults

Name:Cassandra Philips
Alias: not yet ^^
Age:16 years
Position: Student

Power:

Her mutation brings her next to the animal stage: she thinks a lot as an animal: in term of predator and prey and she acts as that if she feels threatened. There are two different stages in her capacities:
Stage one: her five senses are superior to the normal; she is very strong and nimble. She can easily run on all fours for one or two strides. She can make very big jumps. She has now another vision of the world. First, She can't see any more all the normal colours: she doesn't see the blue but infra-red instead. Her vision is now adapted to the hunts: all movements seems slower and the darkness is only a souvenir to her. On the other hand, she is very sensitive to the light: it hurts when it's too bright. In one word: she is an animal- like mutant.


The second stage appears when she has drunk her own blood. Then, she transform in a kind of monster which shares the particularities of wolves and tigers, well a kind of big monster you wouldn't have in front of you ^^. In this stage she's as huge as a cow but with much bigger hooks the particularity of this stage is that her bite, if you have the luck to survive, release a particular substance in your wounds. For mutants, power increase temporally. But also her human conscience fells, she doesn't remember anything or so little which appears as in a dream. But as the first condition is to drink her own blood, she only once came up to that form...Last thing: to get back to her "normal" form, she needs to be strike.

Weakness:


An over big thing is her animal side: human and animal consciences always fight together and when (rarely) she loose her humanity she can't be controlled and can attack everything... Even if she has a good physic constitution, she stay very fragile under a carapace of solidity. She can’t be knock out very easily but she suffers as every human. So she can be hurt by the usual objects : guns, knives, bludgeons, fists, knees, slaps and mosquitoes’ bites. She even can catch colds!

A thing that is very disturbing is the light. If there is too much light she can’t see anything and it hurts a lot. THere is a disavantage : if there is a blue thing in front of her, she won't see it and will hurt it unless if that object emits an odor or a sound.


Another thing is that she is afraid about her parents’ reaction. They so wanted to have a nice little girl. And she isn’t any more. In fact, for them, she considers herself as a monster. But if everyone else said she is a monster, she won’t be hurt (usually she prefer not to think about the question).

Appearance:

Cassandra has got lot of long blond hair. She is very pretty even if she isn't careful with herself. She has strong muscles even if they are very graceful. Her nails are very strange: they are a mix between human nails and cat’s claws. But you have to be very careful if you want to see a difference. Two things are very shocking in her face: her canines and her eyes. Her canines are very long; obviously it's easier for drinking blood. She also has strange eyes with no iris: they’re only red. But if we look well we can see white sparks in her eyes. She has a cat-like walking, very fluid, graceful and dangerous.

When she have class, she dresses with a jean and t-shirt and tennis shoes. But, as soon they have finished, she puts on short shirt and swimming suit top and walk without shoes or, when it’s necessary, with tongs. So, her clothes don’t prevent her to move. When she have to go in a colder place, she likes to wear leather and fur made clothes with boots.

She usually wears sunglasses. Officially to hide her eyes, unofficially to hide the brightness of the light.

Personality:

She thinks as a predator, this is the big thing. If she doesn't consider you as a friend in whom she has confidence, you can be ever considered as a prey, an adversary or as nothing special. All depends of the first impression. If you fall in a category, you will have some difficulties to go in another...

She is not use to do some social “bluff” that humans do so well. Usually, if she thinks something, you will know what. In effect, if she didn’t tell you what is it, her whole body and corporal expression will do it for her. But, if she hide her thought or her intention, you are in a very bad situation! You are the “prey”. So she hates you and will do all what she can to ruin your life and neutralise you. And that, until the time she considers you have paid your debt. Even if ,usually, it stay at the intimidation stage with some roar and paw’s blows.

If she is very quick to make enemies, she have more difficulties to make friends. She will only have a very few friends but she will have a blind confidence in them. By the way, if a friend betray her, that man has better to go on the other side of the globe if he wants to survive. If a friend have any single problem, she will do all what she can to help him. She will spend lot of time with them but, time to time, she will go away, in her room or wherever, just to stay alone and breathe.



like and dislike

Well, she loves to stay outside and go to have fresh air. Run in the wilde spaces. aAnd generally, she likes doing every thing physical like sport, fighting, climbing... She also loves to hunt.
She likes to watch television but only the documentary channels and the films about war.
She also like to do cat snap of ten minutes or so. Very useful in bothering classes!
She loves to stay in front of a good chimney fire and do nothing.
But if she is with her friends she likes evrything because she spend a good time... (she also like to hunt her enemies)

One thing she dislike now is to read : she don't see any more the caracters : so she touch the paper and feel where is the ink. But doing that she can't read a lot (it's too exhausting) and she is fed up with this way.
She particularly hates all the postal boxes! There are blues and always bang them and people take her for an idiot. More generally, she hates all blue things. (i don't even talk about the blue walls!)

History:

Until her 15 years nothing special could have been used to describe Cassandra. Maybe she was a little more intelligent than the others but not so much... She was a normal teenager, a little too much maybe. She had friends, liked to go to cinema and talked about boys.

One day, in bio class, while the subject was dissection, she had a quarrel with a nother pupil, named Joey, that Cassandra couldn’t bear. In fact, they hated each other. It began as a simple (bad) joke but turned out to be a big error. At a moment, the teacher had to leave the class to meet the headmaster and he let the students alone. Joey said to his friend to look at the big joke he would made. He took the entrails of the frog he was dissecting, came near Cassandra as silently as possible and, quickly, put the guts in her T-shirt. At the contact of that viscous material, she screamed, quickly put off the flesh out of her T-shirt. She was furious and everybody else laughed at her. Without thinking, she slapped as violently as possible at Joey. Of course, he slapped her back. And they began to fight. But she wasn’t as strong as Joey and he rapidly has the upper hand. After a few punch, he took her by the hair and bang her head against the floor. She felt nearly unconscious. All was becoming dark around her and her strange, hot substance filled up her mouth. It was liquid and had a bad taste. She was suffocating and try to breathe. She drank the substance doing that. What came after, nobody knows...

But I will tell you :
Her conscience felt in the darkness and animal instinct appears. She feel that a terrible pain invade her body… She tried to scream but only a roar came. All the other pupil didn’t move like hypnotised by what they saw under their eyes. She was transforming. Her eyes became red, fur appears on her skin She was screaming of pain. And after a few minutes, a gigantic monster was in front of them. A monster wich was beside himself of grief and rage. Nobody moved. Only the breathe of the monster was audible. All change when the teacher camed back and opened the door. He saw a big animal in his class and a second after, that jumped on one his pupil, Joey and killed him. What came after was no less than what you can see on a battlefield. After Cassandra had killed nearly every student in her class, she jumped by the window from the third floor where she studied unto the floor. The tragedy let only one survivor : a little girl with a leg missing. She was so shocked that she is still catatonic. Now nobody knows what happened. Not even Cassandra who begin a new life in the town, feeding with the easier thing to hunt in a city…

Soon the police became in rage : there was some strange disappearances. Their only clue was a strange mark of claw on two walls. The press titled that a new monster became in the street and everybody feared to go in the town.

Once, she attacked someone and missed it. Then a strange thing came. That person came to have bigger and bigger lights of energy in her hands and soon projected them on Cassandra. She flew into the air and lay unconscious. And then she became human-like again but keep her red eyes and big teethes. When she awoke, she find herself nude in the street after a blackout of six months. At first, she wanted to go back to her home. But when she travelled the city, she saw herself in a water puddle pool. Then, instantly, she understood what she became and went in the only place for mutants she knew: the academy.


RP Sample:


Cassandra was lying in her bed. She didn't feel the necessity of sleeping. Well in fact, she didn't come to the history class at noon to sleep. That was the point... And now the weather was perfect! No rain, night, little wind... She hesitated. Shall her go to walk in the park or do something else? Impatience grows in her. She threw the sheets in the room revealing her nude corpse wrapped by the night but slightly illuminated by the moon.

She got up and get dressed rapidly. She went out with a determined attitude. She moved rapidly, half walking half running, flirting with the shadows and going near the walls. At her speed, anybody else would have made a lot of noise but every thing in the corridor was silent. As the stair came, she jumped unto the banister and slide to the first floor. At the end, she jumped again and looked around her.

She breathed, letting the scent of the night coming to her lung. She started again going to the door. This time she was walking slowly. Once, she brutally stopped looking out the window. She didn’t move any more. She just saw a little red spot on the ground. After a while, she recognise it as a rabbit, trying to feed on the grass. She felled disappointed but started a new time to walk to the door. And as she approached, she saw the TV. Now, a big torpor seized her. She shrugged. And walked to the sofa where she falled on it. She put on “wild channel”.
Her preferred one.


No problem (except one : I remade the entire history ! beuheuhhh) and I will stay here (sorry, you will have to bear me in the future ^^) with Cassandra. I just adapted the things, now.

PS : in a way, it’s fun to create a precedent ^^. Sorry for the brainteaser.

<div style="text-align: center; background-color: #990000; color: #000000;">Qui êtes-vous ?</div>

• Nom :Anopheles
  
• Prénom : Malaria
  
• Surnom : Oh, il y en a tant vous savez, j'ai eu "Mal", "la fille du général", "dégage p'tite conne", "palu", "virus" et puis "contre-amiral" mais ça c'est pas vraiment un surnom puisque c'est mon grade. Et puis, ça n'arrête pas, ça n'arrête pas, quasiment chaque personne qui me rencontre en trouve un nouveau par exemple, Ah ? Vous voulez qu'on passe à la suite ? Vous y tenez vraiment à ce formulaire, on dirait. Enfin, je comprend.
  
  
• Âge : Mon âge ? Mais on ne demande pas son âge aux dames enfin voyons ! Mais qui vous a élevé ? Vous insistez ? Qui consulte ce dossier ? Seulement les Cinq Maîtres ? Mmmmmh. Bon, je crois que je peux faire une exception. J'ai vingt-huit ans. Vous n'avez pas entendu ? Tant pis pour vous, il faut porter un cornet alors...
  
  
• Race : Atlante. Vous ne connaissez pas ? Mais vous sortez d'où ? Oh mon dieu, il faut ab-so-lu-ment que vous alliez en voyage là-bas ! Vous verriez le temple d'Ouranos ! C'est de toute beauté ! Et il y a un super vendeur d'encornet frits ! Un ré-gal ! Vous allez y penser ? Dites lui que vous venez de ma part alors, il vous fera une ristourne.
  
  
• Classe: Vice-amiral, je vous l'ai dit. Oui, vous pouvez mettre guerrière si vous voulez même si je préfère militaire. Mais j'étais plutôt dans la section des "force spéciales" assassin conviendrait donc peut-être mieux.
  
  
• Monde d'Origine : Et bien Atlantide ! Quelle évidence. Passons à autre chose voulez-vous ?
  
  
• Signe particulier : Et bien j'ai un petit tatouage en forme de dauphin... Si vous voulez, que direz vous de venir le découvrir dans mes quartiers après cet interrogatoire stupide, mon mignon ? Oh. Ne réfléchissez pas trop longtemps alors. Il se pourrait que je change d'avis...
  
  
• Tour : Ah oui, c'est vrai que si vous ne savez pas où j'habite, vous ne pourrez venir. Alors, vous grimpez au troisième étage de la tour de guerre, vous prenez ensuite le deuxième corridor à droite, vous continuez jusqu'à la statue de Dé Crépi le Jeune et c'est la porte à gauche.
  

<div style="text-align: center; background-color: #CC6600; color: #000000;">Racontez-nous votre histoire... </div>

Mon histoire ? Ouh là ! Par où voulez-vous que je commence ? Le début ? D'accord. Alors il faut savoir que Maman a rencontré Papa au bal des officiers. Elle était fille d'un capitaine de vaisseau et lui, il venait juste de sortir de l'école des officiers. Elle avait un si belle robe rouge que ? Plus loin ? Bon, si vous voulez alors. Qu'on aille directement à moi ?

Et bien, moi, je suis née un jour de grand vent. Maman avait horreur du vent. C'est sûrement pour ça qu'elle est morte en me mettant au monde. Donc c'est Papa qui m'a élevé. Tout seul, vous vous rendez compte ? Il m'emmenait partout avec lui, sur les champs de bataille, à la caserne, en inspection même une fois au tournoi qu'avait organisé le Basileus. Et à la fin, celui-ci a fait une promenade avec moi en dauphin ! J'aurai préféré que ce soit en requin mais vous vous rendez compte quand même de l'honneur ? Bon, c'est vrai que Papa était le général en chef et moi appelée à ne devenir pas moins. Ah oui, parce que j'ai oublié de vous dire, dans ma famille on est général de père en fils. Mais comme Maman était morte et bien, ce devait être de père en fille. Ah bin oui, je devais reprendre le flambeau vous savez.

Donc dès six ans, je suis entrée au château en tant qu'écuyère et j'ai suivi la formation classique. Je voulais entrer chez les arcus -Mmmh ? C'est le nom de nos archers- mais mon père n'a pas voulu. Il préférait que j'aille chez les turma. Il faut dire que je suis pas mauvaise cavalière. Aucun hippocampe n'a jamais pu me désarçonner. Bon bref, on s'est disputé et finalement on a demandé à l'oracle. Je me souviens, le lama a tremblé sous l'eau, c'était un bon augure donc on l'a sacrifié pour avoir la réponse. Après libations, buvage de vin et toutes les choses classiques, finalement, l'oracle nous a donné la réponse. Je devais aller chez les fanatiques. Alors du coup, j'ai commencé à me battre à l'épée. Enfin, aux épées, oui, un fanatique, ça se bat avec deux épées.

Mais finalement, ça a encore changé. En effet, on a déclaré la guerre aux barbares. Comment ça ? Vous ne connaissez pas ? Mais vous sortez d'où mon pauvre ? Enfin, je vous explique, les barbares sont les descendants des peuples sauvages qui vivaient aux frontières d'Atlantis l'ancienne. Et puis, il y a eu le Grand Cataclysme qui a recouvert la ville. Nous avons reconstruit Atlantis la Neuve sur les territoires de ces barbares. Et depuis, je ne sais pas pourquoi mais ils ont une dent contre nous.

Donc le basileus a à nouveau déclaré la guerre contre eux, conjointement avec Papa. Mais lui, il ne voulait pas que sa fifille de dix-huit ans meure en pleine mêlée. Et donc la veille de la bataille, j'ai été transférée chez les Achinomeones. Vous ne connaissez pas non plus ? C'est une force spéciale un peu particulière, c'est à moitié guerrier, à moitié espion, à moitié assassin. On l'utilise surtout en force tactique pour des missions brèves derrière les lignes ennemies. Histoire d'attaquer les points stratégiques.

Alors forcément en pleine guerre ouverte, il y avait du travail. J'ai été envoyé en plein barbare land -non, bien sur, ce n'est pas ainsi que ça s'appelait mais ça y revient, vous vous rendez compte ? Les rues n'étaient même pas pavées ! Une petite averse et biouf ! Vous pataugiez dans la gadoue, alors pour les bottes, je ne vous dit pas mais c'est abominable ! La quantitée de cirage que j'ai pu utiliser ! Et donc Papa m'avait envoyé là bas pour obtenir des informations de la part d'un centurion quelconque mais mais important.

Ce fut la mission la plus facile de ma carrière ! Tellement un succès que lorsque je revins, je fus nommée lieutenant de vaisseau. Et oui, mon p'tit gars, je n'ai pas été pistonnée pour tout : mes galons, je les ai gagné comme tout le monde ! Bref, grâce à ça mais pas que, au bout d'un moment on a gagné la guerre. Les barbares étaient repoussés et nous on a gagné un peu plus de territoires, et ça tombait bien parce qu'il y avait une crise du logement terrible à cette époque.

Donc du coup, à vingt ans, j'ai repris l'entraînement, c'est là où j'ai appris à me servir de ma lame longue, du rouge à lèvre et des talons aiguilles. Oui, bien sur on a essayé de m'apprendre de la cryptographie mais c'est vachement compliqué tous ces chiffres. Moi, je préfère quand c'est simple : des ennemis à abattre sans se poser de question ou un type à séduire. Sinon, ça me casse les pieds et je passe à autre chose.

J'ai eu des missions diverses et variées -notre grandeur fait beaucoup de jalousies- et il y a deux ans j'ai atteint le grade de contre-amiral. Et ce fut justement à la cérémonie d'investiture que j'ai rencontré Arkantos. Oh mon dieu, qu'est-ce qu'il était beau ! Magnifique. Nous avons commencé à sortir ensemble. Il y a un an, nous nous sommes mariés. Et puis là, j'ai gaffé. Il m'a demandé de chercher des choses dans les bureaux de mes supérieurs. Vous savez, moi, je voulais l'avoir cet enfant, lui il ne voulait pas à moins que je ne lui donne les documents qu'il me demandait. Mais est-ce que je savais moi que ces papiers, c'étaient les codes secrets des défenses de la ville ?

Du coup, dans la nuit, les barbares ont surgis. Il y a eu lutte et tout ça. Une partie de la ville a été détruite, une autre assassiné. On a repris le contrôle après quelques heures mais forcément, il y a eu enquête. Et du coup, moi, j'ai été considérée comme traître à ma patrie. Papa m'a renié et toute la ville s'est mise à ma poursuite. Oui, bon d'accord, j'ai fait une bêtise, mais est-ce que vingt deux milles morts, ça suffit à vouloir me mettre en prison jusqu'à la fin de ma vie ? Et bien, moi, je dis que non ! Voilà. C'est comme ça.

Et puis ensuite ? Bin, c'est tout. Sauf si vous voulez voir ce joli tatouage. Rrrrr, petit coquin, tiens.

<div style="text-align: center; background-color: #cc3300; color: #000000;">Approchez qu'on voit un peu à qui on a affaire...</div>

Physique : Vous ne me voyez pas suffisamment, il faut que je me décrive ? Enfin bon, si vous voulez. Alors, blonde aux cheveux courts, j'ai les yeux verts de mon père, le nez de ma mère : petit et légèrement retroussé. Bon, par contre j'ai aussi hérité de sa culotte de cheval mais grâce à Dieu, les hommes voient surtout ma taille fine et mon décolleté. C'est vrai que j'ai un 95 C parfaitement ferme. Et puis il y a mon tatouage aussi. Il est bien fait pour ça le tatouage. Détourner l'attention de cette fichue culotte de cheval ! Et dire qu'en plus maintenant je commence à avoir des rides ! Pourquoi faut-il qu'on vieillisse, par Gaia ? Vous ne pouvez pas savoir ce que je dépense en crèmes de beauté maintenant ! Tsss. Ah ? Et ma taille ? Fine, je vous l'ai dit. L'autre ? Ah non, j'aime pas non plus en parler. Vous dites que vous préférez les petites ? Aaaah mais c'est différent ça... Bon, je fais un mètre cinquante six. Bon, c'est sur que pour le boulot, c'est plus facile pour passer dans une cheminée mais pour voir par dessus des créneaux d'orichalque, c'est pas le pied, c'est moi qui vous le dit !


Caractère :

Mon caractère ? Bin, je sais pas en fait, je m'en fiche un peu, je vis, tout simplement. Si vous voulez.... Vous le voulez vraiment ? Je peux vous raconter ce que disent les autres. Alors... souvent, on me dit de me mêler de ce qui me regarde, c'est vrai que j'adore savoir tous les potins. Vous savez pas la dernière d'ailleurs ? Fenrir a été désigné l'héritier du plus grand trafiquant de la ville ? Pour un fils d'une telle famille, vous ne trouvez pas que c'est une honte ? Non ?

Enfin bref, sinon, on me dit que je suis bavarde, naïve parfois, tête de linotte, séduisante, collante, gourmande, c'est vrai que j'ai un faible pour les encornets et les pâtisseries. Oui, coquette aussi, ce que je déteste par exemple, c'est de mettre un rouge à lèvre qui n'est pas en accord avec la couleur de mes chaussures ! Bon, c'est vrai que le problème est réglé quand je porte mon uniforme, il est tellement mieux avec un maquillage naturel.

Oui, alors, par contre, au travail, une vraie professionnelle ! Quand j'abats quelqu'un, je l'abats bien. Il serait presque propre à la consommation. Et ça, sans laisser de trace. Et il est aussi facile de m'énerver sur certains sujets. Par exemple, j'ai horreur qu'on dise du mal de moi, de Papa ou de l'Atlantide en général. Dans ce cas, je dégaine vite. Ah oui, il est rare que je sorte sans une arme sur moi. Sinon, je me sens nue. Souvent, c'est mon épée mais ça peut être plus discret.

Ce que je pense de la magie ? Je sais pas trop, ça m'a l'air bizarre d'après ce qu'on m'a dit. Oui, je fais confiance aux rumeurs et aux on-dits. Il n 'y a pas de fumée sans feu. Et j'aime bien faire des farces aussi. Passer du coq à l'âne également, vous dites ? Ah bon ? Et puis aussi, je crois que j'ai un faible pour le romantisme. On ne croirait pas ? Bin si pourtant. Je craque pour un dîner aux chandelles. Ah, je confond aussi la gauche de ma droite. Ce n'est pas du caractère ? C'est quoi alors ? Vous ne savez pas ? Et bien franchement, vous ne savez pas grand chose.

Si j'aime bien prendre le commandement ? Pas trop en fait, je préfère obéir aux ordres, c'est moins compliqué. Je n'aime pas ce qui est compliqué. Comme le bien et le mal. C'est vachement dur, ça. Et sinon, ah vous n'avez plus de place sur votre formulaire ? C'est pas grave alors. Vous avez d'autres questions ?


<div style="text-align: center; background-color: #cc9933; color: #000000;"> Mais... Qu'est ce qui traine dans votre sac ? Et puis, de quoi êtes vous capable ? </div>

Possessions : Alors et bien en fait, ce que j'ai sur moi. C'est à dire mon uniforme et mon épée. J'ai un peu d'argent aussi et un petit médaillon avec le portrait de mes parents. J'ai enlevé celui de mon mari. Non, mais vous croyiez pas qu'après un coup pareil, je le porterai encore dans mon cœur ce fieffé imbécile ? Bon, ça c'est pour pas dire ce foutu con, il paraît qu'un femme qui jure, c'est toujours moins séduisant. Ah, et j'ai aussi un joli tatoua... Mes capacités ? Mais pourquoi vous vous énervez mon brave ? Il faut se calmer, dites donc !

Première dépense de points (niv1) :

• Acrobatie : 0
  
• Artisanat : 0
  
• Combat : 3
  
• Connaissances : 0
  
• Magie : 0
  
• Tir : 0

Dons :

Mes dons ? J'ai la capacité de voir et de m'attarder sur les détails. Par exemple, depuis le début, je vois ce poil sur votre grain de beauté en dessous de votre oreille. Mais vous trouvez pas ça immonde ? Je vous vois poser votre main sur votre épée là, je vais vous parler alors de mon deuxième don : je suis militaire, fille de militaire. Les lames, le poison et tout ce qui concerne les façons de tuer un être humain, je connais parfaitement. Rangez donc votre aiguille à tricoter. Enfin un troisième don... Non, je ne vois pas. Ah mais si ! Je suis bête ! Bin, comme tous les atlantes, je peux communiquer avec la moindre créature qui vit dans une goutte d'eau. Non, les insectes sous la pluie ne rentrent pas dans cette catégorie mais les poissons, les baleines ou les narvals, si.

Nom : Meiroo
Prénom : Tesula mais il n'arrivait pas à bien le prononcer lorsqu'il était tout petit. Depuis, la prononciation (et l'orthographe) est restée : Tesla.
Âge : 23 ans physique. (Mentalement, l'estimation a provoqué le suicide de psys.)

Statut : libre
Clan : Mais ça lui passe trois kilomètres au dessus ! Nous pouvons donc en conclure que l'altitude moyenne des clans est de trois kilomètres et un mètre 55.
Pouvoir :
Morphologie féline.


Race : Felis ainokis catus
Sexe : Mâle
Sexualité : Tant que ça ne fait pas mal, ça lui va.

Physique :
Recette pour se représenter Tesla.

Matériel :
Un shaker
Un chat couleur crème
Un humain avec des cheveux mi longs
Un morceau de papier
Un crayon assorti au morceau de papier
Un certain nombre de boissons alcoolisées (un titre d'au minimum 16 degré est conseillé)

Préparation :
1) Prenez l'alcool
2) Mélangez au shaker
3) Buvez directement au shaker; ça permet l'économie de lavage d'un verre
4) Buvez encore*
5) Attendez d'avoir la vision trouble
6) Regardez le chat et l'humain
7) Notez ce que vous voyez.

*Attention, l'alcool est dangereux pour la santé. Buvez avec Modération.

Après plusieurs semaines de recherche, votre bien-aimé serviteur a enfin réussi à trouver le dénommé Modération et a donc exécuté la recette pour épargner votre foie. Après appel au spécialiste du déchiffrement des personnes bourrées, son rapport est le suivant :

Taille : 1m55
Poids : 39 kg
Yeux : bleus façon humain
Pilosité : corps recouvert par une fourrure courte -parfois un peu drue-
de couleur crème tirant sur le sable. Des zébrures légèrement plus foncées apparaissent parfois sur les membres
fourrure inexistante ou invisible sur le visage, la paume des mains et des pieds et le dessus des doigts.
Cheveux mi longs assortis à la fourrures avec quelques mèches plus foncées
Possède de longues vibrisses au niveau de la moustache
Oreilles : félines et mobiles
Ongles : inexistants remplacés par des griffes rétractiles
Dentition : humaines mais avec une longueur de canine anormale
Langue : râpeuse
Signe particulier : queue de chat particulièrement mobile.
attitude : très expressive. Peut se déplacer aussi bien à quatre pattes qu'à deux.

Caractère : Quelle question difficile que son caractère. Tant d'adjectifs pourraient être utilisés pour le décrire ! Gentil, farceur, curieux, innocent, joyeux et bon vivant décrivent
admirablement son côté agréable. Par ailleurs, il faut signaler insouciant, naïf, je-m'en-foutiste, inconscient, benêt et un peu nigaud. Il ne fait que ce qu'il veut (ou alors il faut l'avoir bien persuadé).

Il n'a aucune idée du danger et pour lui les armes à feu sont aussi dangereuses que des pâquerettes.

Il n'aime pas trop se projeter dans le futur et vit très bien sa vie en ne pensant pas aux conséquences. Enfin,
il la vit très bien car d'autres le sortent régulièrement des ennuis où il se met.

S'il est d'un naturel très doux et qui adore les câlins, il ne faut pas dire de lui qu'il ne peut faire de mal à une mouche :c'est un redoutable chasseur (de rongeurs, d'oiseaux et de pelotes de laine) et il a horreur de tout ce qui ressemble de près ou de loin à un chien. Les aspirateurs sont sa grande trouille. L'eau aussi, il a horreur. Sauf pour la boire. Et encore, il préfère le lait (même si ça le rend souvent malade ; souvenez vous qu'il ne pense pas au futur) Il faut dire qu'il est d'une gourmandise éhontée.

Il faut mentionner qu'il porte une fourrure. Du coup, il ne souffre que très rarement du froid et ne voit pas l'intérêt de porter des vêtements. Si vous le voyez porter un kilt, c'est qu'il existe quelqu'un en ce bas monde
qui l'a très bien persuadé.


Histoire : Aaaah ! Que dire de l'histoire de Tesla ? Pas grand chose. Il n'y a en effet aucun évènement important ayant changé radicalement le cours de sa vie, aucun meurtre, aucun enlèvement, aucun malheur qui lui soit tombé dessus comme une masse de cinq tonnes. Pourtant, me direz-vous, il a bien vécu toutes ces années ? Vingt trois ans depuis sa venue sur terre, il s'en est passé des choses ? Et oui. C'est indubitable. Mais elles ne sont pas d'importance. Pour autant, résumons un peu.

Tesla est né, il a braillé et il a grandit quelques années où il n'y avait vraiment rien à mentionner. Bin comme tout nouveau né, il buvait du lait, dormait, buvait du lait, se faisait câliner, dormait, ouinçait un peu quand il lui manquait quelque chose et recommençait tout ça. Puis il a commencé à marcher. A être un peu plus alerte, voire un peu trop alerte. Les bêtises furent innombrables, les punitions tout autant et pourtant il ne cessait pas. Il semblait se ficher tout simplement des conséquences. Alors qu'il grandissait et allait désormais à l'école, il restait encore joyeux, espiègle et tête de linotte.

La rumeur disait souvent que c'était dû au lustre qui lui était tombé sur la tête quand il avait à peine cinq ans. "Ca l'a rendu complètement tarte, ma bonne dame !" entendait-on souvent dire une vieille tante lors des réunions de famille où Tesla et ses parents (Benjiro et Aneko) se trouvaient un peu embarrassés. Il fallait dire, même s'il étaient très éloignés de Jiki parentalement, ils portaient tout de même leur nom. Et l'impression d'avoir fait un fils complètement crétin (suivant la rumeur) n'était pas vraiment pour leur plaire.

Pourtant, au fil des ans, Tesla avait (difficilement) prouvé qu'il n'était pas un bon-à-rien. Il avait réussi à tenir suffisamment longtemps sur les bancs de l'école pour avoir appris à lire, écrire et ce genre de choses qui leur semblaient indispensable.

Il y eut une grosse dispute (enfin les parents râlèrent plus fort que d'habitude) un jour dans sa dix-septième année. Il fallait que Tesla choisisse un métier. La filière qu'il voulait suivre ne convenait pas à ses parents. L'idée d'avoir un fils dératiseur ne leur plaisait pas. Une solution fut trouvée. Ou disons plutôt que les parents cédèrent et plutôt que de voir leur fils sans ressource, ils décidèrent de le laisser gérer un des quelques établissements de karaoké qu'ils possédaient.

Petit à petit, cet établissement eut une renommée grandissante et Tesla se mit même à acheter d'autres établissements. Ce qui surprit nombreuses personnes sachant qui le dirigeait -y compris les parents de Tesla eux-mêmes. C'étaient qu'ils ne savaient pas que c'était Chiyoko, la nourrice de Tesla et gouvernante de la maison, qui dirigeait l'affaire en lieu et place de Tesla qui signait tout ce qu'elle voulait qu'il signe.



Comment avez-vous connu le forum ? Beuah, on va dire que je suis l'admin esclave de ma future admin qui m'a fait un partenariat et que comme j'ai une idée de perso, je me suis dit bin tiens, tant qu'à faire pourquoi ne pas aller sur un partenariat ? (boh, entre autres) (comment ça, personne ici bas n'a compris ? Tsss)
Code :Kiboo Saisho Ume
A combien s'élève le Nombre de Membres du Conseil ? 14
Et comment s'appelle le groupe de Dissidents principale de l'île ? Kami no Shoshi (bon sang de bonsoir mais qu'est-ce que ça veut dire en français, ça ? >.<)

<div style="text-align: center; background-color: #000000; color: #d3d3d3;">IDENTITÉ</div>

Nom de Famille : von Markus Prénom(s) : Heinrich Surnom : A vous de choisir. (en fait, j'en ai aucune idée) Âge : 23 ans Titre de noblesse : Aucun Orientation Sexuelle : ouvert à tout (dans tous les sens du terme)

<div style="text-align: center; background-color: #000000; color: #d3d3d3;">APPARTENANCE</div>

Faction : Eclairé
Classe : Philosophe
Orientation Politique :


Artiste à la base, Heinrich n'aurait pas dû se frotter à la politique. Cependant, deux événements l'ont contraint à s'y intéresser définitivement. Le premier de ces évènements est son accession au rang de chef de famille. S'il a officiellement abdiqué ce titre en faveur de son frère, il se sont arrangés entre eux. En effet, bien que son frère vienne souvent à la capitale en tant que gouverneur, il n'y vit pas constamment. Par conséquent, Heinrich lui a proposé de laissé traîner ses oreilles dans les diverses réceptions qu'il fréquente. Le but est de glaner le maximum d'information pouvant être utile au Nördlichesländer.

Ainsi, Heinrich agit un peu dans l'ombre et non-officiellement. C'est suite à cet accord qu'il commence à s'intéresser à la politique et qu'il se rend compte que les décisions de l'empereur nuisent parfois à leur province. Sans vouloir la séparation du Nördlichesländer avec l'Empire, manigancer pour disposer plus d'autonomie lui semble un bon objectif.

Enfin, il existe un autre point politique. Bien que croyant en l'Ombre, sa foi s'est un peu ébranlée avec la disparition subite de quasiment la moitié de sa famille. Il commence à se poser des questions théologiques en général et surtout à s'interroger sur l'intérêt de la non-séparation de l'Eglise et de l'Etat. Il reste néanmoins très discret sur ce point. Non seulement parce qu'il commence seulement à y penser mais surtout parce qu'une bonne partie de ses contrats lui sont donnés par l'Eglise. Mieux vaut épargner ses clients actuels !

"Comment savoir la place d'un enfant von Markus dans sa fratrie ?
-Non. Comment ?
-Il faut regarder la première lettre de son prénom. Ils les nomment par ordre alphabétique.
-Non ! Il n'ont pas osé tout de même ?
-Si, si, je vous l'assure."

S'ensuivent généralement de nombreux pouffements de rire. Il faut dire que cette petite manie prête souvent à rire dans les milieux huppés de la capitale. Mais pour les von Markus ce n'est pas un sujet à plaisanterie sinon une tradition familiale. Ainsi, nous pouvons en déduire qu'Heinrich fut le huitième des dix enfants que donna Emilie à son époux Augustus, descendant direct d'Aurelian von Markus.

Les von Markus étaient souvent englués dans des traditions aussi vieilles que leur famille fondée par Aurelian il y avait quelques centenaires de cela alors que la province du Nördlichesländer n'était pas encore annexée à l'Empire. Par exemple, votre place dans la fratrie déterminait votre destin. Les filles étaient mariées pour créer des alliances stratégiques -telle Adelheid qui était maintenant femme du fils du gouverneur voisin. Les garçons non plus n'avaient pas le choix. L'aîné devenait l'héritier de la famille et son futur chef. Le second était dévolu aux métiers d'armes, le troisième revenait à l'Eglise, le quatrième artiste, le reste, lorsqu'il y en avait, était moins fixé et dépendait du bon vouloir du patriarche.

Ainsi dès sa naissance, Heinrich était destiné à suivre des études d'art. Il resta les huit premières années dans la propriété familiale à suivre les enseignements communs à tous les fils von Markus. La vie était paisible et presque calme. Espiègle, l'enfant aimait à entraîner son frère cadet Irenäus dans des jeux et des bêtises sitôt que leur père partait à cheval explorer le domaine en compagnie de leur frère ainé Bonifatius. La plupart du temps la punition était rude mais dès qu'elles le pouvaient les triplées Claudia, Domenika et Elisabeth les protégeaient. Dans cet univers strict et pourtant plein d'amour, les frères et sœurs s'aimaient et se soutenaient inconditionnellement.

A ses huit ans, Heinrich eut son précepteur particulier. Augustus ne pouvaient s'offrir d'envoyer immédiatement son fils étudier auprès des plus grands artistes de l'empire et il n'y avait personne d'une renommée suffisante dans les environs. Aussi bien eut-il un choix surprenant : Francesco Mario Aruetti, ce n'était pas un artiste et loin de là. Mais il était fort érudit et Augustus avait songé qu'un bon artiste se devait de posséder une certaine connaissance du monde qui l'entourait.

Francesco emmenait souvent Heinrich pour des leçons en pleine nature. Ils y observaient aussi bien les plantes et les animaux que les grandes constructions qu'Augustus avait initié dans la province. Ils regardaient ainsi les ouvriers déplacer d'énormes monceaux de terre pour aplanir le fleuve et construire petit à petit les nombreuses écluses qui permettrait de relier beaucoup plus rapidement et facilement qu'autrefois le Nördlichesländer à la capitale. Ils devisaient ainsi pèle-mêle des bienfaits de la technique, de géographie et de progrès. Francesco lui apprenait également la méditation et comment soulever la terre et le sable.

Cela alla ainsi pendant quelques années et, à l'aube de son seizième anniversaire, Francesco disparut brusquement. Nul ne savait pourquoi mais les rumeurs allèrent bon train et les étrangers furent regardé étrangement pendant quelques temps. Il parlait trop, l'inquisition l'a arrêté disait-on sous cape et uniquement en lieu sur.

A partir de ce moment là, Heinrich partagea les leçon avec son frère Gerwulf. Il ne comprit pas pourquoi il devait suivre des cours de théologie mais son père ne lui répondait pas autre chose que de bien écouter et apprendre. Garçon obéissant et plutôt intelligent, Heinrich apprit pendant deux ans la religion de l'Ombre. Certains points le gênait, il trouvait parfois l'Ombre un peu limitée mais sa foi ne s'ébranla pas pour autant : l'Ombre était partout, il l'avait bien appris et cela ne le dérangeait pas.

A ses dix-huit ans, Augustus estima qu'il ne pouvait plus garder son fils près de lui sans pâtir à sa destinée. Il fut ainsi envoyé à la capitale avec son frère Bonifatius pour chaperon. Le voyage lui sembla idyllique. Enfin, il sortait de sa campagne ! Enfin, il pourrait voir la vie. Seul pincement au cœur : sa famille lui manquerait et plus particulièrement Irenäus avec qui il était particulièrement lié.

Heinrich commença son apprentissage sous la houlette de Lodovico Buonarroti, artiste très renommé et sous la protection récente d'Augustus. De part son parler provincial et son allure très androgyne, Heinrich subit souvent les moqueries des disciples plus jeunes que lui mais plus expérimentés. Pourtant, la souplesse de ses mains fines le prédestinait à la tenue du pinceau. De plus grâce à ses deux ans d'enseignement religieux, Heinrich était très bon à la représentation de scènes sacrées.

Il fallu à peine six mois pour que l'éthéré Heinrich fut introduit dans les milieux plus subversifs de la capitale. En fait, de milieu, Lodovico lui expliqua en fin d'après midi qu'il lui apprendrait comment obtenir des marchés. Une calèche les déposèrent tous deux sous un sombre porche. Les lieux à l'intérieur étaient aussi resplendissants que la ruelle avait été noire. Après de naturelle discussions en début de soirée, la conversation évolua vers des sujets plus licencieux.

Passé minuit, Lodovico, Heinrich et un homme que Heinrich ne vit jamais depuis et qui lui resta inconnu, se retirèrent dans une salle pour le reste de la nuit. Quelques jours plus tard, ils se voyaient attribuer la décoration du réfectoire de la cathédrale. Heinrich était de plus en plus talentueux et commençait à se faire une certaine réputation. Sa renommée fit d'ailleurs des envieux parmi les autres disciples. Maître Buonarroti les délaissait pour se consacrer à faire éclore l'étendue des dons d'Heinrich. Et surtout ces nuits secrètes où le maître et l'apprenti partaient ensemble exacerbaient les jalousies.

Un jour que Heinrich travaillait à peindre un plafond, l'échafaudage s'écroula ! Heinrich fut sévèrement blessé. Le maître vit que le bois qui supportait le jeune von Markus avait été scié mais il ne put trouver le coupable. En attendant, la victime du sabotage était sérieusement blessée. Après une courte remise sur pied dans les hôpitaux de la capitale, Heinrich fut renvoyé auprès de sa famille dans le domaine familial du Nördlichesländer. Il y arriva le jour de son vingt-deuxième anniversaire où il apprit que sa mère était à nouveau enceinte. La nouvelle n'était pas récente, elle en était à son quatrième mois. Mais le courrier qui portait la nouvelle n'était jamais arrivé à la capitale.

Il y eut une grande fête pour fêter l'anniversaire d'Heinrich. Comme le voulu la tradition, la soirée débuta par un somptueux banquet où un discours en l'honneur du huitième de la fratrie devait être prononcé. Bonifatius prononca ce discours révélant de grands talents d'orateurs et but le toast en premier. Ce fut également le dernier à boire ce toast. A peine eut-il avalé qu'il se mit à pâlir, à porter sa main à sa gorge avant de s'écrouler dans d'horribles convulsions. Il mourut en quelques instants l'écume aux lèvres.

Pendant que les invités partaient pour la plupart, soutenaient la famille pour les plus proches, Heinrich fut convoqué dans le bureau de son père avec tous ses frères. Il y alla et apprit la cause de l'empoisonnement de son frère. Une guerre des pouvoirs et d'influence se déroulait en ce moment. Les von Markus bataillaient ferme dans les antichambres du palais pour obtenir le contrôle d'une région limitrophe au Nördlichesländer. Le précédent noble qui le contrôlait était mort sans héritier valable : il ne laissait qu'une fille en âge d'être épousée. Augustus avait réussi à arranger les fiançailles de cette demoiselle avec Bonifatius.

Tous étaient effondrés, particulièrement Heinrich qui revenait tout juste pour découvrir cette triste guerre. Mais Augustus annonça une autre chose : désormais c'était Fabian, le second, qui devrait prendre les rênes de la famille. Dès le lendemain, il apprendrait les rudiments de la gestion du domaine et des intrigues politiques. Même si la relève était assurée, c'était une triste nouvelle : Augustus devenait vieux et il était fort probable qu'il n'aurait pas le temps de léguer tout son savoir au cadet.

L'enterrement eut lieu quelques jours après en compagnie de certains grands personnages politiques qui avaient fait le déplacement jusqu'à la terre familiale. Le cours de la vie reprit. Heinrich se reposait, faisait de longues balades à pied ou en voiture en compagnie de ses sœurs. Souvent, il prenait un esclave qui portait son matériel et il allait à pied peindre des paysages du Nördlichesländer. De temps à autres, il voyait son père et son frère parcourir à cheval la campagne. Il en profitait aussi pour continuer à s'entraîner à manipuler le sable et la terre.

Le temps passait tranquillement. Heinrich se remettait doucement de son 'accident' et la famille réussissait peu à peu à apaiser la douleur de la perte de Bonifatius. De plus, Emilie attendait son enfant d'un instant à l'autre. Tout le monde hésitait encore du prénom à lui donner s'il s'agissait d'une fille mais en cas de garçon, il porterait le prénom de son frère ainé. Mais ce fut alors qu'un nouvel évènement tragique arriva : au cours d'une de ses leçons avec leur père, le cheval de Fabian glissa sur une plaque du verglas hivernal et tomba sur son cavalier. Fabian eut la nuque brisée sur le coup.

Leur mère ne put supporter la nouvelle. Elle mourut au cours de l'accouchement qui se provoqua aussitôt. L'enfant, une fille, était morte née. Il y eut trois enterrements cette semaine là. Leur père était effondré. Une épidémie de fièvre rouge arriva à ce moment là. Augustus mourut en quelques jours, n'ayant pas le courage de se battre. Gerwulf essaya de survivre mais succomba à son tour une semaine plus tard. Domenika fut aussi emportée.

En moins de trois semaines, cinq membres de la famille furent enterrés. Heinrich, de quatrième fils, était devenu chef des von Markus. Face à toute cette douleur, il s'aigrit un peu. Il avait tant prié l'Ombre ! Mais l'Ombre n'avait pas bougé pour sauver les êtres aimés. Et toute la charge de représentation familiale, politique et de la gestion du domaine lui revenait maintenant.

Une semaine après qu'il eut fini toutes les formalités et toutes les affaires urgentes, il alla voir son frère Irenäus et ils parlèrent. Il lui confia qu'il ne voulait pas cette charge, qu'il préférait peindre et qu'il ne s'en sentait pas capable. Ce fut son cadet qui proposa ce qu'il voulait entendre : lui était d'accord pour reprendre le flambeau. Il avait toujours souffert d'être le dernier fils. il apprit à son frère qu'il avait d'ailleurs toujours suivi les leçons que leur père faisait à Bonifatius puis à Fabian en cachette. Non seulement, il se sentait capable de supporter cette charge mais il l'avait toujours désiré.

Heinrich fit alors une cérémonie officielle où il proclama le nouveau chef de famille. Les grands de l'empire se montraient étonnés pour la plupart : qui était ce jeune inconnu qui allait diriger l'une des provinces de l'empire ? Dans un autre sens, ils étaient rassurés : ils allaient pouvoir profiter du talent artistique d'Heinrich. Mais ils ignoraient la complicité fraternelle qui régnait entre Heinrich et Irenäus. Avec l'accord de ce dernier, l'artiste ne revint pas à la capitale sans objectifs politiques.

Actuellement, Heinrich se trouve toujours sous la houlette de Lodovico Buonarroti. Mais s'il suit toujours ses enseignements, son talent est tel que son maître l'a convaincu de diriger l'atelier avec lui.

Nom : Satô
Prénom : Yamari
Surnom : A l'inspiration des joueurs
Âge : 37 ans
Date de Naissance: 4 avril (04/04)
Signe Astrologique: Bélier du 2ème décan.
Préférence Sexuelle : Question compliquée à l'heure actuelle. Il n'y a pas de réponse tout dépendra de celui ou celle qui saura le rassurer. Pis pour les plus pressés, faut pas lui demander.
Race : Humaine
Emploi : Chômeur. (bon, c'est pas un emploi mais il n'en a pas donc...)


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Physique :
Yamari assume mal sa non virilité. Ça peut faire craquer les filles mais le complexe des vestiaires est bien présent chez lui. Toute sa physionomie reflète la douceur, la tristesse et la finesse. Malgré tout se qu'il peut faire, il n'aura jamais réussi à avoir un minimum de muscle. Ne vous faites pas d'illusion : il n'a pas 'des muscles finement dessinés qu'on voit mais pas trop'. Non. Il est maigre. 1 mètre 78, cinquante kilos, c'est maigre. Ne vous leurrez pas. Pour lui, porter un pack d'eau est une épreuve.

Même s'il sourit sincèrement, ses yeux tombants lui donneront toujours un air profondément triste. Cela dit, c'est l'idéal pour renforcer le sentiment de protection maternel chez les femmes. En revanche, cela attire aussi la gent masculine qui voit en lui une proie facile et faible. Avec raison, d'ailleurs. Il a une peau un peu blafarde, les yeux et les paupières rouges du manque de sommeil et les cernes qui vont avec.

Par contre, il a des cheveux blonds magnifiques qui sont sa seule fierté. Etrange pour un japonais ? Oui sauf si on sait que les parents avaient accueilli pendant un été un allemand blond aux yeux bleus nommé Amadäus. Il laisse souvent ses cheveux retomber devant ces yeux bleus clair presque transparents. Cela le rassure. Son style vestimentaire près du corps est plutôt sombre afin de mieux jouer le contraste avec ses cheveux.

Vous ne le verrez jamais torse nu en été. Pourquoi ? Histoire de cacher les énormes cicatrices qui ornent son ventre. Il en a horreur et honte. Faites le test : rentrez dans la salle de bain alors qu'il n'a pas ses vêtements et qu'il n'a qu'un essuie main à côté : la première chose qu'il cachera, ce sont ces cicatrices ; au risque de laisser découvert ce que la pudeur normale lui indiquerait de cacher. Dans la catégorie des blessures, regardez bien son poignet droit, vous y verrez une marque d'usure de la peau, une ancienne blessure mal refermée, comme si un malandrin avait voulu vous arracher le bracelet-montre sans succès.

Caractère :
[NB : il est d'abord conseillé de lire l'histoire. En conséquence, vous comprendrez alors que je met son caractère actuel mais que son ancien caractère peut de temps à autre, sous conditions exceptionnelles, avec l'accord écrit de la préfecture et du ministère iroquois des jeux de rôles, le jour de la Saint-glinglin, parfois, ressortitr.]

[i]Il est impossible de parler de Yamari sans mentionner cette faculté à se renfermer sur lui-même. Il ne connait pas l'ennui et peut passer des heures à ne pas bouger, à rester assis les yeux dans le vague. Il est à cet égard un peu déconnecté du temps qui passe et si vous lui fixez un rendez-vous à la statue du chien, soyez bien surs qu'il y a une chance sur cinquante pour lui d'arriver dans les cinq minutes avant ou après l'heure du rendez-vous. Si vous avez de la chance, il sera venu avant mais sinon...

Malgré ce qu'il peut faire croire, il n'est que rarement triste. Il sera plutôt mélancolique et très apathique. Yamari vit au ralenti dans une société qui va trop vite pour lui. Il a souvent l'impression de se faire dépasser par tout le monde. Il parle beaucoup avec son corps (hey ! Ne pensez pas au delà du langage corporel !) et peu avec des mots mais laissez lui le temps d'exprimer sa réponse et vous aurez le droit) à une phrase très construite et mûrement réfléchie. On peu penser à cause de cela qu'il est un peu lent d'esprit. Vous n'auriez pas tout à fait tort. Et s'il se laisse souvent embarquer dans des histoires sans fin ce n'est pas parce qu'il est naïf (quoique cela lui arrive parfois) mais surtout parce qu'il n'arrive pas à dire non ni à décider ou se décider. De par se côté, il est assez timide.

Il faut dire aussi pour sa défense (quoique en est-ce vraiment une ?) qu'il est très peureux. Il a peur de tout en général et en particulier de la douleur, du bruit, des menaces, des violences. Il a peur des cauchemars qu'il fait la nuit, la phobie des insectes de ces cauchemars, des visions qui lui passent devant les yeux, de ne pas prendre ses médicaments et d'être submergé par tout cela. Il a également la grande trouille d'être fou, il ne veut pas l'être mais quelque part, il ne peut s'empêcher de le penser. Il est lâche et a oublié le sens du mot courage. En un mot Yamari est un faible.




Histoire :
Un couple de japonais se repose devant la télévision. La femme est enceinte. C'est un trois avril, il est 21h34. Devant une publicité pour la promotion d'un produit de nettoyage, elle ressent sa première contraction. Vingt minutes plus tard, elle se trouve dans la salle de travail. Minuit arrive et c'est une heure vingt-trois minute après que nait Yamari. Né un quatre avril, mauvais présage pour un japonais. Mais celui-ci est-il vraiment japonais ? Dès la première minute, encore suitant de sang et de plasma, il est facile de voir la vérité : il a des traits occidentaux. L'époux s'en va sans mot dire.

Le couple ne se parle presque plus, la trahison a été trop grande. Le petit Yamari ne reçoit d'amour que de sa mère. Puis après deux ans, l'enfant regarde l'homme et prononce un mot hésitant : 'Pa... pa.' Le premier. Dans le silence pesant de la pièce, il aurait été impossible de ne pas l'entendre. En un instant, toute la glace de ce foyer fond en un instant. L'homme jette son journal en même temps que ses précédentes convictions : être le père d'un enfant ne commence pas forcément à la conception.

Neuf mois plus tard naît Shigo, son petit frère cent pour cent japonais. Étrangement, Yamari reste le préféré de son père. Shigo devient le préféré de sa mère. L'enfance se déroule sans plus de heurt. Il n'y a rien à mentionner : soulever les jupes des filles, aller piquer des cerises dans le verger d'à côté, pêcher à la ligne avec les copains, rien n'est plus banal.

A l'adolescence, Kyoko passe du stade d'amie d'enfance à petite amie. Cela ne surprend personne et tout le monde l'attendait. Tous les deux ont envie de quitter la campagne japonaise pour aller à la ville. Les études sont chères, le meilleur moyen est de travailler dur pour obtenir une bourse. Tout deux l'obtiennent et au printemps, au début de l'année scolaire, s'en vont vivre dans la banlieue de Tokyo. Là encore, à la surprise de personne, les deux réussissent leurs études et Kyoko avec les plus grands honneurs.

Deux ans après, la jeune femme attend un enfant. Le mariage se prépare rapidement. Leur situation est tellement naturelle que la cérémonie ne fait qu'officialiser leur couple au regard de la loi. Deux jumeaux naissent pour le plus grand bonheur de tous. Kyoko arrête son travail pour se consacrer définitivement à sa famille. A partir de cet instant, ce qui semblait être un bonheur parfait commence à déraper. Les disputes commencent à éclater. Puis finalement, un soir, Yamari trouve ses valises sur le pas de la porte. Etrange comportement pour une femme japonaise mais Kyoko adorait l'occident. Yamari ne voit d'autre solution que de s'en aller.

Malgré tout, il ne voyait pas la vie sans sa femme. Petit à petit, il sombre dans l'alcool et perd le reste de sa vie : son travail, ses amis, sa fierté, sa volonté, son entrain... Il se retrouve à la rue. Cette période est entourée d'un grand flou alcoolique. Il a survécu. Il a survécu jusqu'à cette rencontre fatidique. Il avait, une fois n'est pas coutume, presque la moitié de sa lucidité.

"Allez, m'sieur ! Ayez bon coeur ! Donnez moi une petite pièce et je prierai pour vous !
-Tu n'as pas de travail.
-Bin non, sinon je ferais pas la manche.
-Qu'est-ce qui t'es arrivé ?
-Ch'uis né un 4 avril.
-Ça dit tout... Mais tu n'as plus personne.
-Plus personne ! C'est pour ça qu'je demande une petite pièce, histoire que je retrouve un peu de famille !
-Famille... Le saké, non ?
-Moui, m'sieur ! Alors ? Vous me donnez quelque chose ?
-J'ai du saké chez moi, on me l'a offert, j'aime pas ça. T'as qu'à me suivre si tu veux. Et puis je te donnerai à manger."

Il y avait les rumeurs d'agression sur les clodos, il y a avait les témoignages de ces agressions. Mais la perspective d'une bonne bouteille et d'un repas chaud avait de quoi faire oublier toutes les appréhensions. S'il avait su ce jour là, il serait partit en courant. En lieu et place de quoi, il suivit en titubant.

Lorsqu'il rentra dans la maison, il sentit qu'une chose clochait. Un bruit étrange, oppressant, comme un cliquetis oppressant. La suite se déroula vite. Il fut emmené dans une pièce et jeté à bas le lit. Ses vêtements se déchirèrent sous la pince qui venait soudainement d'apparaître. La douleur lui donna l'impression de casser en deux. Cette première expérience avait été un cauchemar qui n'en finit pas. Il essaya de s'enfuir mais il fut vite retrouvé par d'autres de ces créatures qui se servirent de lui au passage. Au final, une chaîne et un bracelet sans clé le tinrent captif dans cette chambre nauséabonde.

Quatre mois de douleur plus tard, quelques insectes se tenaient près de lui. Un de ce qui semblait être un médecin ou un rebouteux quelconque l'examinait. Un vomissement soudain qui lui atterrit sur les chaussures mit le point final quant au diagnostic des symptômes qui rendait l'humain malade depuis quelques temps. L'insecte allait avoir une descendance ! L'hôte que constituait Yamari mit un peu plus de temps à comprendre pourquoi son ventre s'arrondissait, pourquoi il ressentit des mouvements.

Tu accoucheras dans la douleur. Mais c'était au delà de la douleur. Lorsque la mante religieuse s'extirpa de son corps, il vit les autres s'approcher de lui l'écume aux lèvres.

*Enfin mourir*

Ce souhait ne fut pas réalisé, au contraire, les phéromones de l'enfant mante religieuse l'avait empêché de mourir et avait même effacé quelques ravages de l'alcool et de son passé sur son visage. Il fut soigné et recousu grossièrement pendant qu'il était évanoui. Le lendemain, il vit dans la chambre, les yeux globuleux de la mante religieuse qui le regardait. Il hurla comme il n'avait jamais hurlé. Ce n'était plus un cri de douleur, il n'y avait dedans que terreur, perdition, fin du monde. Alerté par le cri, le père, le légitime vint le voir.

"Je vous en prie, laissez moi respirer dehors, je vous en prie, je vous en prie..."

Quelques minutes après, la chaîne était finalement détachée et l'homme insecte aidait son hôte à marcher dans la nuit. L'humain se faisait presque porter, trop faible suite à l'accouchement. Finalement, ils s'arrêtèrent contre un poteau. L'hôte s'éloigna pour discuter avec une de ses connaissances. Aucune chance que l'humain ne s'échappe à pied : il tenait à peine debout. Peut-être était-il capable de faire cent mètres mais certainement pas davantage. Mais le poteau sur lequel Yamari s'appuyait n'était pas un banal poteau. Un bus s'arrêta juste devant l'arrêt laissant descendre quelques personnes. L'humain ne sut jamais où il avait trouvé la force de sauter dans le véhicule. Mais il s'était échappé.

Il s'était échappé de ses ravisseurs pour retomber dans d'autres mains ennemies.

"Votre ticket, monsieur.
-J'en ai pas.
-Alors ça fait 9600 Yen alors.
-Je... Je n'ai pas d'argent."

Des larmes brouillaient sa vision. La suite fut aussi floue que sa vue jusqu'à ce qu'il se retrouve dans un poste de police. Face aux questions, il expliqua ce qu'il s'était passé. Un médecin l'examina, on lui posa mille et une fois les mêmes questions. Il fut enfermé dans une cellule des plus miteuses. Il s'endormit tout de même épuisé par les épreuves. Il n'en ressortit que pour aller à une autre cellule. Le diagnostic était tombé : schizophrénie impliquant des états délirants. Tout s'expliquait même sa période d'alcoolique.

Durant quatre longues années, Yamari avala les antipsychotiques à dose de cheval. Durant quatre années, les cauchemars ne cessaient pas mais il réussit à se persuader que tout ça n'était invention de son esprit. Après tout faire des cauchemars avec des blattes, des mouches et d'autres insectes répugnants, quoi de plus logique pour un clochard s'abritant derrière les poubelles ? Mais après tout ce temps, les médecins estimèrent qu'il était guéri, qu'il pouvait ressortir à condition qu'il continue ses traitements.

Reprends une nouvelle vie ! C'était ce que semblaient lui crier les portes qui se fermaient derrière lui. Mais il ne voyait pas par où commencer. Il eut soudain envie de revenir dans cet enfer blanc. Le monde lui semblait terrifiant. Mais les portes qui les empêchaient de sortir les empêchaient de rentrer. Le chien d'un passant qui se promenait lui aboya dessus. Effrayé par ce bruit, Yamari s'en alla en courant.

Il erra jusqu'à la fin de la journée. Il se retrouva alors devant un bureau de Moyai, une association qui venait en aide aux personnes en difficulté. Il osa franchir la porte et se vit accueillir par des visages souriants. L'un d'eux l'emmena même dans un bureau où ils discutèrent. Enfin, ils essaya d'obtenir autre chose que des 'oui' ou des 'non' à peine murmurés par Yamari. Un papier lui fut donné :

"Tenez, allez là bas pour ce soir. Revenez ici demain, on s'occupera de faire des démarches."

A nouveau des portes se refermaient sur lui mais il savait par où commencer.

- Nombre Completo: Arnaud Armand Patrice Pacôme David
- Edad: 19 años
- Sexualidad: heterosexual

- Historia : Arnaud nació a Versailles en una familia muy respetable : su madre era profesora y su padre un hombre político. El niño era animado y inteligente. Un poco revoltoso, sus padres incitaron a su hijo a hacer deportes. Arnaud se apasionó por la natación y la esgrima. Descubrió la amistad, la escuela y las chicas normalmente. Resumiendo, su infancia fue muy feliz y sin historia extraordinaria. Arnaud se volverá un hombre perfectamente normal sino que durante sus dieciséis su destino cambió.

Al momento, su padre fue un ministro militando en contra de la Europa. Como era muy famoso y respetado una gran parte de los franceses no quisiera votar por el 'si' del referéndum por la creación de una constitución europea. Era una gran sujeto político. Cuando tiene dieciséis años, la política no es importante. Arnaud nunca había imaginado estar secuestrado. La realidad es lejos de la imaginación. El día siguiente, su padre recibió una carta de amenaza. Su hijo contra su cambio de programa sobre el referéndum. La policía investigó el secuestro. Pero, una semana después, su padre recibió una otra carta muy siniestra : con una nueva carta de amenaza había un pulgar. Nuevos policías trabajaron sobre el caso. Unos cuantos días después, descubrieron el lugar donde Arnaud fue secuestrado. Dos semanas después el día del rapto, los policías liberaron el hijo. Este liberación fue un medio fracaso. Un policía y un secuestrador murieron durante el tiroteo. Hubieron heridos. Arnaud ello mismo recibió una bala al hombro y una herida al cuello.

Dos meses después este tragedia, Arnaud fue físicamente curado. Pero su humor ha cambiado. Era más sombrío, más preocupado. Fuera más violente durante sus combates de esgrima. En secreto, fue a la cárcel donde sus secuestradores eran encerrados. Por la primera vez, se interesó a la política. En el mismo tiempo, empezó aprender informática -era una actividad donde la falta de su pulgar izquierdo no le importunado mucho.

Desde su liberación, Arnaud iba cada semana ver un psicólogo. Este ultimo rápidamente encontró une parte del problema : síndrome de Estocolmo. Oyendo este, su padre pronto descubrió que sigue ver sus secuestradores. Durante la noche, el padre prohibió su hijo a verlos más. Con esto y más de tiempo con el psicólogo, Arnaud parecía cambiar de nuevo por su antigua personalidad. De vez en cuando, cogió rabietas destructoras pero sus padres preferían esto. Fue también a este época que empezó entretener su imagen. Antes, no le importa sus vestidos ahora su aspecto fue muy importante. Empezó fumar. De vez en cuando el cigarrillo pero la mayoría de los veces fumaba el cigarro.

La obtención de su baccalauréat concluyó dos años de cambios psicológicos. A la sorpresa de todo su familia, Arnaud decidió continuar sus estudios en la informática en el ejército. Se preparó los exámenes en el nuevo piso de cargo de su padre, que era ahora ministro de la Hacienda Pública. Un año pasó. Una mañana, una personalidad anti-europea fue asesinado. La policía capturó el criminal un poco después. En su guarida, había papeles indicando que el hombre pertenece a una reciente organización terrorista pro-europea. El asesino reveló nombres. Detuvieron llenas de hombres. Uno debería dar dinero para crear manifestaciones y disturbios. Las policías se buscaron el origen de este dinero.

Dos meses más tarde, Arnaud fue despertado por la voz de su padre. Estaba gritando : millones de euros faltaban en las cajas del Estado. Arnaud oyó la voz de uno de sus colegas : una investigación continuará. Once meses más tarde, las vacaciones. Repentinamente, Arnaud decidió ir en viaje. Treinta minutas después, esta sobre la moto de su padre. Unas minutas más, el teléfono del ministró sonó : las autoridades suizas han revelado el nombre del propietario del cuenta recibiendo los fondos robados. Cuatro días más tarde, las autoridades detuvieron Arnaud. Durante tres meses, fue interrogado sobre el lugar del dinero : el cuenta suiza fuera vació. Al fin de los tres meses, las autoridades solamente querían evitar un escándalo. El gobierno mandó el hijo del ministró en una cárcel lejas de la Francia.

- Descripción Física: Si Arnaud es guapo es porque el lo quería. El deporte y una dieta estricta creyeron un joven pesando 67 kilos por 1m70. Tiene pelo blondo cortado mi longo y ojos azul. Su ropa es muy rebuscado.

Dos hechos notables : falta el pulgar izquierda y tiene una cicatriz visible al lado izquierda del cuello y una sobre el hombro.

- Descripción Psicológica: Arnaud es un hombre lleno de contradicciones. Por ejemplo : de un lado detiene el cerebro para robar millones de euros ayudándose de un ordenador, en el otro lado es suficiente estúpido para querer llegar a ser el jefe de la europea. Es un hombre muy decidido -casi testarudo- que nunca para. Trabaja mucho para salir bien sus objetivos. Para ellos, puede mentir, robar o otro : Arnaud tiene una moral inusual.

Es un joven muy sociable que no le gusta más ser soló aunque su visión de los otros es también extraña. Las chicas son para cautivar (entre otros), los más joven que ellos para obedecer y los otros para someterse. Los otros no son sus iguales. Por eso, puede crearse muy fácilmente enemigos. Pero núnca olvide que es un hombre político en la alma : puede perfectamente decir una cosa y hacer otra si es necesario.

Además ser altivo y ambicioso, es violente, colérico, sin escrúpulos, receloso, intolerante, racista y sexista. Pero puede ser muy jovial, alegre, imaginativo. Es fiel a sus amigos, sus promesas (es porque raramente promesa algo) y a su concepción del deber.

-Motivo por el cual se encuentra en el centro : pertenencia a una organización terrorista y robo.

- Hobbies: Le gustan la natación, el esgrima, estar sobre el ordenador, el juego en todas las formas (dinero, video, cartas, apuestas..)
- Manías: tocar la cicatriza del cuello con su dedo.
- ¿Qué le gusta?: practicar sus hobbies, fumar une buen cigarro, la buen cocina, sus padres.
- ¿Qué no le gusta?: recibir un orden, las palomas, cuando no puede hacer lo que quiere.


-Otros: Debo decir que el español no es mi lengua materna y que si hay problemas o errores de mi parte, puedo perfectamente editar mis mensajes. ^^

un ○ i d e n t i t é

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NOM : von Audric PRENOM : Athos SURNOM(S) : à la volonté des joueurs ÂGE : 38 ans ESPECE : Humain CLASSE/EMPLOI/GRADE : Dirigeant MONDE D'ORIGINE :

Antaria

PHYSIQUE GENERAL : TETE : (avec des yeux, une bouche, un nez et deux oreilles. XD Non mais sérieux ça fait bizarre dit comme ça.) Première chose qui marque chez Athos : ses cheveux d'un blanc argent -et d'un gris plutôt mochâtre sur les côtés-. Ces cheveux sont en grande partie à l'origine de tout le reste. Bref, des cheveux coupé plutôt mi long rejettés en arrière et assorti d'un regard bleu roi destructeur au premier qui a l'envie de faire une remarque désobligeante dessus en sa présence. (pour celui qui ose -ouhlaaa !- ce n'est plus un regard qu'il se récoltera mais là c'est un tout autre chapitre) Par ailleurs des dents impeccablement alignées et blanches suite à un abonnement mensuel chez le dentiste. Le nez, les lèvres, les pomettes, les rides et tout ça correspondent intégralement aux critères de beautés actuels. -Autrement dit, vous exclamerez-vous : wahouuu ! Il est méga beau ce type ! C'est un canon divin, un héphèbe dans toute sa grâce, un apollon moderne. -Moderne ! Oui, moderne est le mot qui convient. Approchez-vous un peu, regardez et vous y trouverez comme un air artificiel dans tout ces beaux traits divin. Moderne est en effet le mot qui convient vu qu'Athos est refait un peu de partout -chirurgicalement parlant entendons-nous bien. Obsédé par son apparence, il refuse que le temps y fasse le moindre ravage en comparaison avec la norme du beau. -Et les lunettes rondes qu'il a sur le nez me direz-vous ? Et bien, les lunettes rondes, c'est un conseil de son habilleur. Si, si, il a autre chose à faire que de choisir ses vêtements et il préfère payer quelqu'un pour en prendre soin. Un conseil donc. Le sieur hésitait à se faire opérer de sa myopie ou pas. Mais voilà, d'après son employé "monsieur, vous avez une tête à lunettes. Cela vous donne une prestance et une majesté que vous perdrez sans cela" Deux mots qui ont fait mouche et les lunettes sont rescapées du massacre au laser. -Et ses cheveux ? C'est aussi pour la prestance alors ? -Les cheveux... Les cheveux, c'est différent. VETEMENTS : Vêtements ? Ah ha ! Quelle blague. Ne vous ais-je point dit qu'il avait un habilleur ? La seule chose qu'on peut dire de ses vêtements, c'est qu'ils sont toujours classe et impeccable. Si vous y voyez la moindre poussière dessus, il y aura un licenciement dans l'air, alors préservez l'emploi et taisez-vous, d'accord ? Sinon, pour les rencontres en conseil d'administration, vous verrez toujours Athos vêtu d'un parfait costume cravate -trois pièces ou non - à la dernière mode et sans une faute de goût. Dans l'intimité -et les jours de congé de son habilleur- vous le reverrez plutôt vêtu d'un style louis XV qu'il affectionne particulièrement. Il adore porter ces vêtements qui lui rappellent sa noble ascendance. Soyez certain que s'il peut se permettre de les porter tous les jours sans déroger aux normes locales, il ne s'en privera pas. PHYSIQUE AUTRES DONNEES : Taille : 1 mètre 66. Athos n'a jamais poussé sa perfection de beauté jusqu'à aller à la méthode des clous d'albizzia. En privé et en dehors de sa présence, on s'amuse à chuchoter que sa petite taille serait la cause de sa hargne Poids : 64 kilos. Comprenez pourquoi il n'a jamais touché aux arts martiaux et en est resté à l'escrime. CARACTERE : Il y a tant à dire sur son caractère. Et tant à découvrir. Ce qu'il faut plutôt comprendre ce sont les principes qui dirige l'homme. Tout d'abord, sa volonté. Dès qu'il a décidé quelque chose, il n'en changera jamais même s'il faut parfois qu'il perde une bataille avant de gagner la guerre. Têtu donc et même carrément buté. Par ailleurs, il est à la fois malin et complètement idiot. Mais cette idiotie est parfois plutôt dûe à un décalage de la perception de la vie qu'à un manque d'intelligence. Cela dit, il s'est forgé une belle réputation d'excentrique arriéré. Il faut dire que se faire insulter ou humilier ou quoique ce soit d'autre qui aille contre son honneur l'insupporte au plus haut point. Et avouez que se faire provoquer en duel pour laver son honneur à notre époque est plutôt déconcertant. Duel ? Escrime ? Oui. Cela me permet d'introduire là un autre point de son caractère. Si le sieur s'intéresse à un sujet quel qu'il soit, soyez certain qu'il en deviendra rapidement un expert, quelque soit le nombre d'heures de travail que cela lui demande. Pour tout le reste, il est complètement ignorant de la chose et de toute façon, il s'en fiche : ne paie-t-il pas des employés pour faire cela ? Par contre, s'il est exigeant envers lui-même, il l'est aussi envers les autres. Dans son côté chevaleresque, il pardonne une erreur et une seule. Mais pour la deuxième, méfiez-vous de son ire. La traitrise et l'échec le rende fou de rage. La rage mène à la vengeance et il a bonne mémoire. "Le craindre ? J'ai la loi pour moi, il n'osera rien me faire."direz-vous. N'oubliez pas que son mode de pensée est encore féodal. La loi, c'est lui et vous avez tout à craindre. Par ailleurs, il est empli de contradictions. Deux parmi d'autres : il se sent, il est, il appartient au mode de pensée féodal, pourtant, c'est grâce à la bourse et à l'économie moderne qu'il a rebâti la fortune défaillante de ses parents. Une autre : il est profondément croyant-orthodoxe vu sa région de naissance- et pourtant, la magie noire, les légendes païennes et autres ne l'effrayent ni ne le répugne le moins du monde. QUALITES : Volontaire, expert, doué à faire des affaires, persévérant. Très sociable. Assez érudit. DEFAUTS : Son caractère est son principal défaut. ATTIRANCES/AVERSION : on pourrait dire que le féodalisme est une attirance dans un certain sens -mais avec tout ce qui s'y rapporte : escrime, équitation...- De cette manière, il déteste la démocratie. Il a également un faible pour la bonne chère et les demoiselles. ARME(S) : Il a toujours sur lui un fleuret d'excellente facture. POUVOIR(S) : pouvoir d'être insupportable mais à part ça... Ou autrement le pouvoir prodigué par l'argent et la puissance des compagnies qu'il possède et dirige.

PASSE : Malgré ce que son prénom grec voudrait dire, Athos est originaire de Transylvanie. Si, si, au beau milieu des Carpates plongé dans les légendes et un moyen-âges que les temps modernes n'arrivent pas à entamer entièrement. C'est pour ça qu'Athos von Andric reste avant tout un seigneur châtelain et noble de naissance -vidame. Il faut noter que ce titre a eut plusieurs influences sur son éducation. Il devait offrir la justice, être un noble guerrier, croire en Dieu mais aussi veiller à ce que chacun reste à sa place. Bref, enfance féodale et adolescence moderne. En effet, s'il a pu recevoir des cours particulier pour toute la durée de son enfance et de son adolescence, trouver des précepteurs dans des matières universitaires était impossible. Il alla donc étudier dans la plus proche des grandes villes et se spécialisa en finances. Il partit reconstruire la fortune de ses parents dans un autre pays. Et, au fait, et ses cheveux ? Ah oui, l'histoire des cheveux. C'est le jour de l'anniversaire de ses vingt-cinq ans que ses cheveux prirent leur couleur actuelle. En une journée. Ce phénomène fut étudié par quelques médecins renommés avant de passer l'éponge. Athos essaya bien de les teindre de leur couleur noir corbeau naturelle mais peine perdu, rien ne prenait. Mais ce fut à ce moment là, alors qu'il se contemplait dans le miroir qu'il se trouva un air vieux. Soudain, il prit peur de la mort -malgré son côté bien chrétien et vie au paradis jusqu'au jugement dernier. En parallèle, il se renseigna sur les mythes d'immortalité et écarta nombres de légendes farfelues -il écarta aussi les clones et la science sur ce point là bien qu'il se mit à financer certaines recherches une fois sa fortune acquise quelques années plus tard-. Certaines légendes retinrent son attention. Il se concentra sur les trois grandes pistes les plus sérieuses : les égyptiens, les mayas et la magie noire. Il se mit à faire des recherches, à financer des fouilles et à passer ses vacances au pied du désert ou des marmites fumantes. Le déclic vint pourtant des mayas. Une civilisation extra-terrestre les avait bien rencontré. Pourtant, elle n'était pas extra-terrestre dans le sens qu'on aurait pu croire. Ce fut à ce moment qu'il découvrit les mondes parallèles. A vrai dire ce fut plutôt un grand coup de chance. Alors qu'il avait 32 ans et que les recherches commençaient à patiner, un phénomène survint sur le lieu des fouilles. Une porte avait été ouverte. Cela, il ne l'apprirent que plus tard : lorsque la créature qu'il capturèrent avoua son histoire. Des tests cliniques furent fait sur lui : il ne vieillissait pas. Mais justement, la science médicale et surtout le penthotal, tuèrent le sujet. Cependant, la découverte était phénoménale. Phénoménale et secrète. Un des employés croyant dans l'universalité de découvertes s'empressa de tout révéler. Il ne fut cru par personne mais sa mise à mort, longue, douloureuse, filmée et retransmise à tous les salariés d'Athos se gardèrent dorénavant de reproduire la même erreur. Le secret resta sauf. Cela donna cependant à réfléchir à Athos. Il décida de créer une organisation secrète -après tout, on reste moyen-âgeux ou pas- nommée Rosa Aeternam. Après tout, un peu de folklore ne faisait de mal à personne et au contraire cela soulagea énormément tous les gens reliés à cette affaire et depuis sept ans, il y en avait plusieurs centaines. Il en ajouta quelques centaines d'autres en se créant un corps de mercenaires suréquipés, surentraînés et complètement fanatiques. Il avait à sa disposition une bonne petite armée de scientifiques, informateurs et de militaires. Rien n'empêchait cette petite armée de se déployer pour satisfaire les besoins de ses entreprises officielles. Les membres de Rosa Aeternam étaient plutôt d'accord puisqu'ils savaient parfaitement que leurs salaires -juteux- venaient de là. Le nouveau problème, Athos s'en rendit compte après. Nul n'arrivait à ouvrir le passage vers les autres mondes. Les informations à ce sujet là étaient fausses. Cependant, s'il y en avait eu un, il ne devait pas être le seul. Nouvel objectif : trouver une autre personne provenant de ces mondes et lui tirer les vers du nez. PROJETS : Devenir immortel, devenir un despote éclairé des mondes aussi l'intéresserait bien mais il s'arrête d'abord au premier projet pour l'instant. SITUATION ACTUELLE : cf l'histoire

PRENOM : (facultatif) ÂGE : 23 ans LOCALISATION : Paris pour l'instant Québec à partir de Janvier et avec un peu de chance un autre pays encore à partir de mai DÉCOUVERTE DE ELM : Via Owenn (bon allez, je l'avoue ça fait plus d'un an que je me tâte à venir)

• First.

~ Nom : Bells
~ Prénom :Aguaresse
~ Surnom :Majesté (lorsqu'on s'adresse à elle -pour certains-), la Reine (lorsque ces mêmes certains parlent d'elle). Cela dit, ce n'est pas vraiment un surnom...
~ Sexe : Le beau, voyons !
~ Âge : Malpoli ! (36 ans pour les intimes.)
~ Origine : Russe
~ Ville de départ :New York

• Second.

~ Physique : D'une vénusté* de type russe dans sa jeunesse, Aguaresse a été affecté par les ans. Malgré ce qu'elle a pu faire, les rides commencent à marquer ses yeux bleus, son nez mutin, son menton et ses joues ont une tendance à rougeoyer. Elle garde sa haute taille de 1 mètre 78 mais les kilos commencent à apparaître malgré elle : 69. Encore réussit-elle a les répartir agréablement. Du coup, sa beauté se fait plus maternelle, plus traitre, plus réfléchie et expérimentée. Elle garde ses cheveux blonds à la mode du jour, tantôt court, tantôt longs. Ses mouvements sont toujours posés et pleins de grâce.

~ Caractère :(il est conseillé de lire l'histoire avant) Au niveau du caractère d'Aguaresse, on pourrait dire sans crainte qu'il est corrompu. Corrompu par les épreuves de la vie. Ces dernières l'ont laissé plein de haine et de dédain pour l'humanité. Heureusement, ses années d'actrices lui appris à bien cacher son jeu. Grâce à cela, elle peut se faire des connaissances sans aucun problème. Par contre, pour accéder au statut d'ami, c'est une toute autre paire de manche. Elle n'a plus confiance en qui que ce soit et reste constamment méfiante voire presque paranoïaque. D'autre part, lorsqu'elle se sent heureuse, elle retrouve son caractère enjoué et naturel de son enfance. A propos de son caractère naturel, elle a toujours été ambitieuse et calculatrice. Lorsqu'elle décide quelque chose, elle essaie de tout mettre en oeuvre pour y parvenir tant pis s'il y a des dommages collatéraux. Elle a gardé un côté très superficiel, très attentif à l'apparence, ce qui fait qu'elle adore lancer des modes. A noter : depuis sa sortie, elle est claustrophobe. Elle avait jeté un coup d'oeil en arrière, ressentit un grand et irrépressible frisson et c'était le début étrange de cette phobie.

~ Histoire :
Russie. Saint Pétersbourg.

Passons la conception, passons la naissance, passons l'enfance. Tout cela, vous le connaissez (surtout le moment de la conception, hein, bande de petits pervers !) et vous l'avez expérimenté (surtout le moment des bonnes fessées de l'enfance, hein, bande de petits garnements !) nul besoin est de décrire une fois de plus une vie tout à fait banale. La suite est tout aussi banale mais la vie de Tatiana devient un peu plus particulière. En effet, à 15 ans, elle quitte l'école normale pour intégrer une école de théâtre. Objectif : devenir une star du cinéma et mieux, une star tout court. Les courts se succèdent et ne se ressemblent pas : cours d'expression, cours d'anglais (elle est russe, née à Saint Pétersbourg, n'oublions pas, hein, bande de petits poissons rouges !) cours de chant, cours de danse, cours de maintien et bien d'autres choses tout court. Elle décroche quelques petits rôles à Saint Pétersbourg pendant ses études puis quelques mois après. Elle perce un peu mais sans grand succès. Elle comprend de toute façon que la Russie aurait été trop petite pour elle, elle veut la célébrité mondiale. Pour cela, rien de mieux que Holywood ? Elle prend ses économies et l'avion après avoir dit au revoir à ses parents aimants.

Le plein été à Los Angeles est quelque peu plus chaud que l'hiver russe. Le travail aussi. Les coups sont déloyaux, le canapé souvent mentionné pour décrocher des rôles, la concurrence rude, bien plus que l'hiver russe. Elle décroche de nombreux petits rôles mineurs dans des films tout aussi mineurs en rongeant son frein, se fait des ennemis et des concurrentes au passage. Dans ce milieu, il faut avoir les dents longues et se transformer en loup. Puis finalement, vingt deux ans, la chance tant attendue ! Un grand film ! Dans un rôle mineur, certes, mais une super production. Le tournage se déroule tant bien que mal entre les histoires de pouvoir et les gens qui se tirent dans les pattes. Les tensions entre elle et l'héroïne s'intensifie. Mais le tournage se termine tant bien que mal. La première est un grand succès. Elle le sera pourtant surtout pour les tabloïds. L'actrice principale est retrouvée assassinée dans les toilettes de la salle de réception. Seul suspect : Tatiana.

Elle aura beau clamer son innocence, le verdict est sans appel. Dix ans de prison. Dix ans à souffrir du milieu carcéral, à sentir la violence la transformer définitivement en une boule de colère. Dix ans à se sentir profondément trahie aussi bien par la justice que par son pays d'origine qui n'avait pas bougé le moindre fonctionnaire pour l'aider. (bah oui, avez-vous déjà vu un pays avoir un doigt - bande de petits innocents ?) Dix ans où pour combler l'ennui, elle passe de nombreux diplômes et apprend les histoires et les techniques de ses codétenus.

La sortie est encore plus cruelle que l'entrée. Ses parents sont morts entretemps, rien ne l'enjoint de retourner en Russie. Elle essaie de recommencer son métier mais Hollywood l'a mise sur liste noire. Elle part pour New York et Broadway. Mais là aussi, elle se fait rejeter mais pas à cause de son passé. La persévérance étant la qualité numéro une pour un acteur, elle décide de rester et de continuer à passer des auditions. Cependant pour payer son loyer, elle réussit à trouver un travail dans un bureau d'ingénierie. Difficile lorsqu'on a dit ans de prison sur le diplôme. Grâce à ses diplômes, elle réussit relativement bien à gagner sa vie. Jusqu'à ce qu'un de ses collègue l'achève. Il a trouvé son passé et menace de le révéler à ses supérieurs. Sachant que si cela se sait, elle sera virée et donc à la rue et incapable de pouvoir atteindre son rêve, Tatiana accepte le traité du maître chanteur. Mais l'argent qu'il demande devient petit à petit si important qu'elle est contrainte de déménager de plus en plus loin de New York pour avoir des loyers plus faibles. Tous les matins, dans le train de banlieue, elle rumine cette vie gâchée, ses rêves perdus et s'aigrit.

Puis un jour, le train l'arrête dans un lieu qu'elle ne connaît pas. L'incompréhension se fait, trop surprise des évènements, elle fait comme les autres, elle obéit à ce type de la fontaine, elle cherche. Puis, elle comprend qu'ils vont devoir rester là. Cette pensée la soulage et révèle le feu de l'ambition. Peut-être ici, elle pourra faire sa place, devenir célèbre mais elle se rend compte qu'elle a trop changé pour juste être actrice. Cela lui semble trop niais. Le déclic de sa nouvelle vocation se fait lorsque un à un les rescapés donnent leur profession au chef. Quelqu'un veut être shérif ? Parce qu'on compte avoir des criminels ? Et bien soit ! Pour une fois, on ne l'accusera pas à tord. Elle serre les dents de joie mauvaise. Elle sera la reine du crime ! On lui demande son nom.

-Aguesse Bells.

Adieu l'ancienne vie ! Adieu Hollywood, New York et paillettes ! Bonjour dans cette nouvelle vie.

• Third.

~ Vos impressions lorsque vous avez posé les pieds ici : *Mais bordel de Dieu ! Je vais être en retard au boulot !*
~ Métier :Le dernier dans le monde 'réel' : ingénieure. La vocation dans le monde 'réel' : actrice. Officiellement, ici : infirmière, psychologue (hey ! elle a cumulé les diplômes d'ailleurs, elle en a quelques uns encore en réserve) Officieusement, ici : Reine du crime.
~ Votre vision de la vie à Lostown :(C'est à dire ce que vous songez faire ici.)

cf histoire.


*hé, hé vive le dico, Sid !

Nom: Anh Sàang
Prénom: Argia Val Tedoromis Derion Uruguaïy Argia pour les intimes.
Age: 47 ans
Sexe: Mâle
Métiers: Chevalier noir
Race: humain
Pouvoirs:

Obligatoire :
Télépathe entre eux
télékinésie (grand expert)
nécromancie,
rayon d'énergie.

Sinon :
modification du taux d'alcool dans les liquides
modification des odeurs, densité et opacité des gaz
peut péter sur commande !

Arme:

uniquement ce qu'il a sous la main, dans le décor et lui-même, il sait très bien se battre. ^^ (bon on peut aussi dire, des allumettes et des fumigènes !)

Physique :

Argia est plutôt bien conservé pour son âge, on pourrait même dire en pleine forme. Quelques chiffres ? un mètre 81, 82 kilos. Il voudrait posséder plus de force mais il n'a jamais réussi et compense cela avec une grande souplesse qui fait le bonheur de ses conquêtes féminines et masculines également. Large d'épaule, on voit bien rouler ses muscles sous sa peau mais il regrette quand même son apparence même s'il sait que cela peut faire chavirer les coeurs.

Côté couleur, il a la peau mate, les yeux marrons et les cheveux blancs (a cause d'un jour où il a eu la frousse) et plutôt longs (ils lui arrivent à hauteur des homoplates) la coupe réglementaire est plutôt courte mais il a perdu un pari. Alors il s'y tient. En continuant sur la pilosité, il a les sourcils épais et la barbe mal rasée. Il a la fantaisie de toujours s'habiller de blanc et sans armure. Cela lui a valu plusieurs bagarres mais il a appris à détacher le sang sur ses habits (ne lavez surtout pas à l'eau chaude !)

Mental : En un mot ? On pourrait qualifier Argia de franc-tireur. Il n'aime pas recevoir des ordres mais adore le pouvoir et donc est plutôt apte à en donner. Il est plutôt têtu, ment beaucoup, est très sociable sans jamais se faire de véritables amis, ne compte que sur lui-même. Il aime boire (beaucoup) ainsi que faire des farces et il adore les bagarres (il a un don pour les commencer dans les tavernes) il est par ailleurs un bon camarade hors du service. Cependant, il a un côté très secret, peut disparaître souvent pendant plusieurs lunes et ne donne jamais d'explication. Il peut se montrer hautain et complètement salaud avec qui le froisse.

Histoire : Argia est né, a braillé et a grandit. Sa petite enfance, ma foi, rien à dire. Sauf qu'il se passe des choses bizarres dans son berceau, les nourrices le fuient et le rejettent. Il n'aura pas fallu longtemps pour comprendre. Dès qu'il fut propre (franchement, on ne demande pas à de grands magiciens de torcher les mêmes) on l'emmena dans une institution où il apprit à maîtriser ses dons. Plus ou moins bien. Officiellement puisque officieusement, il est beaucoup plus amusant d'envoyer des rayons d'énergie dans les fesses du gros Rick que dans le centre de la cible. Les farces sont beaucoup plus amusante encore avec la télékinésie. Argia s'amuse comme un petit fou et il se fiche bien de la guerre dans cette institution un peu à l'abri du monde et de la famine du royaume. Mais peu à peu au fur et à mesure des promotions, cela le rattrape. Ce jusqu'à sa première grande bataille. Ce fut un désastre pour son camps. Nombre de ses camarades moururent, lui fut à peine plus vivant lorsqu'on le ramena. Il se remit sur pied, continua ses exercices et son devoir, fut envoyé en mission, disparut.

On le cru longtemps mort, il fut retrouvé par hasard, un jour, dans la ville de Lagoritz par une troupe d'espions. Il fut ramené. Il semblait avoir perdu la mémoire. Il la retrouva après quelques semaines de traitements et de soin. De part cette infirmité, on l'exempta de toute poursuite pour désertion. Argia sut que son stratagème avait fonctionné une fois, il ne pourrait pas une seconde fois et devrait encore obéir à cet ordre. Il décida donc de gagner en pouvoir et en influence pour faire ce qu'il voulait. Il travailla donc d'arrache pied pour gagner en estime auprès de ses supérieurs et devint bientôt un chevalier émérite. Depuis, il gère ses affaires comme il l'entend en en faisant le minimum pour que ses supérieurs le laissent en paix.


Comment avez vous connu le forum? par le forum
Qu'en pensez vous? Cela me donne un furieux coup de nostalgie. :')
code du règlement: les petits pois sont rouges ou d'avril, je sais plus.

Nom : Mareva
Prénom :Ariihere ; souvent surnommé Ari ou Arii par le reste du monde y compris par lui-même
Âge :19 ans

Nationalité :Tahitienne
Statut :non-reconnu
Clan :rebelle

Sexe :Masculin
Sexualité :Il n'a jamais essayé que les filles



...Et si...Nous faisions plus ample connaissance?
Physique :Métis entre un tahitien et une vietnamienne, né sur l'île, Arii a bien plus de traits tahitiens qu'asiatique. A vrai dire, on ne vous le dirait pas, personne ne saurait qu'il a des origines vietnamiennes à moins de constater que ses cheuveux ont davantage la texture raide de cette région du monde et que ses yeux sont un tantinet bridés. Mais oubliez cela, en tant normal, ça ne se voit presque pas. La couleur de sa peau est mate, colorée qui n'a rien du fromage blanc japonais ou européen. Il est large d'épaule et on devine qu'il est bâti pour pouvoir rester longtemps dans la barrière de corail en apnée. D'ailleurs, il a toujours bougé et donc s'est forgé une belle musculature qu'il aime à faire tâter à ses conquêtes. Au niveau mensuration prenez un un mètre 83 auquel vous rajoutez 84 kg pour en faire quelque chose bien en chair qui sera capable de courir longtemps.

Caractère :Dans son enfance, Arii était bien insouciant voire complètement téméraire. Il a même toujours voulu nager avec les requins. Aujourd'hui, il a déjà nagé avec les requins mais il est resté complètement téméraire et qui se fiche bien des conséquences. D'une manière générale, il a tendance à faire immédiatement ce qu'il pense sans trop réfléchir à ce qu'il pourrait faire ensuite, ce qui l'attire dans pas mal d'ennuis. Il aime à se faire des amis et est toujours sociable, la famille pour lui est aussi une valeur très importante. Il a aussi tendance à dire tout ce qu'il pense. C'est aussi une vraie pile électrique qui déteste rester en place. Un médecin l'a d'ailleurs diagnostiqué en tant qu'hyperactif. Mais étant donné qu'il se dépense toujours en faisant du sport, cela ne se voit pas trop. Par contre, ne lui demandez pas de faire un travail de bureau, le cul vissé sur une chaise. De toute façon, il n'aurait pas assez de patience.

Histoire :Ariihere est né à Tahiti même. Son enfance n'a rien d'extraordinaire. Il en a profité pour passer pas mal de temps dans l'eau parmi les poissons et sur l'eau à faire du Va'a. Sur la terre, il s'amusait aussi bien à danser le pa'oti qu'à ramasser l'argent des touristes. Mis à part les passages obligés à l'école, il menait une vie de joie et d'insouciance.

Puis, à ses 12 ans, son père a commencé à être malade. L'évolution du cancer à duré plusieurs années jusqu'à ce que finalement, il décède. A 14 ans, le voilà donc orphelin. Comme vous pouvez l'imaginer, il a mis un peu de temps à faire son deuil ainsi que sa mère. Mais trois ans plus tard, cette derière rencontre un touriste Hong Kongais. Une petite étincelle s'est produite, il n'a pas repris son avion de retour et est resté une mois supplémentaire. Au bout de ces deux mois, une décision a été prise : la famille quitterait cette île pour une autre et déménagerait à Hong Kong.

Quitter le pays fut assez dur pour Arii. Lui qui ne parlait que le tahitien et le français (à quoi bon apprendre l'anglais à l'école, il pensait qu'il ne quitterait jamais l'île) à dû apprendre et l'anglais et le hong kongais. Cela dit, l'intégration s'est passé très difficilement. Pendant plusieurs mois, il est resté isolé et solitaire à cause de la barrière de la langue et de la culture. Cette dernière fut d'ailleurs très difficile à intégrer, il commettait des erreurs qui impliquait ensuite qu'il se fasse rosser par des camarades insultés. Las de se faire racketter ou entraîner malgré dans des bagarres, il a prit les devants et commencer à lui-même gérer les bagarres. Après de nombreux passages au poste de police, il se fait attraper et écope au final d'une condamnation à la prison avec sursis. La menace le calme définitivement. Désormais, il traine un peu partout sauf où il peut avoir des ennuis, ce qui laisse peu de possibilités. Il reste souvent au port et commence à se faire quelques connaissances parmi les employés qui le laisse visiter les bateaux tant qu'il le veut. Bien sur, en échange de quelques parts de son butin. Souvent, pourtant, il ne se trouve qu'un coin tranquille et laisse passer le temps.

Puis un jour, alors qu'il est justement en train de se somnoler sur un container dans un coin tranquille d'un bateau, une des bandes avec qui il se disputait souvent le réveille et commence à le tabasser. Ils s'arrêtent lorsqu'un membre de l'équipage les hèlent et s'en vont en courant. Las, le mal est fait, ils ont laissé Arii inanimé sur ce container. Lorsqu'il se réveille, il se voit en pleine mer mais, encore trop assommé, il ferme les yeux et s'endort. IL se réveille définitivement le lendemain matin. Le cargo approche d'un quai. Arii comprend tout de suite qu'il ne s'agit plus de Hong Kong. C'est à ce moment qu'un employé le repère. Ils veulent lui courir après mais apeuré, Arii ne réfléchit pas et saute à la mer. Il nage un peu et remonte sur un quai non loin. Cependant, les marins ont débarqué et se mettent à poursuivre ce passager clandestin. Une course poursuite à travers les containers de ce port s'engage. Arii les sème en se cachant dans un container. Par les portes entrouvertes, il les voit s'engager dans une traverse parallèle. Soulagé, il se laisse glisser au sol pour souffler un peu. C'est à ce moment là que le container bouger et est transféré sur un autre cargo. Il veut sortir mais la grue l'a déjà hissé. Une fois le container posté sur le pont, il se glisse en dehors mais est intercepté quasi instantanément par les marins de ce nouveau navire. Il essaie de se débattre mais ceux ci le maintienne solidement. Ils l'emmènent alors. Arii n'est pas très rassuré mais imagine qu'il va être remis aux autorités du port. Sauf que ceux-ci l'emmènent devant leur capitaine. Le jeune tahitien ne comprend pas ce langage même s'il reconnait quelques mots : du japonais. Il se trouve au Japon ? Cela paraîtrait logique. De hong kong au Japon, il ne faut pas longtemps. Au moins, il est dans un pays civilisé. Ils vont le relâcher. Alors qu'il est presque soulagé, il se fait embarquer à l'intérieur du navire, on trouve des cordes, on l'attache et il se retrouve bâillonné, les mains dans le dos sur une couchette.

On s'occupe de lui pour qu'il survive pendant les quelques jours de traversées. Puis il sent que le bateau accoste, qu'il est déchargé. Puis de nouveaux hommes entrent, le jaugent, il remettent de l'argent au capitaine pendant qu'Arii comprend avec horreur la situation. Les deux hommes s'approchent, lui détache les pieds et l'aident à marcher jusqu'au dehors du navire, après plusieurs jours de traversée, il est trop ankylosé pour faire les premiers pas seul. Mais, arrivé sur la passerelle menant au quai, Arii donne un coup d'épaule au premier des hommes et saute n'ayant aucune crainte quant à sa capacité à nager les mains liées. Mais alors qu'il va toucher l'eau, il se sent happé dans le dos. Alors qu'il hurle de douleur, il se retourne et voit qu'il est attrapé par un homme ailé. Complètement abasourdi, il se fait ensuite amené dans les entrepôts et à nouveau attaché.

un ○ i d e n t i t é

NOM : von Audric PRENOM : Athos SURNOM(S) : à la volonté des joueurs ÂGE : 42 ans ESPECE : Humain CLASSE/EMPLOI/GRADE : Dirigeant MONDE D'ORIGINE : Antéria

PHYSIQUE GENERAL : TETE : (avec des yeux, une bouche, un nez et deux oreilles. XD Non mais sérieux ça fait bizarre dit comme ça.) Première chose qui marque chez Athos : ses cheveux d'un blanc argent avec un léger début de calvitie sur les côtés (et oui, mais rassurez vous un rendez-vous pour des implants est en cours). Ces cheveux sont en grande partie à l'origine de tout le reste. Bref, des cheveux coupé plutôt court rejetés en arrière et assorti d'un regard bleu roi destructeur au premier qui a l'envie de faire une remarque désobligeante dessus en sa présence. (pour celui qui ose -ouhlaaa !- ce n'est plus un regard qu'il se récoltera mais là c'est un tout autre chapitre) Par ailleurs des dents impeccablement alignées et blanches suite à un abonnement mensuel chez le dentiste. Le nez, les lèvres, les pommettes, les rides et tout ça correspondent intégralement aux critères de beautés actuels. -Autrement dit, vous exclamerez-vous : wahouuu ! Il est méga beau ce type ! C'est un canon divin, un héphèbe dans toute sa grâce, un apollon moderne. -Moderne ! Oui, moderne est le mot qui convient. Approchez-vous un peu, regardez et vous y trouverez comme un air artificiel dans tout ces beaux traits divin. Moderne est en effet le mot qui convient vu qu'Athos est refait un peu de partout -chirurgicalement parlant entendons-nous bien. Obsédé par son apparence, il refuse que le temps y fasse le moindre ravage en comparaison avec la norme du beau. -Et les lunettes rondes qu'il a sur le nez me direz-vous ? Et bien, les lunettes rondes, c'est un conseil de son habilleur. Si, si, il a autre chose à faire que de choisir ses vêtements et il préfère payer quelqu'un pour en prendre soin. Un conseil donc. Le sieur hésitait à se faire opérer de sa myopie ou pas. Mais voilà, d'après son employé "monsieur, vous avez une tête à lunettes. Cela vous donne une prestance et une majesté que vous perdrez sans cela" Deux mots qui ont fait mouche et les lunettes sont rescapées du massacre au laser. -Et ses cheveux ? C'est aussi pour la prestance alors ? -Les cheveux... Les cheveux, c'est différent. VETEMENTS : Vêtements ? Ah ha ! Quelle blague. Ne vous ais-je point dit qu'il avait un habilleur ? La seule chose qu'on peut dire de ses vêtements, c'est qu'ils sont toujours classe et impeccable. Si vous y voyez la moindre poussière dessus, il y aura un licenciement dans l'air, alors préservez l'emploi et taisez-vous, d'accord ? Sinon, pour les rencontres en conseil d'administration, vous verrez toujours Athos vêtu d'un parfait costume cravate -trois pièces ou non - à la dernière mode et sans une faute de goût. Dans l'intimité -et les jours de congé de son habilleur- vous le reverrez plutôt vêtu d'un style casual, gentleman farmer chic qu'il affectionne particulièrement. Soyez certain que s'il peut se permettre de les porter tous les jours sans déroger aux normes locales, il ne s'en privera pas. PHYSIQUE AUTRES DONNEES : Taille : 1 mètre 66. Athos n'a jamais poussé sa perfection de beauté jusqu'à aller à la méthode des clous d'albizzia. En privé et en dehors de sa présence, on s'amuse à chuchoter que sa petite taille serait la cause de sa hargne Poids : 64 kilos. Comprenez pourquoi il n'a jamais touché aux arts martiaux et en est resté à l'escrime dans ses sports de loisir. CARACTERE : Il y a tant à dire sur son caractère. Et tant à découvrir. Ce qu'il faut plutôt comprendre ce sont les principes qui dirige l'homme. Tout d'abord, sa volonté. Dès qu'il a décidé quelque chose, il n'en changera jamais même s'il faut parfois qu'il perde une bataille avant de gagner la guerre. Têtu donc et même carrément buté. Par ailleurs, il est à la fois malin et très tacticien. Lorsque l'occasion le demande, il peut atteindre un niveau de concentration tel qu'il décortique le moindre fait et geste et surtout parole de son interlocuteur afin de deviner ce qu'il pense et d'établir son plan en conséquence. Dans ces moments là, il ne laisse rien au hasard. Dans les autres en revanche, il peut se ficher complètement des détails. D'ailleurs, il n'a pas le temps. Introduisons là un autre point de son caractère. Si le sieur s'intéresse à un sujet quel qu'il soit, soyez certain qu'il en deviendra rapidement un expert, quelque soit le nombre d'heures de travail que cela lui demande. Pour tout le reste, il est complètement ignorant de la chose et de toute façon, il s'en fiche : ne paie-t-il pas des employés pour faire cela ? Par contre, s'il est exigeant envers lui-même, il l'est aussi envers les autres. Dans son côté chevaleresque, il pardonne une erreur et une seule. Mais pour la deuxième, méfiez-vous de son ire. La traitrise et l'échec le rende fou de rage. La rage mène à la vengeance et il a bonne mémoire. "Le craindre ? J'ai la loi pour moi, il n'osera rien me faire."direz-vous. N'oubliez pas que son mode de pensée est encore féodal. La loi, c'est lui et vous avez tout à craindre. Par ailleurs, il est empli de contradictions. Trois parmi tant d'autres : il est profondément croyant-orthodoxe vu sa région de naissance- et pourtant, la magie noire, les légendes païennes et autres ne l'effrayent ni ne le répugne le moins du monde. Il est très loyal et peut parfois lâchement poignarder dans le dos si ça sert ses intérêts. Il est cependant rare qu'il agisse ainsi avec des gens envers lesquels il a une responsabilité et/ou qu'il ressent être comme ses vassaux (ses employés et ses membres de la Rosa Aeternam, ses protégés...) Enfin, il peut être tout à fait impitoyable comme montrer beaucoup de compassion envers les humains et les animaux. QUALITES : Volontaire, expert, doué à faire des affaires, persévérant. Très sociable. Assez érudit. DEFAUTS : Son caractère est son principal défaut. Sa libido aussi. ATTIRANCES/AVERSION : Il a également un faible pour la bonne chère et les demoiselles. Il a la phobie de vieillir et n'aime pas particulièrement l'idée de devoir mourir un jour et les galas de charité. Il a surmonté sa phobie des serrures de porte et des chenilles mais ça peut revenir lorsqu'il a beaucoup bu. (cela lui vient de lorsqu'il avait regardé Alice au Pays des merveilles quand il était petit) ARME(S) : Il a toujours sur lui une arme à feu qu'il sait manier avec précision depuis son service militaire où il s'est découvert très bon tireur. POUVOIR(S) : pouvoir d'être insupportable mais à part ça... Ou autrement le pouvoir prodigué par l'argent et la puissance des compagnies qu'il possède et dirige (industrie pharmaceutique, notamment. Pour le reste -banques, assurances, industrie automobile, ça change relativement souvent).

PASSE : Malgré ce que son prénom grec voudrait dire, Athos est originaire de Transylvanie. Si, si, au beau milieu des Carpates plongé dans les légendes et un moyen-âges que les temps modernes n'arrivent pas à entamer entièrement. C'est pour ça qu'Athos von Andric reste avant tout un seigneur châtelain et noble de naissance -vidame. Il faut noter que ce titre a eut plusieurs influences sur son éducation. Il devait offrir la justice, être un noble guerrier, croire en Dieu mais aussi veiller à ce que chacun reste à sa place. Bref, enfance féodale et adolescence moderne. En effet, s'il a pu recevoir des cours particulier pour toute la durée de son enfance et de son adolescence, trouver des précepteurs dans des matières universitaires était impossible. Il alla donc étudier dans la plus proche des grandes villes et se spécialisa en finances. Il partit reconstruire la fortune de ses parents dans un autre pays. Et, au fait, et ses cheveux ? Ah oui, l'histoire des cheveux. C'est le jour de l'anniversaire de ses vingt-cinq ans que ses cheveux prirent leur couleur actuelle. En une journée. Ce phénomène fut étudié par quelques médecins renommés avant de passer l'éponge. Athos essaya bien de les teindre de leur couleur noir corbeau naturelle mais peine perdu, rien ne prenait. Mais ce fut à ce moment là, alors qu'il se contemplait dans le miroir qu'il se trouva un air vieux. Soudain, il prit peur de la mort -malgré son côté bien chrétien et vie au paradis jusqu'au jugement dernier. En parallèle, il se renseigna sur les mythes d'immortalité et écarta nombres de légendes farfelues -il écarta aussi les clones et la science sur ce point là bien qu'il se mit à financer certaines recherches une fois sa fortune acquise quelques années plus tard-. Certaines légendes retinrent son attention. Il se concentra sur les trois grandes pistes les plus sérieuses : les égyptiens, les mayas et la magie noire. Il se mit à faire des recherches, à financer des fouilles et à passer ses vacances au pied du désert ou des marmites fumantes. Le déclic vint pourtant des mayas. Une civilisation extra-terrestre les avait bien rencontré. Pourtant, elle n'était pas extra-terrestre dans le sens qu'on aurait pu croire. Ce fut à ce moment qu'il découvrit les mondes parallèles. A vrai dire ce fut plutôt un grand coup de chance. Alors qu'il avait 32 ans et que les recherches commençaient à patiner, un phénomène survint sur le lieu des fouilles. Une porte avait été ouverte. Cela, il ne l'apprirent que plus tard : lorsque la créature qu'il capturèrent avoua son histoire. Des tests cliniques furent fait sur lui : il ne vieillissait pas. Mais justement, la science médicale et surtout le penthotal, tuèrent le sujet. Cependant, la découverte était phénoménale. Phénoménale et secrète. Un des employés croyant dans l'universalité de découvertes s'empressa de tout révéler. Il ne fut cru par personne mais sa mise à mort, longue, douloureuse, filmée et retransmise à tous les salariés d'Athos se gardèrent dorénavant de reproduire la même erreur. Le secret resta sauf. Cela donna cependant à réfléchir à Athos. Il décida de créer une organisation secrète -après tout, on reste moyen-âgeux ou pas- nommée Rosa Aeternam. Après tout, un peu de folklore ne faisait de mal à personne et au contraire cela soulagea énormément tous les gens reliés à cette affaire et depuis sept ans, il y en avait plusieurs centaines. Il en ajouta quelques centaines d'autres en se créant un corps de mercenaires suréquipés, surentraînés et complètement fanatiques. Il avait à sa disposition une bonne petite armée de scientifiques, informateurs et de militaires. Rien n'empêchait cette petite armée de se déployer pour satisfaire les besoins de ses entreprises officielles. Les membres de Rosa Aeternam étaient plutôt d'accord puisqu'ils savaient parfaitement que leurs salaires -juteux- venaient de là. Le nouveau problème, Athos s'en rendit compte après. Nul n'arrivait à trouver le passage vers les autres mondes. Les informations à ce sujet là qu'ils avait réussi à extirper de l'étranger étaient fausses. "Il est difficile de contrôler les informations obtenues par un sérum de vérité" lui avaient répondu ses scientifiques. Après une colère noire, Athos avait réfléchi. S'il y en avait eu un étranger, il devait y en avoir une autre. Nouvel objectif : trouver une autre personne provenant de ces mondes et lui tirer les vers du nez. Il lâcha donc ses chiens sur la planète à la recherche de ces nouvelles perles rares. PROJETS : Devenir immortel, devenir un despote éclairé des mondes aussi l'intéresserait bien mais il s'arrête d'abord au premier projet pour l'instant. SITUATION ACTUELLE : cf l'histoire

PRENOM : (facultatif) ÂGE : 23 ans LOCALISATION : Paris pour l'instant Québec à partir de Janvier et avec un peu de chance un autre pays encore à partir de mai-Bah non Lyon ! DÉCOUVERTE DE ELM : Via Owenn (bon allez, je l'avoue ça fait plus d'un an que je me tâte à venir)

« Zuhri Osei »


<ul>ÂGE ♠ 36 ans

ORIENTATION SEXUELLE♠ a priori hétéro.

CLAN ♠ Nation de la terre.

PRINCIPALE PROFESSION OFFICIELLE ♠ commerçant import-export

PUISSANCE MAXIMALE♠ 93/100

PUISSANCE ACTUELLE♠ 22/93

«I say who I am»
Agréable de compagnie et d'une grande conversation, tel pourrait-on décrire de prime abord notre cher Zuhri. Ceux qui le connaissent en dehors des banquets mondains pourraient ajouter qu'il est curieux, attentif à la nouveauté mais aussi à l'histoire et qu'il sait ce qu'il veut. Ceux qui le connaissent encore mieux pourraient ajouter qu'il nourrit une passion morbide pour le passé mais ceux là ne savent pas pourquoi et ont à peine pu entrapercevoir les méandres de sa personnalité. Ils ajouteront à cet effet qu'il est difficile d'obtenir la confiance de cet homme. Bien peu savent ce qu'il est vraiment : rongé par l'ambition, avide de pouvoir et d'argent, obsédé par le contrôle, aimant de ses parents, de ses femmes et de ses enfants. IL est aussi manipulateur et sans pitié, la douleur des autres ne l'atteint pas tant qu'ils n'appartiennent pas au cercle restreint des gens qu'il aime ou dont il pense avoir la responsabilité. </div></center>

«It's me, it's my story »

De sa petite enfance, Zuhri n'a que de vagues souvenirs. Des cris, de la peur, une pointe de terreur. Ces souvenirs ne réapparaissent que dans ses sommeils les plus agités. IL ne sait que ce que ses parents lui ont racontés. La guerre, l'escalade nucléaire, la pointe de l'aiguille qui arrive à minuit, la destruction. Les parents de Zuhri s'étaient cachés dans les boyaux du métro, comme beaucoup d'autres. La famine pendant deux ans, les combats pour la survie, le cannibalisme sont des choses que ses parents lui ont raconté des années plus tard. Des choses que son subconscient a enfoui au plus profond de sa mémoire mais qu'il ressent toujours au plus profond de ses entrailles.

L'hiver nucléaire n'avait pas eu lieu. Au contraire, tous s'était réchauffé et les digues qui contenait l'eau des boyaux du métro qu'ils occupaient avaient fini par céder. Il avait fallu revenir à la surface et découvrir avec satisfaction que le compteur geiger restait muet. Mais la vie tranquille n'était pas prête de s'installer. Ce fut à ce moment là que commencèrent les Rassemblements. Rassemblement qui, pour beaucoup, ressemblaient à une déportation. La famille Osei essaya de résister et de résister à Los Angeles mais la fin fut signé lorsque que Zurhi montra ses pouvoirs. Il n'y avait plus de choix possibles et l'ancien continent africain devint leur nouvelle nation. Ou presque. Les parents d'Osei n'avaient pas de pouvoirs mais ils avaient survécus. Pour eux, pas de choix possible devant le nouveau racisme qui apparaissait. Ils se cachèrent non loin de Johannesburg dans une ancienne mine d'or, toujours partagé entre l'idée de laisser leur enfant à la surface pour qu'il s'intègre dans ce qui devrait devenir le nouveau mode de vie et de le garder avec eux en sécurité. Finalement, le compromis fut trouvé : le jour, Zurhi vivrait le jour à la surface et viendrait discrètement les rejoindre la nuit sans se faire suivre.

La vie continua comme ça pendant longtemps. Zuhri prit petit à petit le métier de passeur, parfaitement à l'aise qu'il était, avec les deux cultures des deux peuples. Il faisait sa vie des deux côtés comme auraient pu en témoigner les deux épouses qu'il avait, l'un au dessus, l'autre en dessous, si elles avaient su la présence de l'autre femme. Ce fut au moment de la guerre contre la nation du feu que les choses se gâtèrent. Du moins, pour les autres. Pour lui, cela prospérait d'autant plus. Son commerce put s’agrandir, il put prendre de nombreuses personnes sous ses ordres. La défaite fut d'autant plus amère pour lui que cela ralentit ses affaires. La guerre était pratique, l'occupation également. Le pessimisme ambiant fut propice à l'extension de ses activités. Il se mit à fabriquer de l'alcool et a essayer de retrouver comment réaliser ces drogues que la technologie d'autrefois pouvait faire. De simple contrebandier, il était passé à plus grand : il voulait utiliser le monde d'aujourd'hui en faisant revivre la terre d'autrefois. Le monde dont lui parlait ses parents avec forces détails semblait bien plus grand et merveilleux qu'il ne l'était maintenant, notamment pour sa richesse et sa puissance. Mais il régnait un courant anti-technologique latent, les rumeurs disaient que quelques gouvernements avaient même condamnés à mort des anciens scientifiques.

Son but se heurtait à la réalité : il était parfois seul et les nations parfois trop puissantes. Il n'en avait que faire : l'union fait la force disait-on. Il suffisait de trouver les bonnes personnes. Son but avait donc évolué : il fallait continuer ses activités et manier les ficelles. Devenir le maître du monde, par la paix ou par la guerre mais en secret. Officiellement, il était marchand, importateur exportateur propriétaire d'une grande flotte, personnage important de l'économie mondiale, cela n'en était que plus pratique pour ses activités souterraines. Dans tous les sens du terme. Et cette extermination qu'il y avait à l'encontre du peuple de l'air arrangeait ses affaires. Dans la mesure du possible, il essayait de les recueillir. Double emploi : pour son but secret et pour gonfler les voiles de ses navires.

«Look at me !»

le physique peut se décrire facilement chez Zuhri : fluet. Vous auriez raison. Zuhri a beau soulever de la fonte, faire tous les exercices possibles et voulus, il ne réussit pas à prendre de la masse et à toujours l'air d'un gringalet. De dépit, il a décidé d'arrêter tout et de se consacrer au reste. Conclusion : il n'a pas perdu un gramme, pas pris un kilo et reste toujours aussi fluet. En contrepartie, Zuhri s'habille près du corps, histoire de ne pas se perdre dans ses vêtements, de préférence classe style veste et pantalon de costard gris et pull à col roulé.

Notez bien qu'il porte quasiment toujours un borsalino avec lui dès qu'il sort et souvent dès qu'il est chez lui. Rare sont les personnes qui sanvent s'il est chauve ou pas : on distingue des cheveux noirs coupés courts sous le borsalino mais ensuite... En revanche, tout le monde s'accorde à dire que voir briller ses yeux marrons dans la pénombre du feutre donne des frissons à n'importe qui.

taille : 1m75
poids : 68 kilos
couleur de la peau : noire
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«What'else ? »

Zuhri a la trouille du noir et des canards en plastique jaune. Par ailleurs, il est assez porté sur la gaudriole et adore faire des mots croisés. A noter, c'est un personnage assez public de l'économie même s'il est plus connu dans le feu et la terre que sur les autres continents.[/justify][/spoiler][/center]</blockquote>

<blockquote><div class="bg";>
<div class="titre">Yume Aritsune</div>

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Avatar à remplacer

Nom : Yume même si on peut parfois trouver Tenshi Prénom : Aritsune. Ce prénom est très rarement utilisé (sauf par ses amants) Il se fait appeler Tsune Âge :32 ans Statut : Libre Clan : Kami no Shoshi Pouvoir : Tsune peut voler dans les airs avec ses ailes qu'il porte en permanence. Du fait de ces dernières, on peut voir clairement en lui l'aura rassurante et protectrice spécifique des Tenshi. Sinon, on peut l'entendre très clairement roucouler ou émettre des vocalises aviaires. Enfin, comme beaucoup de Tenshi, il dispose de pas mal de caractéristiques classiques des oiseaux (comme la faculté de dormir peu, de perdre régulièrement ses plumes, ou d'avoir le tic de lisser souvent ses plumes.) En revanche, il ne peut se transformer complètement en oiseau. Race : Pigeon Biset -le pigeon basique des villes Sexe : mâle Sexualité :Hétérosexuel pour le mariage, homosexuel pour les amants. Ainsi, il n'a pas l'impression de tromper sa femme.

</blockquote>

<div class="titre">Et si...Nous faisions plus ample connaissance?</div><blockquote></blockquote><div class="titre">De toi à nous...Dis nous tout</div><blockquote></blockquote></div></blockquote>

not played answer given because they made me wait not answering to me and had validated two set of characters (for in overall) not even answering to my question


Well, okay, I just wanted to wait for your answer but I see now I can go fuck with a dinosaur before you'll gather your microscopic courage and do it.

So I'll stop the adventure here just telling a few things for you :

1) don't say to somebody he can come if it's not the case. I just lost my time here because you lied to me on that point in the C-box, Edur (especially because I saw that you're from the staff, it's not nice from you).

2) don't say that you're open on creating new races everywhere if, in reality, you just don't want to do that. You just make people disappointed.

3) if you're admin, just read your fucking context before answering to the new apps. If you're sending on a link while saying 'we don't have any equivalent of greek or roman gods here' and in that same link I read exactly ''Our set up is similar to that of Greek Mythology'' I'm sorry but it just don't look professional and you simply appears to be a bumpkin who doesn't even know what he is playing on.

4) if there's a problem, just say it instead of validating everybody else (that just prove that you had time for paperwork and that you were not delayed by an IRL matter) without adding anything on the app even if a question was asked to improve the application. It just seems that you're cowards or incompetents, and those things don't cope with the responsibility you have when you're managing something -even an rpg board.

On those words, I hope you'll improve and your board continue to flourish and create fun for every member.

Now, I'm leaving with my character in my bag.
Farewell

[align=center]For
ALAN PIERCE

DARKNESS IS LIGHT
[/align]


Put on your pretty lies

NAME: Alan Giuseppe Pierce
NICKNAMES: any you want.
AGE: 33
GENDER: male
ORIENTATION: Any
SPECIES: Human
OCCUPATION: Now slave before rebel and CEO
OTHER: None

Faded pictures on the wall

EYES: Two, nicely blue.
HAIR: Dark blond, most of the time, short, very often with a strand of hair on the forehead
MARKS: None for the moment
OTHER: with 1m72 for 71 kilos, Alan is not tall or short, not heavy or skinny and, concerning beauty, he describes himself as 'a normal guy but with a lot of money.'
FACE CLAIM: Brendan Fraser

Your train of thought will be altered

LIKES:
- The fact he can feel asleep anywhere and at any time,
- Having to be a leader and run things
- Having a weapon on him -normaly his gun, beeing good at shooting
- Having a lot of numbers on his bank account
- Playing golf and darts -and more generally all kinds of games,
- History -especially military history and anecdotes
- Cooking (but does not have the time very often)
- The bads in the James Bond films (and the James Bond girls of course)
- Bruce Wayne

DISLIKES:
- The fact that he has the greatest difficulties to hide what he thinks,
- Rats (not a phobia for the moment)
- Green vegetables (that's poison !)
- Everybody who comes in his way
- Non-humans and slavery
- Tony Stark


PERSONALITY TRAITS:
- Alan has a strange conception of justice and morals. He normally don't follow it when it suits him but won't hesitate to tell somebody he is wrong.
- He is scabby, stubborn obstinate and revanchist.
- He knows what he wants
- He can be very adaptable, knowing when to wait to reach his aim and what to do for it.
- He is sometimes too short tempered and the rest of the times thinking and calculating a bit too much
- He is loyal to his friends. But here is the problem, he is very selective on his friends.
- He is proud nearly haughty

HISTORY:

Alan was grew up in Washington. That city is not trivial : his father needed to be in the area. The father had created a big armament company so he wanted to be next to the Power - as military and political. Alan grew up with the idea he will be the heir and succeeding to his father in the company.

When the little boy was six, his little sister was born. Alan just lived his sister being even a little too overprotective according to his parents. Two years later, while going to a charity, his mother had a car accident and died three days later. From this moment, even his father was very protective toward his little sister : she was all that stayed from his late wife. And the more she grew up, the more she was looking the same as her.

At his eighteen, his father introduced him in the company to learn the job. So he began to go at the company during the evenings and the holidays. The great tragedy began a few years latter when he was 24 and his sister 18. She never liked the family business, that had brought lots of arguments. The day of her birthday, her father and brother came back home to take her to the restaurant to celebrate and found an empty house and a note. She had left them because she couldn't cope with the business.

Of course, they worried for her and his father asked some friends in Washington to search for her. What could be faster than the police itself ? But they didn't find her. They asked other persons to search outside the states and waited. But a few months later, the father abruptly lost any hope and buried himself with sorrow. One year day per day after the birthday, he died.

Alan became the CEO of the company and kept on paying people to search for her sister. A few weeks after his enthronement, during a meeting with a general and one of the director, some secrets were revealed. Non humans were existing on this planet. Unbeliever, he asked one of his detectives for a quick search. It was more than a simple military secret : they were thousands. Alan was shocked : the government knew that and wasn't telling anybody ? Why ? He asked for another search and soon had the result : they were everywhere.

Alan grew up in the ambiance of the plots, schemes and conspiracies. He understood immediately that was dangerous, that those non humans were dangerous. And two ideas began to emerge in his mind. The first one was they needed some weapons against those monsters and also to sell them to make new profits. The second was maybe his sister met them. The results came weeks later and understood why his father suddenly stopped to have hope. She had been enslaved and had perished under the hand of her master.

Hatred grew in him, his wish of vengeance too. He made that master being kidnapped and brought into some secret labs he built for his new projects. He made sure the master died very painfully, collecting interesting datas in the same time. Lots of other non humans were studied in those laboratories.

The more the time flew, the more non humans became powerful and everywhere, the more Alan saw the situation becoming dangerous for humans. When the slavery became legal, he had prepared that fact. He had created false companies and holdings to hold the share so he wasn't officially running the family business. He was afraid by being too obviously human, the company could be seized. He had lots of money in various bank account and his secret labs were the QG of his rebel movement.

They did pretty well the last three years. He knew lots of persons were trying to fight too. While his men were more in the action, he tried to gather the different movements into one. In order to do that, he travelled to Pennsylvania for a meeting with a newcomer. Alas, the meeting was more than aborted : non humans arrived and he was captured.

Ain't used to what you like

ROLEPLAY SAMPLE:

Alan opened his eyes. Instantly, a headache rose. He closed his eyes, gritting his teeth. He just had the time to see he was in the dark and felt that he was lying. He just didn't remember that he had drunk that much the previous night. It was hard under him, he must have felt from his bed. The headache was softening, he breathed more freely and his mind began to work.

The plan was simple : first, get a painkiller, then take a big coffee and try to kill that hungover. It would try to do it while working. He had so much to do. First, give orders to that non human puppet for the family company then prepare the meeting in Pennsylvania. It would be hard to go all that way north from Washington without being seen.

Something was ringing in his brain. First, the blond man thought it was the pain coming back. He just kept on thinking at what he had to do after getting on. Yeah, that Pennsylvanian meeting. The trip up there would not be easy. And then, he had to think about the negotiation. It was not easy, very often leaders thought that getting in the same group would imply they would lose their power. Even in those times, even with that aim, men just loved power. The ringing in his brain just grew bigger but Alan decided to ignore it and come back to what he was thinking.

Well, maybe that meeting would be easier than the others. After all, wasn't them who asked him to come ? Of course that was unusual but he understood that they needed support and weapons. The ringing exploded like one of the anti ballistic missile on the page 37 of the catalog. And hell knows that those exploded well. As his memory at that particular instant.

The meeting was unusual. The attack ! He opened his eyes, ignoring his violent headache. Where was he ? He tried to get up but his legs were wobbling. He wanted to expand his hands to reach his balance but he realised that they were tied in his back and felt. A noise wanted to came out from the shock but was stopped by a gag. Panicked, he sat and moved back until he felt something in his back. Bars.

Painfully, all was suddenly limpid. A little bit of despair overwhelmed him : what was coming now ? Fright invite itself in his heart : would he die like his sister ? What was coming now ? What was coming along with those footsteps ?


Your mind's in DISTURBIA

NAME/ALIAS: Amadäus or Alan as my character
AGE: 25
EXPERIENCE: don't remember exactly. around 8 or 9 years including half a year in english.
HOW DID YOU FIND US?: From a link of a link of a link of a... well, you have understood.

[align=center]You're in the city of wonder.
IF YOU MUST FALTER, BE WISE[/align]

[align=right]This app was made by Whispers...x at CAUTION 2.0?.
Leave the credit on and please don't steal! She spent a lot of bonding time with Google to make this.[/align]



If there is anything wrong so far, tell me, I may have been a little too enthusiast with the story. I still need to do the sample.