Fiches de personnages

Prénom : Dahad
Prénom secondaire : Hok
Nom : Kether
Race : A priori Humain
Age : physiquement 24 ans
Sexe : masculin

Physique :

Stature et Capacités Générales : Dahad est un homme plutôt bien bâti, assez large d'épaule tout en restant fin car il n'est pas une montagne de muscle. Cette musculature ne lui permet pas une force transcendante mais il compense par une agilité et une rapidité que n'ont pas ceux qui peuvent soulever des tonnes sans y laisser une goutte de sueur. Cependant, il n'est pas le plus endurant. S'il aurait voulu avoir en général un peu plus de force, ses contacts avec la gent féminine lui ont permis de se convaincre qu'il ne fallait pas tout changer à son apparence.

Taille : Dahad est plutôt d'une taille moyenne. Dans la foule, il ne dépasse pas et en comité restreint ce n'est pas le plus petit.
Poids: C'est ce qu'on peut apeller un poids plume : il pèse à peine 72 kilos.
Cheveux : les cheveux de Dahad sont gris- blanc avec des reflets violets et sont coupés mi courts pour plus de facilités : pas besoin de se les couper tous les jours pour maintenir la coupe et il ne les a pas dnas les yeux non plus.
Yeux : Ses yeux sont gris auréolé d'un cercle légèrement violet pâle.
Peau : Si vous croyez que Dahad a une couleur de peau normalement ivoirée comme tout le monde, vous vous trompez, il vient de ressortir d'un intense séance de soleil. En effet, sa peau est d'une couleur habituellement cadavérique -et pour cause. Cependant, durant l'hiver, le bronzage disparait peu à peu pour laisser place à la couleur naturelle de sa peau. Il a sur le torse un énorme tatouage en forme de flammes noires, signe de son ancien appartenance à son maître.



Armes : un katana sur mesure mais qui n'a rien d'exceptionnel. La poignée est en peau de raie et il la porte dans un fourreau accroché à la taille et placé dans son dos. Il a également cachés dans son gant et dans sa botte deux stylets affutés en cas de dernier recours.

Elément : eau

Classe d'arme: Mercenaire

Techniques : Dahad n'a pas de techniques en soi mais seulement un instinct très développé. Il ignore toutefois si cet instinct provient d'une réminiscence d'un entrainement démesuré dans sa vie précédente toujours est-il que certaines personnes décèlent dans certaines de ses frappes quelques techniques plus ou moins connues et plus ou moins efficaces. Il utilise cependant les épées et sait se battre à mains nues.

Ultime techniques : Dahad n'a jamais essayé cette technique pas même en entraînement, c'est cet instinct qui lui dicte une fois encore comment faire. Pour activer cette technique ultime, Dahad sait qu'il doit activer le masque de son ancien maître qu'il porte autour de la taille. Il sait également qu'alors, il sera possédé par son maître mais il ignore tout à fait ce qu'il se passera ensuite. Puisqu'il ne sera plus lui-même, son instinct ne sera plus le même non plus.

Histoire :

Son premier souvenir fut une sensation. Laquelle ? Il ne saurait le dire. De froid ou de lumière peut-être. Il se rendit compte que son bras se faisait de plus en plus consistant et qu'il se trouvait sur un champ de bataille. Il entendit une voix dans sa tête lui dire : "Tue-les !" Et son instinct lui répondre : "Bats-toi et survis !" Alors sa lame s'abattit sur des têtes et des bras et la bataille fut gagnée tandis qu'il disparaissait à nouveau dans le néant en ne gardant que l'image d'une fille à la beauté exceptionnelle.

C'était la première fois que son âme était invoquée par Rär-Zhor, l'apprenti Nécromancien. Ce ne fut cependant pas la dernière. A chaque fois, il gardait le souvenir de ses précédentes invocations. A chaque fois, il repartait avec le souvenir de cette femme et du sang sur les mains. A chaque fois, durant sa mission, avant de disparaître de nouveau dans la froideur de la mortalité, dès qu'on l'invoquait, il entendait la voix de son maître dans le crâne. Cette voix qui lui servait de conscience et d'esprit. Il sentait qu'il pouvait penser par lui-même mais cette voix grave l'en empêchait, l'hypnotisait, le convainquait au plus profond de son âme de le suivre et de faire ce que cette voix lui ordonnait. Seul son instinct émettait la seule note de son individualité, lui prouvait quelque chose mais son esprit n'était pas là pour lui dire quoi. A force d'usage, son instinct devint plus puissant et sa puissance aussi.

Un jour, il se sentit revenir du plus profond des ténèbres par Rär-Zhor, chefs des nécromanciens. Depuis les années qu'il ressentait cela, son instinct lui dit de se préparer au combat. Un autre, encore, où il lui faudrait tuer sans remords et où il n'aurait pas de remords, comme une marrionnette vide d'émotions. C'est alors qu'au lieu d'un champ de bataille, il se retrouva dans une chambre richement parée. Son esprit ne put comprendre que la voix et son instinct lui ordonnèrent de frapper l'ennemi. C'est ainsi qu'il frappa tour à tour tous les nécromanciens qui préparaient depuis longtemps le coup d'état.

Mais, alors que sous sa lame, il n'y avait plus que des corps sans vie et que sa mission était achevée, il ne se sentit pas retourner dans le néant comme les fois précédentes. Alors son instinct lui dit de se retourner et d'aller voir son maître. Il s'agenouilla auprès du corps agonisant qui résistait à un charme de malédiction. Mais alors que le vieillard faiblissait, sa peau se transformait en métal et son visage se déformait. L'invoqué vit alors son maître se transformer en un masque grimaçant.

Sans voix pour guider sa main, il s'assit près de ce qui fut son maître. Il resta longtemps, sans penser ni pensées, près de lui, trop longtemps habitué à obéir pour soudain réfléchir par lui-même. Puis soudain l'image de la femme ressurgit dans son esprit et son instinct désormais maître de cette âme et de ce corps, lui indiqua de tout redécouvrir, qu'il fallait aller de l'avant et ne pas se laisser tuer par les sensations nouvelles liées à sa mortalité nouvelle : faim, soif, sommeil... Vieillesse...

Alors, il se leva, accrocha le masque de son ancien maître autour de sa taille mais l'image de la femme ressurgit en lui. Son instinct lui indiqua qu'il lui faudrait aussi rédécouvrir cela ou plutôt celle-la. Qui était-elle ? Il regarda autour de lui, trouva de la nourriture mortelle et la mangea. Puis, le visage toujours vide d'émotions mais l'estomac plein, il fit demi-tour enjambant les corps qu'il avait tué plus tôt et s'en alla vers sa vie de mortel sans s'en retourner.

Ce fut, une fois encore, comme toujours son instinct qui lui appris à survivre. Il parlait peu mais rencontra un homme qui lui donna un nom, lui réveilla quelques pensées et lui enseigna quelques rudiments de cette vie nouvelle. Ils marchèrent ensemble quelques temps. Dahad décida de partir de son côté et de devenir mercenaire pour pouvoir mieux accommplis ses objectifs. Son ami le suivit également. Jusqu'au jour où Dahad le tua suite à une clause du contrat. Il n'avait ressenti aucune émotion, comme toujours. Il se demanda alors qui il était. Etait-il humain ?

Il rangea alors son épée dans son fourreau et repartit alors sur son chemin, une nouvelle question s'ajoutant aux autres...

Comportement : Enigmatique pour les autres : Dahad sembla parfois inspiré d'une grande sagesse et donner l'impression qu'il a parcouru le monde et vu tout ce qu'il était possible devoir comme parfois il donne l'impression que ce n'est qu'un enfant qui vient de naitre dans un corps d'adulte.

Dahad réagit beaucoup à l'instinct bien qu'il commence de plus en plus, au fur et à mesure de son appretissage dans cette nouvelle vie, à réfléchir.

Il garde généralement un visage de marbre et aucune émotion ne transperce ce masque, à peine quelques sensations de temps à autre...

Autre : pour ses prénoms, prononcez les -h aspirés comme à l'anglaise ^^ mais celui du nom ne se prononce pas

(fiche un)

Nom : De Fontainebleau
Prénom principal: Arnaud
Prénoms secondaires : Luc Hector André Gabriel Oreste Michel Ezechiel

Age : 17 ans
Classe : Sixième année à cause d'abscences répétitives
Nationalité Francaise

Classe Sociale : Fait partie de la noblesse francaise
Titre : Marquis de Bretagne et Comte de Fontainebleau

Physique : avantageux
-Couleur des yeux : bleu roi avec des poussières d'or
-Couleur des cheveux : longs cheveux blonds souvent serrés à la racine par un ruban de soie
-Couleur de la peau : blanche
-Mensuration idéale
-Taille 1.75 m, 1.80 m
-Signe particulier : peut etre confondu avec Adonis et Don Juan

Costume habituel : Peut importe pourvu que ce soit classe.Il porte quand même des costumes de style assez ancien comme ceux de la de la noblesse lors de la seconde moitié du XVIIIème siècle. Ses vêtements sont soit faits sur mesure soit de grande marque !

Philosophie : Pour Arnaud la chose la plus importante de toute est l'honneur. Ensuite, il vient l'honneur. Et après, l'honneur. Cette philosophie se résume particulièrement dans cette phrase qu'il affectionne : "l'Honneur m'est plus cher que la vie" ou autrement dit : "La mort fors l'Honneur". Ensuite vient des valeurs comme le statut social qui comprend une myriade de valeurs, telles que l'amitié, l'Amour, les possessions terrestres ou la justice. Arnaud attache beaucoup d'importance au respect qu'on lui porte et au bonnes manières. Si l'un ou l'autre sont négligéés en sa présence un duel sera vite mis en place pour rétablir les droits de l'insulté.

Compétences: Arnaud est un duelliste hors pair. Il maitrise parfaitement quelques nobles arts de combats francais et moldus comme l'escrime et la savate et il est un homme de cheval accompli. Il affectionne particulièrement la fauconnerie. En magie, sa spécialité est la maîtrise de la baguette. Le problème est qu'il égare sans arrêt sa baguette. En recherchant sa baguette il s'égare lui-même beaucoup. Il en faut très peu pour qu'Arnaud ait les larmes aux yeux.

Arnaud maîtrise relativement bien l'anglais mais il a souvent tendance à parler en francais (hj : étant donné que nous jouons en francais et qu 'HP est en United Kingdom Arnaud parle donc le francais en anglais. Comprend qui peut)



HISTOIRE

A vous de le découvrir et de poser les bonnes questions!
Arnaud essaye d'être le plus discret possible sur certains points de son passé et certaines de ses relations. Mais il est plutôt fier du reste..

Sujet: WaÏmalo Heimala Mar 12 Sep - 20:46

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Bonjour, je voudrai postuler à un poste de professeur de la matière suivante : " Connaissance des êtres fantastiques et créatures magiques"

Je ne demande aucun salaire particulier et voici mon C.V.:



Citation:
Nom Heimala
Prénom Waïmalo
Surnom : Waï

Age : 32 ans

Nationalité : Tahitienne
Classe Social : Classe moyenne

Physique :
-Couleur des yeux marron
-Couleur des cheveux Noire
-Couleur de la peau : foncée
-Taille petite
-Signe particulier maigre toujours d'aspect maladif mais avec un visage très doux

Fringues habituelles :
Caractere : Une robe d'aspect très sobre
-Qualités très compréhensive et très pédagogique
-Défauts toujours malade n'a pas la conception du pulle over


Sort préféré : sorts de charme (qu'elle tient de sa mère)


HISTOIRE


Waïmalo a émigré de Tahiti en Angleterre où elle cherche un poste de professeur. Sa venue en Angleterre a aussi un autre objectif : elle est sous le charme d'un sort vaudou dont elle cherche à se débarrasser. Ce sort a été lancé par le sorcier de son village parce qu'étant petite, elle s'amusait à chasser les poules de ce sorcier.

Le sort envoyé est pas si puissant mais plutôt gênant : dans les pays chaud, elle souffre d'insolations continuelles et dans les pays froids, de rhummes.

Sa famille est une famille de classe moyenne de sorciers qui n'a rien d'exceptionnelle. Comme toutes les familles, il a eu un mélange entre sang purs et gens normaux. Son père travaille en tant que pêcheur et sa mère fait des spectacles pour les touristes (elle obtient plus de pourboires en lancant continuellement des sorts de charmes sur ses clients)

Avant de venir en Angletterre, elle a économisé pour s'acheter son billet en travaillant dans une entreprise qui fabriquait des climatisations en tant que testeuse professionnelle.

Elle est souvent accompagnée d'un petit singe qu'elle a sauvé quand elle était plus jeune

Nom : Jahrawal
- Prénom: John
- Age en HJ : 20 ans
- Age du personnage : 11 ans
- Comment avez vous connu le forum? Par top site

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John se pétrifia sur place.

*Un oiseau ? Comment est ce qu'un oiseau peut-il sortir de la maison ?*

Il ne s'agissait pas d'un petit oiseau, non, pas d'un moineau ou d'un pigeon dont il pouvait supporter la vue. Il s'agissait d'une énorme bestiole pleine de plumes. Elle était sortie par la fenêtre du salon alors que le petit garçon rentrait de l'école et il se trouvait tétanisé sur le trottoir d'en face, n'osant plus bouger par crainte qu'il y eu des restes de cette horreur dans la maison. Quels que pouvaient être ces restes, quels que pouvaient être cette rencontre. Mais, à ce moment là, la porte s'ouvrit et le père de John lui fit signe de rentrer. John traversa la route en courrant et en demandant d'une voix effrayée pourquoi il y avait eu un oiseau dans la maison. Son père lui fit signe de monter dans sa chambre et le suivit. Lorsqu'il eut refermé la porte, il se retourna vers le garçon et d'une voix claire, commença :

"Justement, Johnny, il va falloir que tu t'y habitue. Là, où tu va aller l'année prochaine, il y aura plein d'oiseaux. Il sera temps d'abandonner cette phobie ridicule.
- Papa, qu'est ce qui te prend ? Y a pas d'oiseaux à St Georges : c'est en pleine ville !
-Tu ne vas plus à St Georges. Tu vas aller à Poudlard, fils. C'est une très bonne école de sorcier, tu y seras très bien.
- De sorciers ? Tu veux dire de presdigida, de prestigida, 'fin, de magiciens ?
- Non, de sorciers. Comme dans les contes : avec des baguettes et des potions. Ni ta soeur ni te mère ne sont au courant mais j'en suis un et toi aussi, tu en es un. Tu iras dans cette école.
- Mais papa ! T'as fumé quoi, là ?
- Ca suffit, John ! Ta mère est d'accord tu iras là bas !
- Mais j'veux PAS ! Je veux aller à St Georges ! Et comment elle est courant si elle sait pas qu't'es un sorcier ? Et si jamais je lui disais ce que tu viens de me dire ? Si tu m'envoie dans c'tte école, je lui dit. A elle et puis à Judith et puis à tout le quartier ! Et au monde entier ! Même les aliens ! Tout le monde saura !"

explosa t-il. Mais ce fut à ce moment, que son père se figea, que la porte s'ouvrit sans un bruit et sa mère apparut. John, surpris de la voir, se calma un peu. Elle vint vers lui et s'accroupi en l'entourant de ses bras et en lui murmurant à l'oreille :

"Mon poussin, tu seras très bien dans cette école. Tu pourras y avoir un très bon diplôme et tu...
-M'man, si jamais tu le laisses m'envoyer là-bas, je bosserais pas. Comme ça, je me ferais virer et vous serez obligé de m'inscrire à St George !"

Mais, à onze ans, les protestations d'un enfant ne changèrent pas grand chose. L'été passa, des courses qui lui semblaient aberrantes furent faites et un train hors d'âge, comme on n'en trouvait plus que dans les musées, actionna lentement pistons, bielles et manivelles pour l'emmener vers un ailleurs lointain et qu'il détestait déjà. Il n'était pas difficile de détester les conversations plus ou moins timides, plus ou moins enjouées qui régnaient dans ce wagon sur bondé dans lequel son père l'avait mis.

C'est ainsi que, boudeur, les bras et les jambes croisés, il répondait du bout des lèvres aux questions des autres enfants de onze ans, excités et joyeux qui voulaient "jouer" à la magie. Les questions se posaient aléatoirement et les réponses fusaient sans ordre et avec anarchie :

"Moi, mes parents ils sont tous les deux sorciers et toi ? posa une petite fille avec des couettes
- Moi aussi, répondit un garçonnet avec des lunettes,
- Y a que mon père, répondit John, qui se demanda pourquoi il répondait, pour tromper l'ennui sûrement.
- Oh t'es à moitié moldu alors. Répondit la fillette
- Je te permets pas de m'insulter.
- Et tu viens de quel pays au fait ?
- Du Royaume Uni !" répondit-il du tac au tac en se redressant vers elle et en lui tendant un doigt vengeur, "Ecoute moi bien, espèce de sale petite blanche raciste, c'est pas parce que j'ai des origines indiennes que je viens d'un autre pays ! 'Pis de toute façon, je me casse, vous craignez trop !"

Aussitôt annoncé, aussitôt fait, John se leva, sortit du compartiment et alla s'asseoir dans le couloir en sortant sa game-boy, qu'il avait réussi à emmener à l'insu de son père. Bien qu'il appuya désespérément sur le bouton "On" aucun jeu ne s'afficha. Une voix surgit derrière lui, il se retourna en l'entendant :

"Ca marchera pas. On est trop proche du château maintenant.
- Je croyais qu'on allait dans une école.
- Ouh là ! Nous avons un petit première année pas très renseigné ici les gars !
- Ch'uis pas petit, d'abord, grande larve !
- Mais oui, mais oui. Tu comptes aller où ?
- J'aimerai aller à St George.
- Non, p'tit con ! Quelle maison ? Je parie que t'es un fils de moldu ! Tu sais même pas ça ? Mff, je te laisse réfléchir sur ton caractère ! Quant à moi, sois sur que je regarderai où tu seras ce soir. A bientôt, p'tit... "termina t-il en s'en allant et en faisant un petit signe de la main.
-Ouais, c'est ça ! Casse toi, abruti ! Mais c'est pas possible, ça ? Y'a pas moyen d'avoir la paix ici ?"

Cependant, John rangea son jeu dans sa poche, se retourna et appuya son front contre la vitre laissant le paysage défiler sous ses yeux alors qu'il se mit à réfléchir sur son caractère. Pourquoi sur son caractère ? Quel caractère il avait ? Il n'en savait rien, il n'aimait pas ces types, il n'avait pas envie de se mêler à eux, il voulait repartir à St Georges, là bas au moins, il savait qu'il pourrait devenir le meilleur pilote automobile de F1 au monde, il se fichait des sorciers et de leur magie. Son caractère. C'était quoi un caractère ? Il se souvint des paroles maternelles : 'Tu es vraiment trop colérique, John.' Oui, il s'énervait facilement. Et sinon ?

Des éclats de voix l'interrompirent dans ses pensées. Surpris et curieux, il alla voir avant de faire demi tour immédiatement. Il n'avait plus envie et il avait vu quelque chose de plus intéressant. Une fille ouvrait une boite de chocolat. Il alla la voir et lui demanda ce qu'elle voulait pour qu'elle lui en donne. Un âpre marchandage et un bisou plus tard, il engouffra le chocolat en sortant du compartiment et en se dirigeant vers la sortie, le train arrivant en gare.

L'épisode des barques lui fut assez difficile : essayant de choisir avec qui il allait se mettre à force de s'éloigner, il tomba dans le clan des losers qui caquetaient avec force d'imagination à propos de la magie et de tout ce qu'ils pourraient faire avec. Devant tant de niaiseries, la traversée lui sembla une éternité et il sauta à terre avec le plus soulagement, autant de pouvoir s'éloigner rapidement des mioches mais aussi de ne pas être tombé à l'eau.

Une vieille cruche leur souhaita bienvenue et John s'amusa à trouver des rimes amusantes pendant qu'elle leur fit son petit laïus. Ils déambulèrent dans les couloirs et les escaliers, perturbant son sens de l'orientation moyennement efficace à l'ordinaire. Ils entrèrent dans une salle immense et ils écoutèrent un vieux tas de chiffon déclamer une chansonnette de son invention. Ainsi donc, il fallait mettre ce truc sur sa tête pour savoir où aller ? Il lui demanderait d'aller à St George, si ce machin était magique, il crierait au monde entier qu'il fallait qu'il aille à St George.

Lorsqu'on lui posa le couvre chef sur sa tête, John eut étrangement deux pensées simultanées : St George et un shampoing.

Nom officiel : Sato
Prénom officiel : Jun Ichikarô

Nom usuel : Bàndăo
Prénom usuel : Cháoxiăn

Age : 27 ans

Origines : Pays de l'acier et village de Kiri

Grade souhaité: A vous de voir. J’en ai vraiment strictement rien à faire.

Physique :
Cheveux : Cháoxiăn a des cheveux châtains coupés mi long. ceux ci étant dégradés certaines mèches lui tombent au niveau des yeux alors qu'ailleurs, ils arrivent à la base du cou. Ses cheveux sont un peu raides, ce qui fait que quel que soit le nombre de coup de peigne ou de pots de gel dépensés, ses cheveux restent un peu emmêlés. Il lui arrive dans quelque missions d'infiltration de devoir changer de coiffure -voire même mettre un postiche- mais il déteste alors qu'on lui fasse une quelconque remarque et celui qui oserait lui faire un commentairea intérêt d’avoir précédemment annoncé à sa famille de se renseigner sur le prix des cierges.

Yeux : Du fait de ses origines, ses yeux ne sont pas bridés. Ceux ci ont une forme en amande. L'oeil droit est gris alors que l'oeil gauche est rouge. Il s'agit en fait non pas d'un quelconque malédiction ou d'un héritage génétique mais d'un accident tout à fait stupide : Alors qu'il travaillait à assortir de nouveaux poisons et acides, il a cogné un extracteur de Soxhlet et celui ci est tombé en se brisant. Il a recu du liquide dans l'oeil gauche et s'est réveillé à l'hôpital. Les médecins de Kiri avait réussi à lui sauver l'oeil mais pas la pigmentation. Au final, il trouve que ca donne un air tout à fait particulier, assez déstabilisant et apprécie. Néanmoins, il ne manque pas d'avoir sur lui ou dans sa chambre des lentilles de couleurs pour être plus discret quand c'est nécessaire.

Une chose particulière : il ne cligne jamais des paupières. Il a toujours les yeux ouverts sauf pour dormir. Du fait qu’il ne cligne jamais des paupières, ses yeux sont toujours plus ou moins larmoyant qui donne l’impression qu’il est toujours sur le point de pleurer. Du fait de la diffraction de la lumière, ces larmes mettent en valeur la couleur de ses iris.

Peau : Sa peau est plus claire et rosée que la plupart de ses compatriotes sans être tout à fait extravagante non plus. Ce n'est pas extraordinaire, cependant on voit dès le premier coup d'oeil qu'il est d'origine étrangère. Il n’a aucune scarification ou tatouage d’aucune sorte. Il se garde de faire quoi que ce soit d’autre pour deux raisons.

La première est qu’il est suffisamment différent originellement par son occidentalisme pour ne pas en rajouter (ce qui montre une partie de sa personnalité : il est fier de cet occidentalisme mais ne sent pas tout à fait à l’aise avec). est qu’il a suffisament de cicatrices ). Secundo, cela serait gênant pour les missions d’infiltration. Un type qui a la moitié du visage recouvert par un tatouage tribal ou haka est un tant soit peu plus reconnaissable qu’un lambda quelconque.

De plus, son visage est déjà suffisamment marqué comme ça. Il porte déjà de nombreuses cicatrices dûes à l'entraînement ou aux missions. Parfois pour être plus discret et moins reconnaissable, il maquille ses cicatrices. Il n'aime pas trop se barioler le visage ainsi, mais il avoue lui même que ca efffraie moins les filles.

Nez : Droit mais avec un peu d’attention, vous verrez que l’arrête est un peu tordue à un endroit, vers le haut à la hauteur du bas des yeux. En fait, un coup de poing malencontreux lui a cassé le nez à un endroit. Cháoxiăn l’a gardé tordu jusqu’à ce qu’un autre coup de poing le lui recasse au même endroit. Désormais son nez est presque de retour à la normale mais maintenant, il saigne très facilement du nez. Il suffit d’un choc sur la joue ou même d’un éternuement violent et il saigne.

Dentition : Il lui manque une dent. Cependant, cela ne se voit pas. Non seulement, celle-ci se trouve ou plutôt se trouvait dans le fond (c’est une prémolaire) mais aussi, il a demandé à un dentiste de lui en faire une fausse, c’était trop douloureux en mangeant sinon (vous avez déjà essayé de mâcher un steak sur les gencives ?). Il en a profité pour la remplir d’un poison violent contre lequel il s’est immunisé au fur et à mesure en avalant de doses de plus en plus fortes. Cela lui a valut de nombreux maux de tête et nausées et vomissement pendant plus de deux ans mais le résultat en a valu la peine.

Stature : A 27 ans, c’est la pleine force de l’âge. Cháoxiăn est un homme musclé et athlétique. Large d’épaule, il peut imposer facilement le respect a pas mal de kiriens qui sont souvent plus frêles que lui. Surtout un point important, il est… grand. Un mètre 93. Or qui dit grande taille dit grandes jambes, grands poumons et gros poings. Il court assez vite et a une capacité pulmonaire assez incroyable : le médecin n’a pas voulu croire ses tests au spiromètre et il a du le passer deux fois de suite avant de l’accepter. S’il est assez baraqué, sa force est plutôt moyenne. Il a préféré laisser de côté les exercices isocinétiques afin de développer sa vitesse. Cháoxiăn se tient habituellement droit c'est-à-dire pas comme un I ce qui diminue sa taille de quelque précieux centimètres.

Personnalité/caractère : En un mot ? Pertubé. Il ne sait pas où est sa place : est–il plus descendant du pays de l'acier que de Kiri ? Il aime son pays natal comme il le déteste, il est attiré par lui et se sent en même temps rejeté. Il rêve d'aller au pays de l'acier mais n’ose pas. Soit disant pour différentes raisons de job et autre mais inconsciemment c’est une peur de briser le rêve échafaudé de l’Eden acierois et de quitter le pays de son enfance. Le mélange des deux cultures n’a pas été enrichissant pour lui et ne lui a créé qu’un complexe d’identité. Ainsi, il aime bien la compagnie discuter avec d’autres personnes tant que ça ne dure pas trop longtemps : en effet, au bout d’un moment, il se sent mal à l’aise et préfère s’isoler. Voire nager un bon coup et se faire une bonne bouffe. Manger un requin ça vous requinque un homme en moins de deux. Il n’y a pas mieux ! Sauf les femmes et le saké.

Parlons en des femmes ! Pas plus fou qu’un autre (enfin dans certaines mesures) Cháoxiăn apprécie tout particulièrement ce sport de chambre. Et si son physique repousse parfois quelques une de ces dames, un grand homme de son pays avait bien dit : « La beauté pour les hommes ça ne fait jamais que gagner quinze jours » (Talleyrand) adage vérifié. De toute façon, cela présente aussi un certain exotisme qui attire bien des femmes recherchant de nouvelles expériences. Cháoxiăn les apprécie tout particulièrement surtout quand cette manne se présente par grappe de deux ou trois représentantes. Le matin, on le retrouve généralement éreinté mais heureux.

Toujours dans ce complexe de place, Cháoxiăn dévoilera très peu de sa nature et se montre d’ailleurs particulièrement hypocrite : il ne vous dira jamais « non » mais vous devrez comprendre par vous-même que vous pourrez toujours aller vous brosser. Vous pourrez beaucoup discuter avec lui sans apprendre grand-chose de significatif sur sa vie privée. Oh, bien sur, il ne répugnera absolument pas à raconter des anecdotes diverses et variées mais les sujets importants seront passés à la trappe avec plus ou moins de bonne volonté et d’habileté. Il est d’ailleurs assez chatouilleux sur certains points comme, par exemple, son père.

Ce père qui est un autre de ses complexes. Forcément, quand vous lirez l’histoire vous en comprendrez un peu plus. Ce père donc haï mais aussi aimé. Une relation fort conflictuelle dans laquelle il est allé trop loin et n’aura pas interêt à regretter plus tard. Mais qui vous a dit qu’il le regrettait ? Cháoxiăn est toujours heureux de cet acte et si c’était à le refaire il le referait en lui fracassant un peu plus la tronche au passage. Avec le recul, la seule chose qui regrette c’est d’avoir été trop gentil. Généralement donc dans ces moments là, il va retrouver son père qui passe un plutôt sale quart d’heure.

Qu’est ce que Cháoxiăn pense des règlements, de l’honneur et des bons sentiments ? Très franchement, il s’en balance totalement comme pas mal d’autre choses. Pire que de l’indifférence. Un blasé total. Pour les règlements, il agit comme s’il n’en avait pas conscience. Or, il les connaît très bien car il est parfois capable d’aller jusqu’à réciter certains articles. Mais les règlements et « les lois se violent sans qu’elles ne crient » (un autre de talleyrand)

L’honneur de Ninjas ? « Si tu veux mon gars mais va te faire tuer sans moi. » (ça c’est de Cháoxiăn) En effet, du fait qu’il est totalement incapable de faire des ninjutsus et autre machins ninjas demandant du chakra, il a développé un sens du combat et de la survie très particulier. Certains appelleraient cela de la ruse, d’autres de la couardise (ceux là ont intérêt à avoir réservé une chambre à l’hôpital si jamais il l’entend de votre bouche) mais lui se contenterait de sourire sadiquement en essuyant le sang de l’ennemi qui orne sa lame. Ou bien de remplir son sac de poison. Il est capable d’une très grande patience pour atteindre ses objectifs. Il aime à préparer méticuleusement ses plans et à les suivre scrupuleusement par la suite. Il n’apprécie que très peu l’imprévu et les empêchements de dernière minute. Cela le désappointe particulièrement et il vaut mieux éviter de le désappointer. Il pourrait vous inviter à essayer une nouvelle technique de torture.

Il est capable de mener des hommes sans aucun problème. Il n’est pas forcément celui qui décidera le mieux –s'il manque un peu de recul, il peut toujours faire des erreurs- mais celui qui convaincra le mieux les autres de lui obéir. De toute façon, c’est soit ça soit un petit séjour chez lui. Et il vaut mieux éviter. Par contre, sachez le convaincre et vous en aurez un sous fifre parfait. Il se contrefout également de toutes ses histoires de trahisons et aller voir d’autres horizons ne lui fait pas peur tant qu’il ne s’agit pas d’aller au pays de l'acier. Il suffit juste de trouver LE truc qui pourrait l’interresser. Et c’est là le point difficile : il n’a aucune ambition et aucun but. Un blasé total. Il est indifférent et vit très bien sa vie comme ça, merci. Il ne s’intéresse pas à l’argent ni à la gloire, les femmes il en a autant qu’il en veut (quitte à violer des ninjanettes adverses) et le pouvoir, son métier lui donne les moyens d’apaiser les seuls soifs de pouvoir qui le dérange : le pouvoir de mort, de souffrance et de contrôle sur autrui. Etre ninja et sadique est fort compatible. Une fois que vous aurez trouvé ce truc, il vous suivra bien entendu. Jusqu’à ce qu’il se lasse ou que quelqu’un d’autre lui propose une autre chose plus interressante.


Qualités: Méticuleux. Précis dans son travail. Il n'est pas stupide et fait marcher sa tête avant ses poings. Il est assez érudit.

Défauts : Incapable d’être vigilant quand il dort (il a le sommeil extrêmement profond.) Incapable de s’endormir seul quand il n’est pas dans un lieu hyper familier comme sa chambre. Mais Cháoxiăn est bourré d'autres défauts. Entre autres : le sadisme, ses complexes, son indifférence majeure au monde qui l’entoure...

Peur: Peur du noir. Quand il ne peut se repérer dans l’espace. L'isolation sensorielle est en conséquence l'une des pires choses qu'on peut lui soumettre. Il devient « fou », violent capable des pires atrocités : quand le rat ne peut fuir face au chat, il attaque. Sauf lorsqu’il est dans sa chambre, il est incapable de s’endormir seul dans une pièce, cela le terrifie. Cette peur du noir est une des conséquences de son complexe d’identité et des actions de son père.

[ à suivre cela ne tenait pas sur un seul message]

~~ L'histoire ~~

L'histoire de Cháoxiăn est indissociable de l'histoire de ses parents. L'histoire de ses parents a fait son histoire et il a fait l'histoire de ses parents. C'est une histoire comme on en voit partout, une histoire d'amour et une histoire de haine...

Une histoire qui commence il y a bien longtemps. Une histoire qui commence par une histoire d'argent et de pouvoir. Il y avait aussi deux pays. L'un envoya sur le territoire de l'autre une délégation : un ambassadeur et sa fille Pyu-ok qui venait l'accompagner. Mais comme toute délégation le but de cette visite n'était pas anodin. Il venait pour traiter une grosse affaire, et des intérêts intérieurs au pays n'étaient pas d'accord. Et le moyen classique pour régler ce genre de conflit fut ici aussi employé.

Des tueurs furent envoyés. Des ninjas. Heureusement pour notre histoire, la délégation était accompagnée par une garde. La première attaque fut repoussée mais les pertes furent élevées. L'ambassadeur mandat d'autres ninjas. On ne peut combattre le mal que par le mal et les ninjas se combattent très bien entre eux. Ainsi donc une autre bataille arriva. Ninjas de Konoha contre ninjas de Kiri. La mission fut à moitié accomplie aussi bien pour chaque camp. L'ambassadeur mourut mais sa fille survécut ainsi que quelques autres. Ils furent emmenés en lieu sur.

Alors que les discussions diplomatiques allaient bon train entre les deux pays, l'un des ninjas que mandés par l’ambassadeur s'occupa de Pyu-ok, la soigna, resta près d'elle. Au fil des jours, à force de rester l'un près de l'autre, l'amitié naquit. Et de l'amitié, l'amour. La jeune fille refusa de repartir dans son pays lointain, le pays de l'acier et décida de rester auprès de celui qu'elle aimait. De retour dans le village caché, ils se marièrent.

Une nouvelle vit commença pour la jeune fille. Seule, dans ce pays inconnu, tout lui semblait étrange. Les habitudes, la culture, la langue. Mais qu'importe la langue, quand on aime ? L'amour n'a pas de frontières dit-on. C'est ainsi que quelque mois après, elle tomba enceinte.

Le bonheur des deux parents fut palpable lorsque naquit ce petit garçon si adorable. Bien sûr, on voyait tout de suite qu'il tenait plus de la branche maternelle que paternelle. Ses yeux n'étaient pas bridés. Il serait beaucoup plus grand que la majorité des habitants du pays de l'eau. Il fut nommé Jun Ichakarô. Jun Ichikaro Sato, fils des Sato, descendants des Sato. La famille des Sato était ninja de père en fils et de mère en fille. L'avenir du fils était donc tout tracé : malgré ses origines occidentales, il serait ninja lui aussi.

Son père commença très tôt l'entraînement. Il désirait que son fils soit fort aussi bien pour honorer la famille que pour qu'il puisse rester en vie. Les entraînements succédaient aux entraînements et entre ceux-ci le Jun allait chercher un peu de réconfort auprès de sa mère. Il apprenait la langue de son pays avec elle, apprenait les histoires de son pays, apprenait à rêver. Ce fut elle qui commença à l’appeler affectueusement Cháoxian.

Cependant, au fur et à mesure que Jun grandissait, il se trouva qu'il ne maîtrisait pas du tout la malaxage de chakra. Sans aucun doute, puisque sa mère venait en partie du pays de l'acier. C'était un pays aux technologies importantes mais les prédispositions des habitants à être Shinobi étaient quasiment nulles. Jun n'aurait jamais la capacité de réaliser des jutsus. Son père était déçu mais celui-ci ne désespéra pas et décida de lui apprendre toutes les autres techniques de combats au corps à corps, à mains nues ou avec des armes, et l'art des poisons. Histoire qu’il ne se fasse pas tuer aussi facilement que tout un chacun.

Cependant, les entraînements étaient excessivement durs. Ce père aimant poussait son fils à travailler de plus en plus dur afin qu'il puisse se débrouiller seul, afin qu'il puisse survivre même sans tout pouvoir maîtriser. Lorsque Jun ne réussissait un exercice, il devait recommencer encore et encore jusqu'à ce qu'il arrive -comme beaucoup d'autres enfants ninjas d'ailleurs. Mais Jun n'avait pas le caractère qu'il fallait. Comme beaucoup d'autres gens, comme la totalité du reste du village, il prenait la dureté de son père pour de la haine. Quel père frapperait son petit garçon jusqu'à ce qu'il s'évanouisse ? Quel père prendrait aussi peu soin du confort de son enfant ?

Quel père protégerait tant son enfant qu'il irait jusqu'à lui faire faire des exercices cruels ? En effet, pour l'endurcir, il aimait le confronter à ses peurs. À sa peur. Comme tout petit garçon, comme tout petit enfant, Jun avait peur du noir. Pour le départir de cette peur, il ne fit pas ce que les autres parents faisaient tous : il n'attendit pas que son enfant grandisse. Il l'emmena dans les tunnels sombres des tréfonds des falaises près de la mer qui longeait le village. Il l'emmena avec une lampe et reparti aussi avec. Il laissa le petit garçon seul sans lumière.

Lorsqu'il revint quelques heures plus tard, il trouvera son fils complètement tétanisé. Un fils qui désormais le haïssait au plus haut point. Cependant, le père ne terminait pas de comprendre son erreur il essaya encore et encore de recommencer cette expérience. Mais chaque fois, Jun s'arrangeait pour prendre des lucioles, en cachait plein ses poches et il s'amusait à déambuler dans les boyaux désormais éclairés de la montagne. Il en vint à connaître tous les recoins et à même découvrir les salles cachées et oubliées depuis bien longtemps, depuis leur construction, depuis la mort de leur constructeur.

Comme il grandissait un peu et que son père devait travailler pour de plus longues durées lorsqu'il était en mission, Jun alla au-dehors, essaya de se faire des amis, essayait de jouer avec d'autres enfants de son âge. Mais à cause son physique d'acierois, à cause de sa taille plus grande que la normale, de sa carrure plus imposante et de sa peau plus claire il n'arrivait pas à trouver sa place. Même s'il se faisait des amis, il se sentait comme un intrus. Alors, il aimait à revenir près de sa mère et écouter dans cette langue familière et inconnue des autres, des contes si merveilleux, des histoires de là-bas.

Puis, il entra à l'académie. Là, ne survenait que frustrations, découragement et abattement. Aux moqueries sur son physique se succédaient les moqueries sur son incapacité à acquérir les talents de vrai ninja. Et lorsqu'il revenait, son père se trouvait la, pour continuer l'entraînement. Malgré tout, après un examen raté et quelques cicatrices gagnées, il réussit à devenir gennin, à la surprise de tout le monde et au bonheur de son père.

Ainsi, il se retrouva dans une équipe avec deux autres filles qui se trouvaient toutes deux être plus fortes que lui. Comble de malchance, leur professeur était son père. Tétanisé par la peur et la haine de son paternel, Jun allait d'échec en échec. Même les plus missions les plus simples échouaient lorsqu'il était mis en présence de celles-ci. Ou lorsqu'elle réussissaient, ce n'était pas grâce lui. Un jour cependant, une mission devait changer la personnalité et le caractère de ce petit garçon faible et peureux.

La mission était pourtant simple au départ. Mais un contre ordre survint et le professeur dû partir et laisser l'accomplir seuls. Autant les petites filles étaient ravies, autant Jun était tétanisé. Jamais ils ne réussiraient cette mission et pour une fois il eut tort mais cela ne se vit pas tout de suite. Alors qu'ils accomplissaient ce qu'ils allaient faire, des ninjas de konoha les attaquèrent et les capturèrent. Ils furent enfermés dans une cave glauque et sombre. Les autres ninjas les interrogèrent un à un en terminant par Jun. Bien entendu lorsqu’ils voulurent le ramener dans la cellule, il paniqua complètement. Ce qui se passa ensuite fut flou mais pourtant distinct. Il ne se souvint pas vraiment des gestes. Mais des sensations. La peur d’abord. Une peur intense, paralysante qui vous prend par les tripes jusqu’à ce que votre cerveau voit qu’il y a une chance de s’échapper. Jun se débattit, il réussit par une violence décuplée par la peur à reprendre la liberté d’un bras. Il saisit un kunai de son adversaire, s’en empara et frappa ! La diversion avait réussi a faire échapper ses deux coéquipière qui maîtrisèrent le deuxième ninja. Elles furent atterrées en voyant Leopold frappant encore et encore ce cadavre, le martelant de millier de coups, de sa rage et de sa peur. Elles ne purent bouger, elles aussi tétanisées devant tant de violence.

Puis Jun sembla se calmer, les coups ralentirent pour s’arrêter enfin. Le souffle court, il se releva et se retourna doucement vers l’autre ninja prisonnier. Il s’approcha à pas lent de lui. Il s’arrêta derrière lui et l’attrapa par les cheveux avant de lui parler d’une voix terriblement calme et détachée :

“anata ha moeno kotoba wo hanashimasenka ?” (trad :tu as un dernier mot à dire ?)

Il avait parlé dans la langue de sa mère mais peu lui importait qu'il comprennent car peu lui importait la réponse. Il la connaissait. Il prit le kunai et l’égorgea comme un porc faisant gicler le sang au rythme des dernières pulsations du cœurs de l’agonisant. IlL connaissait la réponse. Il avait le pouvoir. Le pouvoir de tuer. Pour lui avait été élevé et dans les deux religions de son père et de sa mère, lui qui avait hésiter entre croire en un Dieu unique ou plusieurs sut soudain quoi choisir. Il était un Dieu lui-même. Il avait le pouvoir. Le pouvoir de retirer la vie s’il le voulait, le pouvoir de faire souffrir.

Il se retourna vers les fillettes atterrées et pointant le kunai ensanglanté vers elles ajouta :

« kore ga itsumo wo hanashimasen ga shimasu. » (trad ne parlez jamais de cela ou je vous tue)

Dès ce moment, Jun paru à tous plus distant, plus dur et plus froid. Il fallut l’arrêter au cours de plusieurs entraînements de combat à mains nues. Il lisait beaucoup plus dans la bibliothèque, élargit son savoir des poisons aux drogues, acides et autres substances chimiques dangereuse mais inexplosives. Il décida aussi d'apprendre d'autres techniques. Il arrêta de s'entraîner aux lancer avec des Kunais mais utilisait un lance pierre, arme bien plus puissante. Il commanda aussi des ouvrages traitant de cet art si lointain dont sa mère lui parla souvent : l’escrime. Il commanda une lame au forgeron du village et ce fut exactement ce qui lui donna : une lame. Une lame fine, large d'un pouce, d’un mètre de longueur dépourvu de manche celui-ci étant marqué par un simple épaulement. Une arme à la limite entre les armes traditionelles de l'eau et celle de l'acier. Il s’entraîna seul le plus souvent quand son père était en mission. Lorsqu’il se trouvait dans le village, il n’avait de cesse de l’entraîner encore et encore. L’un des grands exercices était que Jun devait combattre son père. Il n’y avait bien sur aucun risque pour lui : c’était un juunin confirmé et il n’avait rien à craindre de quelqu’un qui ne savait pas les moindre jutsus de base.

« Viens en voulant me tuer tu n’es pas assez bon sinon. De toute façon, jamais tu ne pourras me toucher Jun. Un fils ne tue pas son père. »

Ce fut là son erreur : la confiance. Il avait sous estimé la haine que le portait son fils. Alors qu’il n’avait qu’une quinzaine d’années, Jun vint un jour à l’entrainement munie de cette lame qu’il avait fait faire. Ce jour là, elle luisait faiblement d’une substance verte, humide et visqueuse. Alors que son père voulu commencer de nouveau cet exercice et qu’il se mit en position. Jun ne bougea pas. Il ne bougea pas pendant de lingues secondes. Son père, surpris, arrêta sa garde. Jun posa alors la lame par terre, se mit à genoux et posa le front sur le sol en disant :

« Père. Un fils ne tue pas son père.
- Relève-toi, Jun et arrête cette mascarade !
-bien père. »

Alors au lieu de se relever normalement, il resta à genoux, releva juste les yeux et au moment où son père clignait des yeux, saisit son épée et d’un mouvement circulaire entailla la peau de celui ci. Celui-ci riposta en envoyant un jutsu. En roulant sur l’épaule, Jun esquiva cette attaque. Pour une fois, ce n’est plus lui qui attaquait et son père qui repoussait. Jun se contentait d’esquiver encore et encore et encore les attaques de son père. Mais alors que le jeune garçon ne disait toujours pas un mot, qu’il continuait à esquiver les attaques de son père, celui devenait de plus en plus affaibli ses mouvements se faisait plus lents puis à la fin, il s’écroula.

Jun Ichikarô Sato s’approcha de ce père honni et commença à le trainer hors de la maison. Puis a partir de la maison hors du village jusqu’aux falaises. Bien que ce fut long, il n’y eut aucun problème : les gardes de ronde à ce moment là se trouvaient à l’opposé de la marche du garçon. Parfaitement selon le plan prévu. Alors qu’ils arrivèrent près des falaises, Jun sorti une lampe de sa poche et entraîna son père jusque dans une cache qu’il avait découverte.

Alors qu’ils arrivèrent, le juunin commença à émerger de sa torpeur. Jun sortit une gourde de son blouson de gennin et lui fit boire le contenu. Il parla alors : « Père, un fils ne tue pas son père et vous ne mourrez donc pas de ma main. Vous mourrez de vieillesse dans cette cellule. Je vous apporterai à manger. N’essayez pas de sortir, cela ne s’ouvre que de l’extérieur, n’essayez pas de mettre fin à vos jours, je saurais comment vous maintenir en vie. N’essayez pas de m’attaquer non plus car vous n’aurez plus jamais l’esprit clair. Vous passerez le reste de votre vie en délirant et en ressassant votre échec. »

[histoire suite]

Son père disparu ainsi de la circulation, personne ne sut pourquoi et les enquêtes ne menèrent à rien. Ce fut à partir de ce moment là que Jun ne cligna plus jamais des yeux. Jun Ichikaro Sato annonça publiquement qu’il était persuadé que son père avait fui et déclara également qu’il se ferait désormais appeler Cháoxian Bàndao, qu’il reprendrait le nom de sa mère. Il s’arrangea également avec les autorités pour prendre le contrôle des affaires familiales notamment le compte en banque familial. L’argument fut simple : sa mère ne connaissait pas un mot de la langue. Il se retrouva finalement à la tête d’une petite fortune économisée à force de missions par son père.

Cháoxiăn vendit la maison familiale pour acheter un appartement en pleine ville. Il emmena sa mère avec lui et tous les deux ou trois jours allait voir son père pour lui donner à manger et le droguer. Il prit des missions s’arrangeant pour donner une autre drogue à son père. Au fur et à mesure, lui qui était déja un bon connaisseur en drogues et poisons divers devint un expert. Il l’utilisait comme une de ses armes au cours des missions. Il se trouva qu’une fois son père disparu, presque toutes les missions qui lui furent confiées à lui et à son équipe furent menées à bien.

Il se trouva au final excellent pour les infiltrations puisque les ninja adverses ne s’attendaient pas à trouver en face d’eux un type qui ne maîtrisait aucunement les jutsus. Un type impitoyable qui ne laissait aucune chance de survie et qui abattait ses ennemis avec un regard sadique dès qu’il le pouvait. Un jour, ils eurent besoin d’une information. Cháoxiăn décida de s’en occuper. Avec ses drogues et des méthodes plus persuasives, il obtint cet information. A dix sept ans, il avait torturé sa première personne et avec succès. Les filles qui l’accompagnèrent changèrent d’équipe car complètement terrifiées par Cháoxiăn. Lui s’en fichait un peu. Il découvrit juste le plaisir de faire du mal.

Et s’entraîna sur son père.

C’était il y a dix ans. Que se passa t-il durant ces dix années ? Rien que de la routine : Cháoxiăn était loin d’avoir de l’ambition, il réalisait son métier et ses pulsions comme il lui plaisait. Il allait aux examens que ses supérieurs lui demandait et réalisait les missions qu’il devait faire. Il vivait sa vie comme bon lui semblait et se laissait porter par elle.


[nb : je n’ai pas pu être plus précis étant donné que j’ignore le grade que vous voulez me donner ]

~~~~ L'habitat ~~~~

Dès qu’il eut possession du patrimoine familial, Cháoxiăn vendit la maison pour aller s’installer avec sa mère en plein centre ville. Elle gère la propreté de l’appartement et vit un peu recluse chez elle. Un des pièces de l'appartement est une chambre pour Cháoxiăn. Cette chambre est assez spartiate, il n'y a qu'un lit, des étagères remplies de figurines de poules et une plante verte.

Ce qu’elle ignore c’est que son fils ne possède pas un appartement mais un duplex. Ce qu’elle croit être une porte de placard est en réalité une porte sur un escalier qui mène à l'étage du dessus. Il peut également y accéder par l'extérieur. Il appelle familièrement cet appartement son « laboratoire ». Bien qu'il dispose d'un coin pour inviter les gens qui lui plaise, il y fourbit surtout ses armes, retend son lance pierre, et prépare ses plans et ses drogues. C’est également là qu’il entrepose tous les livres sur son pays.

C'est aussi là qu'il "invite" certaines personnes qui l'aurait désappointé pour régler leur différents. Il est vrai que sa mère s'est toujours plainte des bruits que pouvait faire les voisins du dessus. Mais il est vrai que son fils ne peut jamais vérifier car cela se passe toujours lorsque Cháoxiăn est hors de leur petit appartement.

~~~~ Vos occupations ~~~~

Cháoxiăn a pas mal d’occupations. La majeure partie de son temps est consacré à son métier : ses missions, son entraînement, la lecture pour décourvrir de nouvelles choses et la préparation de ses missions. Pendant ses loisirs, il aime à discuter avec les peu d’amis qu’il a, à courir plus ou moins la gueuse et à méditer près de la mer ou à nager. Il aime également lire et manger de la pate de haricot rouge -son met préféré- Bien sur, une de ses occupations est de passer le temps avec son père, au détriment de celui-ci.

~~~~ Style vestimentaire~~~~

Leopold s’habille suivant les modes du pays de l'acier dès que possible. Et systématiquement de noir, c’est plus discret pour s’infiltrer. Il porte toujours des gants pour éviter de toucher aux poisons qu’il manipule. Habituellement, donc, il porte un pantalon de cuir noir, des bottes à boucle de métal argenté mat. Sur le torse, il porte à même la peau des pulls noirs à manches longues ou courtes et plus ou moins épais et chaud selon les saisons. Il est de notoriété publique que sa mère est une grande tricoteuse.

Lors de fêtes ou d’événement, il aime à ne pas porter de kimonos mais un smoking ivoire à ceinture rouge. Histoire de mettre en avant qu’il n’est pas tout à fait kirien.

~~~~ Autres ~~~~

Il parle souvent en acierois avec les autres ou tout seul. (nb, c'est le japonais que j'écris. ^^)


Il se bat avec une lame d'épée sans aucune garde. la différence entre la poignée et le manche est juste signalée par un épaulement. Pour les jets, il n’utilise pas de shurikens ou de kunais mais un lance pierre ce qui fait beaucoup rire les ignorants jusqu’à ce qu’ils s’aperçoivent de la force de puissance de cette arme sous estimée. Et surtout qu’ils le regrettent quand ils n’ont plus d’arme. Vous avez vu des endroits où il n’y a pas de cailloux, vous ?

Cháoxiăn est un fumeur. Mais un fumeur épisodique. En fait, il ne grille une cigarette que dans deux circonstances : soit il vient de passer un moment sportif avec une réprésentante du beau sexe, soit il toruture ou vient de torturer quelqu'un.

Une autre chose qu'il possède : Sa plante verte. Il l'a appellée Bidule Doodle. Il en prend très soin l'arrose et la taille avec passion. Il la rempote régulièrement , lui parle et la carresse. Il lui met de la musique en journée pour qu'elle pousse bien.

Enfin, un dernière passion. il adore collectionner les figurines de poule et en possède une collection impressionnante. A dire vrai dès qu'il en voit un, il ne peut s'empêcher de l'acheter. Il en a de toutes tailles et de toutes couleurs.

Nom: Lorenzo

Prénoms: Giovanni Antonio

Âge: 36 ans

Pouvoirs:

¤ Peut changer le taux d'alcool dans les liquides sans en changer le goût
¤ Ventriloquie avancée (peut modifier le timbre et la hauteur de sa voix et projeter les sons où il le désire)

Métier: Ministre de Dieu

Physique:

A la première seconde où on le voit, on ne peut se douter qu'il est au service de Dieu. En effet ses habits en ont la magnificence et sa stature en a la grandeur. Il se tient généralement droit et solennel. Il parait être ciselé dans du marbre. Il a en effet les traits fins d'une délicate sculpture antique et la couleur de sa peau et de ses cheveux sont les mêmes que le marbre blanc et noir. Sa beauté en a la froideur (ainsi que ses mains qui sont généralement glacées) mais les sourires qui passent sur son visage enchantent les âmes. Ses yeux ont la couleur du mercure. Il a des problèmes de dos et de vue à cause des longues soirées à veiller sur la bible aux lueurs des chadelles. Par ailleurs, il est assez musclé l'un de ses passe-temps lorsque ses loisirs le permettent étant la chasse dans sa généralité. Il est grand (un bon mètre quatre vingt trois) et n'oublie jamais de porter son anneau épiscopal en évidence.



Caractère:

Il ne faut pas oublier que Giovanni est têtu jusqu'à l'extrème. Ce qui, lorsque ses objectifs sont exhaucés, tient plutôt de la persévérance. Lorsqu'il se fixe un objectif, il mettra tout en oeuvre pour y parvenir. Absolument tout. Ce qui n'est pas peu dire au vu de ses deux objectifs actuels. On peut dire par là, qu'il est ambitieux. Il n'aurait pas été destiné à l'Eglise que l'idée de conquérir le monde aurait pu être sienne. Pour autant, Giovanni sait écouter les gens et est assez sociable même s'il peut impressionner certaines personnes. Son opinion des gens se forge vite et il est très dur de la faire changer. Il a également une forte notion de l'honneur et de la justice. Il possède une foi sans égale. Même s'il sait parfaitement faire la différence entre les affaires terrestres et célestes, même s'il s'écarte de temps à autres, assez régulièrement même, du droit chemin. Cependant, il a de nombreux points faibles, de secrets qu'il préfère ne pas trop révéler. Il est également parfois aisément manipulable. Il est assez lunatique et peut se montrer extrémement violent à un moment pour l'instant d'après être extrémement doux. Il est également souvent à la recherche d'un de ses objets qu'il a tendance à poser et oublier où il les as mis. S'il n'aime pas se préoccuper des détails il peut parfois être extrémement pointilleux, une broutille pouvant entrainer des conséquences effroyables et disproportionnées. Il a parfois tendance à jurer assez grossièrement.

Histoire:

Troisième fils d'une famille de haute noblesse, proches des Capulet, Giovanni Antonio Lorenzo, était donc destiné à la prêtrise. Son frère aîné étant le futur chef de famille, le cadet militaire. Giovanni a également quatre soeurs. La fratrie est très soudée et chacun s'encourage l'un l'autre. Il fallait dire que jusqu'à l'âge des douze ans de Giovanni les trois frères ont reçu la même éducation. A partir de cet âge là, Giovanni fut plus instruit dans la théologie, matières sur lesquelles ils se révéla excellent mais continua tout de même à apprend les rouages de la bonne société et les matières générales. A l'âge de quatorze ans, il entra au séminaire, deux ans avant les plus jeunes. Il avait été appuyé par le prêtre de la paroisse, amis de leur famille qui mentionna son grand talent et son intelligence dans la doctrine. Il effectua ses années un peu plus rapidement que les autres et en profita pour se spécialiser en théologie fondamentale. Au final, ayant appris plus de choses, il sortit a l'âge normal et obtint une prêtrise à Vérone et une amgnifique bible enluminée de par es proches ainsi qu'un crucifix d'argent richement ouvragé. Son haute naissance lui permit d'éviter les ordres mineurs et de commencer directement par les ordres majeurs.

Il prit ses fonctions au moment de l'Affaire. Arrivé vers la fin, il vit surtout la paix entre les deux familles. Il exerçait sa destinée avec enthousiasme et diligence. Les offices se succédaient sans aucun problème. Jusqu'à ce que, deux mois à peine après l'Affaire, une femme apparemment affolée arriva dans l'église en criant à l'envouté. Seul à ce moment là, Giovanni s'approcha d'elle et commença par la calmer. Elle lui expliqua qu'elle avait vu un envouté dans les catacombes de la ville. Armé d'un crucifix et d'un missel, le prêtre la suivit jusque là-bas, se demandant dans le même temps ce qu'elle y faisait. Dans les ténèbres seulement éclairées de temps à autres par des torches, Giovanni vit à un moment un groupe de personnes penchées sur une autre. Il pensa un court instant que cette dernière était l'ensorcelée mais il remarqua alors que le groupe ne semblait pas le plaquer au sol mais faire autre chose qu'il n'aut pas le temps de comprendre.

Il se sentit alors saisi par des mains puissantes. Il tourna le regard vers la fille qui l'avait menée là. Celle-ci sourit d'un sourire étrange : ses deux canines semblaient briller dans l'obscurité. Sa tête fut tiré en arrière , exposant son cou et le jeune prêtre, trop effrayé, n'eut pas l'idée de faire quoi que ce soit. Il vit des gens s'approcher de lui et persuadé qu'il allait bientôt rejoindre l'Eternel, il se mit à penser à Dieu et à l'au delà. Puis une grande lumière apparut. Une fois que l'éblouissement se termina, il se retrouva seul genoux à terre et entouré de tas de cendre. Complètement ahuri par ce qu'il s'était passé, il se releva et voulu sortir des catacombes. Il se perdit cependant dedans, n'ayant pas fait attention au chemin de l'allé. Après quelques jours de marche, il s'évanouit dans un couloir.

Il se réveilla dans un lit. On l'avait retrouvé et soigné. Personne ne comprennait ce qu'il avait voulu faire. Lorsque son supérieur vint pour s'encquérir de sa santé, il lui raconta l'histoire. Le doyen partit sans un mot après avoir entendu cela. Giovanni reprit son service rapidement et quelques jours après à peine, il fut promu dans le diocèse de Carbonia, en Sardaigne. Giovanni vécut d'autant plus cette promotion comme un blâme et un désavoeu de l'Eglise qui ne le croyait pas qu'il fut malade lors de la traversée en bateau par une mer calme. Il reprit son service bon gré mal gré. Cependant, le vin de messe de là bas était fort différent de celui de Vérone bien plus capiteux. Une demoiselle l'entraîna donc dans l'ivresse et lui fit rompre son voeu de chasteté.

Elle le menaca de révéler l'affaire à l'Eglise et Giovanni qui avait été éloigné de Vérone pour cause de folie voyait là sa radiation définitive et la honte et l'opprobe sur sa famille. Il céda donc au chantage et fut 'initié' aux orgies de la Sardaigne. Contraint à la luxure et, à sa grande honte, y trouvant du plaisir, Giovanni découvrit alors son premier pouvoir divin. Celui de modifier le taux d'alcool dans les liquides. Il comprit cette découverte comme une bénédiction de Dieu. Il en parvint à la conclusion qu'il pouvait outrepasser les sept péchés. Dans le même temps, on découvrit qu'une nouvelle race était apparue. Les Vampires. Et ce serait ces êtres qui auraient agressé et mis Giovanni en difficulté. Lorsque la nouvelle parvint à Giovanni, il attendit impatiemment que l'on reconnaisse sa bonne foi dans l'episode des catacombes. Mais rien ne vint de Rome. Il en vint à fomenter une haine farouche, tenace et totale à l'encontre de ces êtres nouveaux. Les vampires se répendaient dans les etats Italiens aussi vite que la nuit tombait sur le royaume. Giovanni suivit de près toutes les découvertes à leur sujet et découvrit même où il préférait se terrer en attendant les lueurs de la lune.

Il continua ainsi jusqu'à ce qu'au cours d'une de ces soirées de luxure auquel il participait désormais toujours aussi contraint mais plus ou moins volontaire, il découvrit un nouveau participant. Son propre évèque. Celui-ci n'eut pas l'air de le reconnaître mais le lendemain, il fut convoqué. Lorsqu'il ressortit du bureau, il déclara qu'il partait méditer en paix près de la côte. Mais ce qu'il y fit n'avait rien à voir avec un rapprochement de Dieu. Il parcouru toutes les cavernes de la côte jusqu'à croiser un vampire. Il le traqua et l'accula dans un conduit. Mais lui laissa la vie en échange d'un marché. Le soir l'évêque fut porté disparu, le lendemain, il fut retrouvé vidé de son sang. Et Giovanni alla retrouver le meurtrier pour conclure sa part du marché. Marché de dupe. Le prêtre assoma le vampire de ses prières et le captura. Il envoya le message à Rome ainsi que la nouvelle de sa capture.

Cette fois ci la reconnaissance et la réparation vint enfin. Rome envoya un évèque et le promu. Giovanni fut nommé à Rome où la force des complots et de l'intrigue remplaçait celles de la luxure. Le vampire capturé fut précieux pour les études et en échange de son silence, Giovanni lui promit la vie. Une vie en captivité mais la vie tout de même. Mais à Rome, Giovanni manoeuvra et obtint finalement après cinq longues années d'efforts constants une partie de ce qu'il voulait. Il devint le plus jeune évêque à trente quatre ans. Son diocèse se trouvait justement dans sa ville natale. Ce fut à ce moment là que Dieu lui accorda un second pouvoir. Il y passa les deux dernières années où il commença à renouer toutes ses relations.

Préférences sexuelles: Tous les êtres vivants ont droit de recevoir la parole de Dieu.

Rang souhaité: Evêque de Vérone

Autres: Allez en paix, mon enfant.

Fiche à Jun.

http://miroirdurised.com/bureau-des-inscriptions-universitaires-f132/houvanders-johann-formation-de-langue-de-plomb-t8953.htm

GENERAL

¤ Nom : Cuhuac
¤ Prénom(s) : Ashmay
¤ Age : 510 ans
¤ Sexe : masculin
¤ Nationalité : Inca
¤ Classe Sociale / métier : esclave
¤ Préférences sexuelles : Hétéro (mais depuis le temps ...)

PHYSIQUE

¤ Description physique : Ashmey est maintenant encore plus que de son vivant assez longiline. S'il est bien formé et ses muscles bien dessinés, il n'en a que très peu et ne développe pas ainsi une grande force. S'il se tient assez droit, il a souvent les yeux baissés au sol et le moindre rien lui fait courber l'échine. Ses yeux tombants lui donnent un air perpétuellement triste et s'il l'est réellement, il s'attire souvent la sympathie au vu de son regard d'animal un peu perdu. Ses mains sont fines quoiqu'un peu rugueuses ayant plus l'habitude de les tremper dans l'eau de vaisselle que dans des baumes. Ses oreilles sont assez étranges, elles se terminent en deux pointes effilées et sont souvent ornées de boucles, parfois en signe d'appartenance à un maître.
Généralement, Ashmay essaie de passer le plus inaperçu possible mais si l'occasion le lui demande, il peut prendre une prestance insoupçonnée et pourtant naturelle. Mais il ne cache pas ses sentiments derrière un masque et on peut souvent lire en lui comme dans un livre ouvert.
¤ Couleur des yeux : Même s'il sont souvent baissés on peut voir qu'il a les yeux rouges.
¤ Couleur et coupe des cheveux : cheveux blancs et assez longs
¤ Couleur de la peau : très pâle. Avec beaucoup d'attention, on peut distinguer ça et là quelques traits encore plus pâles, vagues traces d'anciennes blessures.
¤ Poids : Il est un peu léger pour sa taille, à peine 64 kilogrammes
¤ Taille : Ashmay est de taille moyenne, un bon mètre 74
¤ Tic : depuis une cinquantaine d'année, c'est à dire l'apparition du chewing-gum parmi les nouvelles âmes, Ashmay est totalement accro à cette petite matière caoutchouteuse. S'il n'en a pas dans la bouche, c'est qu'il en a dans ses poches.
¤ Signe particulier physique : En plus de tout le reste, il a une corne au milieu du front.
¤ Problème de santé : Il est asthmatique et en conséquence se promène autant que possible avec un inhalateur autour du cou.
¤ Garde robe habituelle : Il met ce que ses maîtres lui donnent. Mais il est vrai que si on lui laisse le choix, il éviterait les pantalons dans lesquels ils ne se sent pas à l'aise. Il préfère encore et toujours le pagne et le onka, habit traditionnel des Incas.

PERSONNALITE

¤ Qualités de caractère : Même s'il lui arrive d'avoir des coups de blues, il est toujours content de son sort. Il essaie par ailleurs de toujours faire ce que l'on attend de lui. Il est très patient. Même s'il aime qu'on lui donne des ordres, il garde un regard critique sur ce qu'il fait et est capable de réflexion. Il sait très bien ce qu'il veut et les limites qu'il ne franchira pas. Si on veut le convaincre de les dépasser, il faudra de bons arguments. Si on cherche à l'ennuyer, il ne dira tout d'abord rien mais se vengera discrètement par la suite -de préférence dans le dos de la (future) victime. Il n'hésite pas à faire de nouvelles rencontres.
¤ Défauts de caractère : Sa superstition est un défaut majeur. Il est également parfois assez crédule et naïf. Son conformisme est parfois affligeant et il a du mal à apprécier les nouveautés qui arrivent avec les nouvelles âmes même s'il aime bien en parler. Il est assez rancunier, parfois un peu mesquin et absolument pas ambitieux.
¤ Neutralité de caractère : Ashmay est assez effacé et soumis, ce qui arrange certains maîtres et rebutent d'autres. Par ailleurs, il ne prend des initiatives qui s'il ne peut vraiment pas faire autrement, il ne se sent pas fait pour commander ou prendre des responsabilités. L'inca est très sociable et ouvert, toujours à la recherche de compagnie - ce qui fera dire à certains qu'il est un peu collant. Il est assez honnête, ce qui peut être parfois problématique.
¤ Croyances : même s'il croit encore à la religion Inca, il a depuis son arrivée à Schéol été un peu ébranlé dedans et n'a plus trop la foi dedans. Mais il reste tout de même très superstitieux.
¤ Centres d'interêts : Il adore discuter et tester de nouveaux goût de chewing-gum. Il aime beaucoup rire. S'il le peut, il adore pêcher dans le Styx où les poissons sont assez amusants à regarder. Il aime bien cuisiner (surtout les poissons du Styx - il prend un malin plaisir à ce que ses maîtres servent de cobayes pour sa cuisine) ainsi que les tâches ménagères. Il aime à ce que son pouvoir soit utile pour son maître. Il est assez intéressé par les potins en général ainsi que les histoires du monde du dessus. Les contes et les légendes ne sont pas en reste. Il aime également boire particulièrement la chicha qui gardait sa préférence malgré les autres alcools qu'il put découvrir.
¤ Centres de répulsion : Il a une trouille bleue de perdre son inhalateur, de boire l'eau du Léthée et déteste rester tout seul. Il n'aime pas trop se faire frapper (même si ce n'est pas lui qui choisit). Il n'apprécie pas particulièrement de changer de maître. Il n'aime majoritairement pas changer de vie.
¤ Compétences, habilités : Il est très bon dans son rôle d'esclave et dans ce qu'il aime. Il a également un excellent sens de l'orientation. Il est méticuleux et précis dans ce qu'il fait, le faisant généralement bien. Il ne craint pas le froid.
¤ Faiblesses, inhabiletés : Ashmay n'a jamais appris à lire ou à écrire. Il sait très mal se défendre ou se battre, de même qu'il n'est pas endurant. Il craint les changements brusques de chaleur, cela le rendant plus ou moins malade.
¤ But(s) dans la vie : Même s'il se laisse majoritairement porter par le courant, Ashmay aimerait bien retrouver sa famille ainsi que l'âme qui l'a tué.
¤ Pouvoir : Modification de vitalité (trouvé grâce au questionnaire)

HISTOIRE

¤ Histoire :

Ashmay a d'abord grandit dans une région un peu désertique avec sa famille. En tant que fils de chef, il disposait de quelques avantages qui permirent à son asthme d'être discret malgré l'altitude. Lorsqu'il eut 16 ans, son village fut attaqué par les Incas. Sous la supériorité numérique, ils faiblirent et durent céder. Le village accepta de se soumettre à la domination inca et, pendant que son père fut autorisé à continuer à diriger cette partie du nouvel empire en expansion, il fut emmené à Cuzco pour y apprendre à gouverner à la manière des Incas.

Un an après, le soir d'une fête d'Inti, le dieu Soleil, il fut abordé par un groupe d'Incas de pur souche. Et, au vu de la richesse de leurs habits, ils étaient également nobles. Nobles mais émechés. En raison de sa maladie, Ashmay ne grossissait pas en muscle et attirait certaines passions. Ce soir là également. Il se débattit et se défendit. Il assoma l'un des trois comparses, poussa un autre et s'enfuit en laissant le troisième sur place. Le lendemain, la nouvelle était arrivée, on avait assasiné l'un des princes. Ashmay comprit que celui qui était tombé c'était ouvert le crâne contre le sol. Il connaissait la loi et savait qu'elle était encore plus sévère pour les Curacas dont il faisait parti et les nobles incas de sang pur. Il prit peur et s'enfuit précipitamment de Cuzco.

Un soir, il entra dans une fissure dans une falaise pour se protéger de l'orage qui grondait et passer la nuit qui approchait. Il voulu s'enfoncer un peu plus pour éviter les trop grands courants d'air. Soudain, il eut l'impression qu'il marchait dans l'espace. Il avait beau tendre le bras, nulle roche sous ses doigts et nul chose visible sous sa lampe. Il se retrouva soudain parmi quelques ruines. Croyant être entré dans la demeure de quelque dieu capricieux, il voulut faire demi-tour mais las. Il s'éloigna assez rapidement de cet endroit pour trouver autre chose et éviter d'attirer ses foudres. Il marcha quelques heures avant de se heurter à un groupe de personnes. Il se mit à courir un peu effrayé jusqu'à ce que des arbres poussent devant lui et l'arrêtent. Il se retrouva rapidement ensseré par des lianes et immobilisé.

Il commença peu après sa vie d'esclave. Habitué à obéir aux ordres de l'Inca, il ne se formalisa pas plus que cela de ce changement de condition et en tira même quelques avantages par rapport à la vie qu'il avait. Il vécu à Schéol pendant quelques années jusqu'à ce qu'il rencontre une humaine qui était, elle, arrivée par la porte de corne. Il réussit à lui faire oublier l'âme qu'elle était venu chercher et eurent ensemble un fils. Celui-ci grandit et tout se passait finalement à peu près bien jusqu'à l'âge de ses soixante ans. Alors que son maître de cette époque l'emmena faire des courses avec lui, il rencontrèrent une âme qui se raidit instantanément. Celle-ci alla parler au maître en chuchotant. Ashmay, intrigué, observa le manège sans y comprendre grand chose et en l'oubliant dès que le conciliabule fut terminé. Quelques jours plus tard, cette âme revint et donna une forte somme d'argent à son maître avant d'emmener Ashmay.

Contrairement à ce qu'il pensait, il en fut pas emmené dans la demeure de son nouveau maître mais dans un lieu occulte et scabreux de la ville. Là, il apprit que cette âme était celle du Prince qu'il avait tué dans sa jeunesse et l'esclave passa de vie à trépas en une durée trop longue pour être décrite.

Après un moment d'évanouissement, Ashmay se réveilla toujours enchaîné, son enveloppe mortelle à ses pieds. Des pieds étrangement pâles par rapport à la peau tannée de l'Inca. Comme beaucoup de monde, sa mort avait changé son apparence physique et cette fois-ci assez radicalement. Le prince l'envoya, pour terminer cette séance de cruauté en beauté, jeter son propre corps dans les marais. Une fois qu'il eut accompli cette sombre besogne sans protester mais complètement choqué, il fut réenvoyer auprès de son maître. Celui ci fut assez attéré du changement et il fut vendu peu après, perdant de vue sa famille.

Pendant les 510 ans qui suivirent, Ashmay continua à être un esclave mais en étant une ombre. Il découvrit plus ou moins heureusement son pouvoir en plongeant son maître du moment dans un coma dont il ne réchappa pas. Il changea de maître plus ou moins régulièrement. Bien qu'il était souvent gardé avec son bon caractère, il subit les revers de fortune, de chance ou même d'envie de ses maîtres. Il commence à connaître les étals des marchands d'esclaves et assez ironiquement même à être un habitué des lieux et à nouer quelques amitiés avec certains marchands.

¤ Date de naissance : Il est né sous la première année du règne de Pachacutec, soit dans notre calendrier, le 8 mai 1438.
¤ Lieu de naissance : Dans un petit village du Kunti Suyu
¤ Anecdote(s) : Ashmay a rendu quelques maîtres malades avec ses expérimentations en cuisine.
¤ Echec(s) : Se laissant bercer par la vie et ne se fixant pas vraiment d'objectif, il n'a pas vraiment d'échecs par rapport à ce qu'il s'est fixé.
¤ Réussite(s) : Sa famille est l'une de ses plus grandes fiertés. Il se souvient également bien de l'épreuve de passage à l'âge adulte. Il reste fier également du compliment sur ses qualités avant que son maître ne s'en sépare -il était ruiné.
¤ Regret(s) : Il regrette son apparence physique depuis sa mort ainsi qu'avoir perdu sa famille de vue, il se reproche toujours un peu ce qu'il a fait à Cuzco et de manière encore antérieure et d'avoir fait honte à son père, il regrette que sa tribu ait perdu contre les incas.

Nombre : Azraël
Edad : Parece cincuenta y tiene uno.
Apariencia:

Azraël es un angel que parece cincuenta. Su aspecto le da una aura de sabiduria, de poder y de grandeza. Lo da la imprecion que Azrael es mayor que su real estaturad que es muy media : une metro setenta y uno. Parece ser veinte centimetro màs al minimo. Es unicamente cuando hay una otra persona a su lado que ve la realidad.

Si su piel es la de un angel de cincuenta anos - arrugada con una cuantas manchas de vejes de color de viejo marfil - su ojos traicionan su veritable edad. En effecto, son de azul vivo que muestran su confianza en la vidad y sus numerosas dudas.




Actitud/Personalidad :

Sus principales defectos son debidos a su edad. Esta muy inexperimente y tiene que descobrir a la vida. Es muy entero : no ha apprendido a hacer conseciones y se comporta a veces como un nino. Esta muy idealista hasta ser un poco rigido y tiene un gran sentido de la justicia aunque no es justo a veces. Tiene tambièn el sentido del debe. Es muy maniqueisto : hacer su debe es bien, el infierno es mal y los demonios deben morir. Pero a causa de estos valores, su destino y de la confrontacion con la realidad, Azraël se pregunta mucho y sus paradojas le hace melancolico a veces.

Demonio/Angel/Humano: Ángel de la muerta
Poder: Lo unico poder que tiene Azrael es lo de modificar el nivel de alcohol en los liquidos, especialmente para alivia la dolor de los moribondes. (El poder de extraer las almas es asociado a su espada)
Habilidades :

Los habilidades que tiene son las por los cuàles fue creado : extraer almas y luchar. Pero tiene otras habilidades : hacer qui pro quo, ofender a la gente, tener problemas, dar una ataque de risa a los momentos los menos opportunos...

Historia:

Azraël es el màs joven àngel del cielo : fue creado por Dios hace un año. ¿ Por qué ? Es muy simple : para ser el nuevo àngel de la murta. ¿ No habia niguno antes ? Si, pero faltàron contra las fuerzas del infierno. La primera se llamó Tenrei². Se encontró con Achlys². Lucharón y el infierno gañó. El segundo fue Ashriel que sucumbieron a la demionio de la Tentación Bietka y cayó. Para la tercera vez, Dios creó un àngel de la Muerta. Durante un año entero, Azrael aprendó como ser el nuevo àngel de la muerto, tradicionalmente el Malaikat Al Maut. Aprendó como cultivar el àrbol de la vida, como utilizarle, como extraer la alma de los muribondos, como utilizar una espada, en una palabra como acumplir la tarea por la cual fue creado.

Género de su preferencia: Seando un àngel, Azraël es asexual y sabe que no debe tener interés por el sexo. Pero lo personaje que conseguirà a haber una relación con èl serà màs allà de la noción de généro.

Datos extra:

¤ Azraël tenià tres importantes objetos para el y su deber : su espada que le permite a llevarse el alam de los muribondos y luchar contra los demonios, su registro donde escribe los numbres de los muertos y finalmente, el àrbol de la vida que es en el tercero cielo. Si el tercero no puede ser deteriorado por los angeles, los dos primeros son menos protegidos porque le tocaba por dondequiera que va.

¤ aficiones :

Le gusta mucho la naturaleza. Se ve en los gardenes, tocabando a los arboles y hablando a las flores o tumbandose en la hierba. Al contrario, destesta a las parsonnas que estropean a la naturaleza. Cuando son humanos, extrae su alma con un poco màs de dolor, por venganza. Le gusta menos a los animales y humanos, no le perturba cazar o matar.










² si no querrià que su personaje sea aquí digaleme, yo cambiaré. ^^

Dossier médical

Nom- Euronyme
Prénom- Alastor
Sexe- masculin
Âge- 28 ans
Traits physiques-Pour être honnête, je pourrais dire que je suis d'une stature moyenne, pas particulièrement remarquable. A tel point que je me fonds facilement dans la foule. Je porte des lunettes qui cachent des yeux d'un bleu transparent. J'ai des cheveux suffisament courts pour ne pas être dérangé.
Taille- 1m 73
Poids- 75 kilos
Handicap ou maladie physique- J'ai une tachycardie de Bouveret. Et je suis légèrement astigmate. (mes lunettes sont portées pour mon confort.)


Dossier psychologique

Qualités- J'ai une assez grande culture, j'adore tout particulièrement faire des vers. Je suis aussi loin d'être bête même si je ne suis pas Einstein. Je suis tenace, lorsque j'ai une idée ou un sentiment, je ne lâcherai pas celle ci. Je prends le plus grand soin de mes affaires -notamment de mon état vestimentaire- Je suis également assez imaginatif.

Défauts- Je peux me montrer particulièrement cruel. Mais d'une crauté froide. Lorsque je suis en colère, il n'y a aucun danger à craindre de moi, malheureusement, je perds un peu mes moyens. Plus je suis calme, plus je suis dangereux. Je m'énerve assez facilement. Je suis très chatouilleux sur les questions de tolérance.

Aime- j'apprécie le calme, quand tout se passe bien, j'aime beaucoup les jeux de cartes également ainsi que la nourriture, j'adore manger. Je fais collection des jeux de cartes.

N'aime pas- je n'aime pas les conflits quand je ne suis pas une des parties et je déteste les tatoués ou ceux qui ont des piercings autre que les filles aux oreilles. J'ai horreur des plats gluants et des imbéciles-ce qui est très large. Je déteste qu'on me prenne pour un chien ou qu'on m'insulte. Je n'apprécie pas que l'on se serve de mes affaires sans mon consentement ou qu'on les détériore.

Comportement avec les gens- Je suis plutôt sociable et pas très dérangeant avec les gens que j'apprécie. J'aime à me faire des connaissances.

Valeurs- Le travail est MA grande valeur.

Tics- lorsque je remonte mes lunettes, je passe automatiquement ma main dans mes cheveux en même temps.

Handicap mental- aucun.

Passé- Je suis né d'une famille immigrée grecque d'où mon nom. J'ai vécu une enfance heureuse et sans soucis aucun. Une bonne scolarité, du sport -j'avais un bon niveau de boxe anglaise-, aucun problème. J'aurais dû devenir médecin. J'en eu les études mais pas l'envie. Disons plutôt que une fois complètement saoûl par la soirée de remise des diplômes, je rentrais chez moi et l'alcool me trouva le courage d'affronter mon père. Je me présentais donc le lendemain dans la police où je suivis une formation interne. J'imaginais ce métier comme dans les films et les séries avec beaucoup d'action et de reconnaissance. La réalité me déçu.
Mais j'y appris la haine : mon coéquipier, qui était devenu un ami plus que proche, fut sauvagement passé à tabac un soir. Je manqua de l'être aussi mais je dû avoir plus de chance. Lui n'en eu aucune. A son enterrement, je réalisais que je faisais ce boulot pour moi-même, pour une certaine reconnaissance plus que pour le désir de protéger ou de freiner la criminalité. Les regards des autres policiers m'indiquaient clairements les coupables : c'étaient eux. Mais je n'avais aucune preuve. J'avais envie de venger mon amant mais je savais que tuer ses anciens collègues ne lui aurait pas fait plaisir. Profondément dégoûté, j'allais déposer ma démission sur le bureau de mon supérieur et celui-ci me parla de ce métier. L'idée me semblait bonne, je n'avais pas trop de projets. J'y postulais.



Dossier d'emploi

Matricule- 56 76
Rôle dans la prison- Gardien (mais a son diplôme de médecin.)
Chamre no. (décidée par l'admin)
Rang- Iceberg
Armes- Arme de service et un poing américain.
Personnage sur l'avatar (pour le recensement)- euhhh.

ABOUT ME !



Name: I'm used to 'Bidule doodle' or shortlier Bidule. But, Nono is okay also. ^^
Age: 20
Other characters: none
Roleplaying experience: 4 years and admin
How did you find us? (just for us to know if advertising is working or not) by RPG directory
Other thing : in fact, I'm french, there won't be a problem with my rp level but much more with my grammar and vocabulary. ^^' Hope there shall be no problem (and if there is someone who wants to be an English teacher and wants to correct my prose, I would be very gratefull ^^')


MY CHARACTER

General


Full name: Liam Allan Tarmo
Nickname: Nope or find in game. ^^
Gender: Male
Species: Witch
Capabilities: Electrecity
Age: 36
Marital status: single
Hometown: Little Salem
Current Residence: Little Salem
Occupation: Business man (liking playing the market and owning some companies)
Economic Status : wealthy


Appearance


(Posted Image)

Hair color: Brown dark ou light depending of the light
Hair style/cut: medium but more short than long. He is often parting his hair and keep his hait back.
Eye color: Hazel
Height and weight: 1m72, 81 kilos
Body type: well sized with muscles but ot too much and a tendancy to have a little too much weight
Distinguishing physical features: He is often wearing glasses, has difficulties to understand the words when there is too much noise.


Personality


Likes:

¤ Water (he is fascinated by it)
¤ Swimming
¤ Eating (espacially sweet things)
¤ Cold
¤ Money
¤ Power
¤ The little pleasures of the life
¤ Walking and discovers new places
¤ Staying in the nature reading or having a nap
¤ Meeting people and chat with them
¤ His independance
¤ His work
¤ Watching old movies especially westerns and detective thriller
¤ Ferrets (would like to have one)
¤ Stupid persons (it's easier to manipulate)
¤ writing with strange colors
¤ Being famous
¤ Play video games and cards
¤ Making cocktails for others
¤ Laugh
¤ Lust
¤ discover things under a new point of view
¤ And so much other things...

Dislikes:

¤ Cabbage
¤ All things with dards (very afraid to be stung)
¤ Injections and so going to the hospital
¤ All house tasks
¤ Get up early
¤ All people with the power of telepathy
¤ Actual philosophers
¤ Sports except swimming
¤ Gardening
¤ Children
¤ Tea and coffee
¤ Donovan familly
¤ Poverty and illness (his principally)
¤ People preaching to him
¤ Hearing 'witches' and no 'wizards' when he is here
¤ Circus
¤ People who laugh at him or underestimate him
¤ Making concessions
¤ and so much others things...

Strengths: perseverance, his lack of morality, intelligent
Weaknesses: clumsy, meticulous, can't hold alcohol (so he makes cocktails for others), he is very expressive by body language - so he has difficulties to lie to certain persons, impetuous, quite arrogant, can be sometimes very naïve -maybe it's better to say he has his childish sides. Very competent to put himself in hassles. Has a tendancy to search his words when he is surprised or intimidated. Going from a temper to another very easily -excepted in business.
Five words to describe (personality, not physical): obstinate, temperamental, ambitious, haughty, individualistic
General impression : At first, Sean gave the impression that he is a responsible man, handsome, with good manners, calm, reflective, serious even a little ennoying. Well, at first he seemed to be the perfect match. At first...


History


Important family members:
Family members in IFS: Not now... If you want. ^^ Just contact me.
Vital notes on history :

Liam was born in Little Salem. His schoolar ship was apparently perfectly normal but during the evening his father taught him how to use magic. According to the Treaty of Three, he had to learn to control his powers. In fact, his father thought a huge nomber of times that there would be no chance that he ever broke the treaty by showing his abilities to the humans. It seems that Liam couldn't do anything. He was a complete dumb in magic. Until the day where he had to manipulate electrecity. Incredibly, they discovered that he was quite good in that part and his father had to changes the fuses. He held on training on electrecity even if the real dream of Liam was to control water.

Meantime, Liam came to the schools beeing quite smart and having good marks. When he finished his studies, he wondered what to do next. His ideas came from the spirit of the Treaty itself. Werewolves and vampires had to prey animals but humans left less and less nature and wild animals in that purpose. So Liam came to the banks in order to have a lend and to buy the blood bank of the island. In the same time, he began some prevention campagns in order to sensibilize humans to volountary give their blood to those who desesperatly need them - officialy the little ill children, informaly, vampires and werewolves and at final, his bank account.

For times where humans wouldn't be sufficiently generous to give - or sell - their blood, he invested in a battery farming of chikens. With the profits, he invested in other companies. But the time came where the Donovans assumed more and more officialy their views. As it would probably gave ideas to the other vampires or werewolves and be fatal for his business, Liam worked in order to come and be a member in the circles of power behind the scene. Especially those treating with the contact between the differents groups, trying to keep that treaty in order.


Brief sample RP of your character:

"No. ... Yes, much more like that. Okay, we'll see that tomorrow. Bye, Dave."

Liam closed his eyes, his cell phone and sighed deeply. They were so harrassing. Why couln'd they do their job themselves ? He had his afternoon, why couln'd they let him quiet ? He opened his eyes and contemplated the country. The concerto of the Nature - or what was left by humans. The murmur of the river, the sing of the wind trought the leaves, that was so peaceful. Nobody at miles around, he was alone with his cell phone, a book and a river. An irresistible river.

Suddenly, he couldn't resist any more. He looked a last time around. Nobody. Quicly, je close his mobile, got up and beggan to undress before noisily jumping into the river. Haaa, that was paradise. The water was at he perfect temperature. As cold as he liked it. He floated on his back for few seconds and began to swim a little. After a time he didn't want to cound - and couldn't - he stoped and looked on the bank. And instantly froze.

"What the ? Ho... How long have you been there ?"

Nom : Okkotay
Prénom : Sho Tah (autres prénoms Akhara Jesus)

Surnom / nom de code : Bic
Âge : 22 ans
Sexe : masculin
Lieu de naissance : Dhaka la capitale du Bengladesh
Groupe d'apartenance voulu: Anges de la Mort (Quelle surprise ! ^^)

Pouvoir :

Sho Tah a un pouvoir de matérialisation et de contrôle (de ce qu’il vient de matérialiser uniquement) de ce qu’il écrit- en anglais uniquement, pas dans sa langue natale.

Précisions :
Ce qu’il décrit apparaît à côté de lui. Cependant, seules les choses concrètes peuvent apparaître. Les idées et les concepts ne peuvent pas se matérialiser. Il ne peux pas matérialiser quelque chose à partir d’un nom : s’il écrit ‘Rufus’ rien ne se passe par contre s’il écrit ‘un chien' un chien apparaît.

L’efficacité de la matérialisation (consistance de la chose, correspondance de la chose par rapport à ce qui est décrit) dépend de ce qu’il a écrit : si c’est dans un bon niveau d’orthographe ou un bon style, il y a plus de chances de voir apparaître un truc conforme à ce qu’il a écrit. Il peut également contrôler ce qu’il vient de matérialiser en écrivant ce que la chose matérialisée doit faire. Là encore, de son style dépend le succès de l’opération.

L’apparition de la chose commence souvent immédiatement mais elle met quelques instants avant de pouvoir être « opérationnelle » (généralement, il apparaît une forme qui s’opacifie de plus en plus). Quand à la disparition de la chose, une manière simple de le faire est de détruire les écrits à partir de laquelle il a été matérialisé. Une autre méthode serait d’écrire qu’ils disparaissent (mais Sho Tah n’est pas assez doué pour ça) Ils peuvent également disparaître spontanément (cela dépend de la concentration de Sho Tah)

(N.B. Sho tah ne s’est pas encore confronté à l’écriture sur clavier, j’aimerai garder le suspense mais si vous voulez savoir ce que cela donnerait, je peux vous l’écrire)

et sa première apparition :

Après quelques cours d’apprentissage d’anglais. Il fallait décrire un animal durant le cours en quelques lignes. Une espèce de veau croisé avec un caniche nain famélique est apparu dans la classe (une chance, Sho Tah avait décrit un bufle.) Lisez son histoire pour plus de précisions, s'il vous plait.

Maîtrise du pouvoir : 8. l'efficacité et la maîtrise de son pouvoir étant relié directement à son orthographe et à son style, tout cela n'est pas bien terrible.

Condition physique : 14. Il n'était pas dans une forme terrible mais depuis quelque temps ca va (beaucoup) mieux

Histoire :

Sho Tah est né au bengladesh d'un père Bengladeshois (?) ,Kim, et d'une mère espagnole, Maria. Celle ci était venue avec une association humanitaire, la fondation du renouveau (comme par hasard ^^- j'espère qu'elle fait ça aussi cette fondation >.<) et est restée au Bengladesh après avoir aidé et être tombé amoureuse de son père. Sho Tah est donc né dans une famille particulièrement heureuse et unie.

Du fait du travail de ses parents et surtout de sa mère, la famille disposait toujours de suffisamment d'argent mais donnait tou ce qui n'était pas nécessaire. Sho Tah pouvait donc ainsi aller à l'école mais n'avait pas plus de jouet que les autres enfants qui y allaient avec lui, voire même moins. Après l'école, il accompagnait souvent sa mère aider les autres habitants dans le besoin. Du fait de sa mère, il a été élevé dans des valeurs de générosité et de charité envers son prochain. En fait, l'aider l'ennuyait profondément et voir les pauvres et les malades le dégoûtait tout simplement.

Dès qu'il le pouvait,donc, Sho Tah allait jouer avec ses amis et bien sur les bagarres entre différents groupes étaient fréquentes. Sho Tah n'était certainement pas le plus costaud d'entre tous et se faisait donc assez souvent ratatiner la tronche (pour être poli ^^). Chose qui l'insupportait puisqu'il faisait un parallèle entre sa faiblesse, les faibles en général et ceux que sa mère aidait et qui le dégoûtaient.

Sho Tah grandit donc assez tranquilement. Il avait ses petites joies, ses petits malheurs comme tout le monde et une ambition commune à pas mal de gens : aller vivre en Amérique. En effet, au travers de l'écran de télévision, Sho Tah visitait ce pays qu'il considérait comme un pays de cocagne et voyait la richesse et le luxe dans lequel se prélassait les stars. Il avait décidé assez tôt d'aller là bas.

L'année de ses dix-sept ans, Sho Tah changea d'école et commença à apprendre une nouvelle langue : l'anglais. Au bout de quelques semaine, il commencèrent à écrire leur premier texte en anglais et c'est ainsi que Sho Tah découvrit ses pouvoirs. Sur le début, personne n'avait compris comment ce veau était arrivé là et l'animal était tellement différent de ce qu'avait décris Sho Tah qu'il ne comprit pas la corrélation.

Ce ne fut que quelques soirs après, lorsqu'un exercice similaire fut donné en devoir, et qu'un autre truc apparut dans sa chambre, qu'il comprit qu'il y avait un truc de bizarre chez lui. Au bout de quelqes essais (ratés) d'animaux de basse cours, il comprit réellement ce qu'il était. Ne sachant quoi trop penser, il garda la chose pour lui et s'entraîna avec plus ou moins de succès à exercer ce pouvoir.

Un jour, alors qu'il avait 22 ans, Sho Tah relisait le seul livre en anglais qu'il avait, qu'il connaissait presque par coeur et qu'il adorait. Il était seul dans une des rares ruelles désertes de la ville et en tripotait un crayon. Un gars qui le connaissait mais que Sho Tah n'avait jamais vraiment apprécié vint lui chercher noise. Sho Tah commença alors à s'enerver et sans vraiment réfléchir commença à recopier ce qu'il lisait dans la marge. Un tigre magnifique, bien réel et quelque peu affamé apparu et se jeta sur le gars. Un peu effaré et toujours sans s'en rendre compte il continua de recopier et là le tigre s'arrêta aussi net pret à déchiqueter l'enquiquineur, un bras déjà dans la gueule. C'est alors que Sho Tah découvrit la totalité de son pouvoir. Ainsi qu'une autre partie de sa personnalité.

Alors que le gars essayait de se dégager sans rien y comprendre mais pleurant de peur, Sho Tah lui fit un grand sourire, le regarda avant de soigneusement regarder sur son livre et écrivit soigneusement d'autres mots: "Le tigre le mangea." Le carnage fut immédiat et Sho Tah s'en alla avant que le tigre n'eut finit son repas et ne songe à terminer par un dessert.

Cependant, alors que Sho Tah regagnait sa maison, un étrange sourire ornait ses lèvres. Il avait goûté à la puissance. Et il avait aimé ça. Le soir même sa mère annonca qu'elle devrait aller à une grande réunion concernant l'asie du sud est de l'organisation pour laquelle elle travaillait. Elle avait ainsi un billet pour les Etats Unis et ne serait pas là pendant deux semaines le mois suivant.

Sho Tah ne dit toujours rien mais su déjà que sa mère resterait au Bengladesh. Il téléphona plusieurs fois au centre de la Fondation et embobina les services du personnel en annonçant qu'il y avait erreur et fit parvenir un billet à son nom et non plus à celui de sa mère. Quelques semaines après, il reçurent le billet à son nom. Sa mère ne comprennait pas mais Sho Tah annonça qu'elle avait trop de travail et qu'il s'en occuperait pour elle.

Il annonca le lendemain qu'il avait téléphoné au centre et qu'on lui en enverrai un autre mais qu'en plus la réunion avait été déplacé quinze jours plus tard pour cause d'une violente tempête qui ravageait une partie de la birmanie. Sa mère rassurée continua ses occupations. Et le matin fatidique, Sho Tah alla dans l'avion en partance pour les Etats Unis. Arrivé là bas, il décida de se faire passer pour sa mère puis de s'engager dans la fondation. Cela lui assurait non seulement un point d'attache et de départ mais également quelques commodités matérielles, de plus, il pouvait dire qu'il possédait toutes les compétences requises.

Vos ennemis (si vous en avez déjà) : bin non pas encore

Vos personnes de confiance : toujours pas encore (je crois que sur ce coup là, j'éditerais peut-être quand j'en aurais ^^-avec l'accord des bigs boss ^^)

Description physique : Sho Tah est un métis entre une espagnol et un asiatique. En conséquence, il possède les yeux plus ou moins bridé de son père mais le tein de sa mère. Il est plutôt petit : 1 m 69. Bien qu'il fréquente assidûment la salle de gym, il n'arrive pas à prendre du muscle et reste plutôt mince, presque malingre.

Il s'habille généralement en chemise et en jean. Dès qu'il le peut, il porte des tongs. Il en porte pratiquement tout le temps sauf quand il fait trop froid. Alors à ce moment là, il porte des chaussures d'escalade.

Il a à son oreille une boucle qu'il s'est fait faire un soir où il était ivre. Il ne se souvient plus de comment elle est arrivée là mais la garde. Il ne sais pas trop pourquoi.

Caractère :

Sho tah n'est pas ce qu'on appelle un ami de tout le monde. Il n'est pas non plus un ermite. Disons qu'il aura tendance à aller très facilement parler avec tout le monde et qu'il aura énormément de mal à aller plus loin et à se faire plus d'une demi douzaine de véritables amis. Non pas qu'il n'accorde pas facilement sa confiance ou quoi que ce soit.

Sho Tah est d'une intelligence moyenne cependant, il peut s'averrer très malin et machiavélique lorsqu'il a décidé quelque chose. Souvent, il a quelques objectifs auxquels il se tient fermement et se laisse plus ou moins porter sur le reste.

Sho Tah porte généralement sur lui le vernis de son éducation : il peut être assez moralisateur mais n'en suit pas un mot. Il est assez altruiste sur des choses bénignes mais en général il s'avère assez égoïste. Il aime le pouvoir et cherche à en avoir.

D'un naturel assez expressif, Sho Tah a du mal à cacher ses entiments sauf lorsqu'il essaie de manipuler quelqu'un. Dans ce cas, ses sentiments lui servent et il est assez bon acteur. Bien qu'il se mêle généralement de ce qui lui regarde, il est d'un naturel assez commère et connait la puissance de la rumeur. Chose qu'il lance assez souvent.


Particularité(s) :

¤ maîtrise le bengalî et l'espagnol ( ses deux langues natales), l'anglais, c'est plus dur !
¤ est un zéro en orthographe anglaise (que je rassure les admins : lui seulement, pas moi. ^^)
¤ il confond presque systématiquement la droite et la gauche (>.<)

Lisez vous les comics ? Oui quelques X-men (principalement les rééditions des anciens et ceux sortis à maxilivres (bin quoi pas ma faute si je n'ai point d'oseille à investir dans ce genre de choses) sinon l'araignée, le punisher, quelques daredevil, spawn, fathom et soulfire.

~Identité~

*Nom : McGuewad
*Prénom : Adenora
*Surnom : Miss Chance


*Sexe : féminin
*âge : 16 ans

*Rang : Élève à l'institut

*avatar : Jessica Simpson


~Descriptif du personnage et connaissances~

*Caractère : en un mot : compliqué. Elle est pimbêche et désagréable avec la plupart des gens parce qu'elle a été assez couvée et qu'elle pouvait faire beaucoup de choses sans qu'on ne lui dise rien.

D'autre part avec de très (trop) rares personnes elle est adorable. Malgré les paroles acides qu'elle donne et ses manières, elle réussit très bien a remporter l'adhésion des gens par un ensemble de moyens comprenant les promesses, les caprices... Comme elle sait ce qu'elle veut et qu'elle réussit pratiquement tout le temps a avoir ce qu'elle veut, elle beaucoup d'amis (bin oui, ils veulent la même chose).

De plus, ses diverses expériences douloureuses ont fait qu'elle est facilement agressive.Elle a du mal à changer d'avis et d'opinion et se braque très, très facilement lorsque l'on est pas d'accord avec elle ou que l'on lui réponde qu'elle a tord. Cela se termine généralement soit avec une porte claquée soit avec un aller simple à l'hopital...


Sinon, elle possède le caractère de l'américain moyen : nationaliste, fermement convaincue de la beauté du système libéral, du pouvoir bipartie, etc, etc... (au risque de paraitre caricaturale et stéréotypée ^^).



*Particularités :
lorsqu'elle utilise son pouvoir, ses cheveux flottent dans les airs, comme en apesanteur.
Elle adore faire la cuisine (personne ne comprend vraiment d'où vient cette marotte)
Elle est assez douée en sport : elle suit toujours les entrainements sportifs de sa mère lors de ses préparations aux films d'actions. Elle en a profité également pour améliorer ses capacités au tir et evolue désormais dans les compétitions nationales.
Le milieu holywoodien n'a plus de secrets pour elle! (hj :mais pas pour moi aargh!)

*Connaissances :

Famille : Elle ne compte plus ses beaux-pères mais reste très complice avec sa mère : Laurenn McGuewad.

amis :beaucoup d'enfants des quartiers huppés de LA mais la personne en qui elle a le plus de confiance a part sa mère est John, fils d'un grand compositeur. Ils se voient si souvent et sont si souvent ensemble que si on en voit un sans l'autre, il est de bon ton de dire que l'absent est malade.

conquêtes amoureuses : beaucoup : malgré un caractère parfois difficile, elle est extrémement jolie avec un mélange de visage d'ange et de manière de femme fatale hérité de sa mère

ennemis : outre tous ses ex-petits amis, elle compte beaucoup d'ennemis jaloux d'elle, de sa mère et de beaucoup d'autre choses.

~Origines~

*Origine génétique :première mutante d'une famille humaine
*Racines : Los angeles


*Pouvoirs :modification des probabilités sur un niveau ponctuel et présent. (elle ne peut pas modifier les probabilités d'un evenement futur ou sur le long terme)
*maitrise : faible : environ 5 à 8 sur 20 Sa mère espère qu'elle réussira à les controler bientôt.(hj : moi aussi) Actuellement ils ne se manifestent que sous le coup d'une émotion violente

*Histoire :

Adenora a vécue sur la cote ouest dans les quartiers chics de Los Angeles. Sa mère étant une actrice assez connue, elle a l'habitude d'être regardée et même harcelée par des fans qui voudraient des informations sur sa mère ou elle. Malgré cela et les divorces répétitifs de sa mère, elle passe une enfance heureuse. Jusqu'au jour où sa mère joue dans le role principal d'une grosse production et que sa cote de popularité explose.

Dès lors, elle se fait de plus en plus harceler et sa mère, inquiète pour sa fille, emploie un garde du corps/précepteur et homme à tout faire pour qu'elle apprenne, notamment, le tir au pistolet et toutes sortes de méthodes de combats et de self defense.

Tout va bien jusqu'au jour où elle se fait kidnapper par l'homme a tout faire et des complices. Elle n'aurait du être libéré qu'en échange de toute la fortune de sa mère. Mais, c'est alors, que sous le choc et la peur, son pouvoir se révèle... Cependant, elle ne s'en rend absolument pas compte. En effet, son pouvoir modifiant les probabilités, la chance qu'une dispute entre les membres des ravissseurs éclate a augmenté énormément... Cette dispute éclatant, il y a fusillade et la police des environs, alertée par les coups de feu intervient et la libère.

Dès lors, comme elle ne sait pas maîtriser son pouvoir, dès qu'elle a une émotion forte, des catastrophes se passent autour d'elle alors qu'elle-même en ressort toujours miraculée.c'est a moment là que ses amis commence à la surnommer "Miss Chance" mais elle déteste ce surnom.

Sa mère s'inquiète de plus en plus pour sa fille car elle se doute de la véritée. Elle décide donc, presque du jour au lendemain, de l'envoyer à cette école spéciale dans l'est où elle pense que sa fille maitrisera ses pouvoir et ne mettra pas en danger sa carrière d'actrice en étant mutante.
Adenora ne veux pas quitter ses amis et ses amies et n'y va qu'a contre coeur. Elle ne sait pas du tout pourquoi elle doit changer de vie et ne s'est jamais rendu compte de ce qui se passait autour d'elle ou de sa nature(dans 90% des cas où ses pouvoirs se manifestaient, il y avait du vent donc personne remarquait jamais que ses cheveux lévitaient et dans les 10 % restants la somme de catastrophe qui s'abattaient réussissait à faire diversion). Au contraire, à son arrivée, elle plutôt anti mutante même si faiblement.

~Informations du joueur~

*Age et lieu de vie: 19 ans france

*Connaissances du monde marvel et expérience rpg :
monde marvel : quelques unes (y compris quelques comics aux agraphismes inspirés des nippons ^^ Ahh culture japonaise, quand tu ne laisse pas les us nous envahir... ^^)
Expérience rpg :oui (vous voulez l'adresse? ^^)

Dossier médical

Nom- Euronyme
Prénom- Alastor
Sexe- masculin
Âge- 28 ans
Traits physiques-Pour être honnête, je pourrais dire que je suis d'une stature moyenne, pas particulièrement remarquable. A tel point que je me fonds facilement dans la foule. Je porte des lunettes qui cachent des yeux d'un bleu transparent. J'ai des cheveux suffisament courts pour ne pas être dérangé.
Taille- 1m 73
Poids- 75 kilos
Handicap ou maladie physique- J'ai une tachycardie de Bouveret. Et je suis légèrement astigmate. (mes lunettes sont portées pour mon confort.)


Dossier psychologique

Qualités- J'ai une assez grande culture, j'adore tout particulièrement faire des vers. Je suis aussi loin d'être bête même si je ne suis pas Einstein. Je suis tenace, lorsque j'ai une idée ou un sentiment, je ne lâcherai pas celle ci. Je prends le plus grand soin de mes affaires -notamment de mon état vestimentaire- Je suis également assez imaginatif.

Défauts- Je peux me montrer particulièrement cruel. Mais d'une crauté froide. Lorsque je suis en colère, il n'y a aucun danger à craindre de moi, malheureusement, je perds un peu mes moyens. Plus je suis calme, plus je suis dangereux. Je m'énerve assez facilement. Je suis très chatouilleux sur les questions de tolérance.

Aime- j'apprécie le calme, quand tout se passe bien, j'aime beaucoup les jeux de cartes également ainsi que la nourriture, j'adore manger. Je fais collection des jeux de cartes.

N'aime pas- je n'aime pas les conflits quand je ne suis pas une des parties et je déteste les tatoués ou ceux qui ont des piercings autre que les filles aux oreilles. J'ai horreur des plats gluants et des imbéciles-ce qui est très large. Je déteste qu'on me prenne pour un chien ou qu'on m'insulte. Je n'apprécie pas que l'on se serve de mes affaires sans mon consentement ou qu'on les détériore.

Comportement avec les gens- Je suis plutôt sociable et pas très dérangeant avec les gens que j'apprécie. J'aime à me faire des connaissances.

Valeurs- Le travail est MA grande valeur.

Tics- lorsque je remonte mes lunettes, je passe automatiquement ma main dans mes cheveux en même temps.

Handicap mental- aucun.

Passé- Je suis né d'une famille immigrée grecque d'où mon nom. J'ai vécu une enfance heureuse et sans soucis aucun. Une bonne scolarité, du sport -j'avais un bon niveau de boxe anglaise-, aucun problème. J'aurais dû devenir médecin. J'en eu les études mais pas l'envie. Disons plutôt que une fois complètement saoûl par la soirée de remise des diplômes, je rentrais chez moi et l'alcool me trouva le courage d'affronter mon père. Je me présentais donc le lendemain dans la police où je suivis une formation interne. J'imaginais ce métier comme dans les films et les séries avec beaucoup d'action et de reconnaissance. La réalité me déçu.
Mais j'y appris la haine : mon coéquipier, qui était devenu un ami plus que proche, fut sauvagement passé à tabac un soir. Je manqua de l'être aussi mais je dû avoir plus de chance. Lui n'en eu aucune. A son enterrement, je réalisais que je faisais ce boulot pour moi-même, pour une certaine reconnaissance plus que pour le désir de protéger ou de freiner la criminalité. Les regards des autres policiers m'indiquaient clairements les coupables : c'étaient eux. Mais je n'avais aucune preuve. J'avais envie de venger mon amant mais je savais que tuer ses anciens collègues ne lui aurait pas fait plaisir. Profondément dégoûté, j'allais déposer ma démission sur le bureau de mon supérieur et celui-ci me parla de ce métier. L'idée me semblait bonne, je n'avais pas trop de projets. J'y postulais.



Dossier d'emploi

Matricule- 56 76
Rôle dans la prison- Gardien (mais a son diplôme de médecin.)
Chamre no. (décidée par l'admin)
Rang- Iceberg
Armes- Arme de service et un poing américain.
Personnage sur l'avatar (pour le recensement)- euhhh.

Name: Aston M. Lee
Nickname/Alias:
DOB: 1rt April 1970
Gender: male
Human Type: Morrigan (I understood you were searching for some)
Job: Runs the ‘Lee Company’

Appearance:



Face Claim: John Travolta

Strengths:
¤ He has a very good control on the business and environment members of the city council.
¤ Knows everything about sea (especially fisher things like drive a trawler or make knots)
¤ He can easily fell asleep
¤ He is very good at knitting

Weaknesses:
¤ His hate for shifter is known for ZI
¤ The law member of the city council can’t stand him. (it’s quite reversal)
¤ By stopping working on trawlers he loosed a part of his former strength and health.
¤ He is a phobic of silence. He needs even the little sound of breeze.
¤ He’s got airsickness.
¤ He doesn’t withstand coldness even if he likes that

Personality:

Used to fight in order to bring his company to the upper level, Aston is now used to categorize each one of his reaction and comportment depending on the case if it’s public or private circumstance. In public, he’ll try to be as formal, detached and professional as possible. He’ll try not to show his feelings and thoughts. Usually he’s betrayed by the rise of an eyebrow and a confident not to say a haughty smile. In private, he doesn’t take of that. But the limit between private and public is very hazy: lots of his friends are business relations and vice versa. Aston can easily go to talk to people as easily as he can evolve in order to adapt. But he is quite conservative in some ways and can be easily narrow-minded. He will respect the law or regulations that he find useful, necessary or logical. He is also prosaic except in irony (and knitting).

Likes:
¤ To knit
¤ Watch sumo fights drinking a beer
¤ Art except modern art
¤ Comic books and detective novels
¤ Milk and everything derived from cows in general
¤ cold weather
¤ collect umbrellas.
¤ going for a walk

Would like:
¤ go parachuting but he’s airsick
¤ destroy completely the shifter (and feed his fishes with their corpses), the infection and take revenge.
¤ Go back with his wife

Dislikes:
¤ Hates shifters.
¤ Hates traitors
¤ Modern art
¤ Tea, coffee
¤ Beggars, recipient of state aids, the old grandmothers’ yappy dogs, old grandmothers when he has to listen to them.
¤ Ball games
¤ When there is too much sun and the rain

Wouldn’t like:
¤ Die while shifters still exist
¤ Being infected
¤ Die without descendants
¤ His company failure.

History:

Undoubtely, if you asked Aston about his first memory, he would talk about a tragic night four years ago. Don’t listen to him : he is still too shocked to think to another thing than that peculiar night. His story could really begin twenty one years before, when he was nineteen, when his father Sam died, when his only family was his brother. His mother ? She died when he was six in a train accident. Why does his story really begun at his nineteen ? From that day when his father died, he decided to succeed Sam who was a fisherman and owned the boat. His brother, four years older, was making his medicine studies. What is following is a success story : Aston worked day and night. The night was on the boat and the day on the stock exchange. Aston had the same feeling to find and the fish and the good share. After two years, he didn’t come to fish anymore and stay on earth in order to administer the company. Finally, six years after the death of his father, at twenty five, he managed to have the first fishing company of England. Six months later, he married Emily, a girl he met during those posh cocktails where he liked to go. The success story still went on : he had a boy James then four years later a little girl Laureen. They were four and eight years old when Aston and Emily let them in the house under the surveillance of a babysitter to go to a reception.

But every success story has to end. Every ascent has to fall. And that night was the Fall. Even so the evening was perfect : they had talk their friends and Aston managed to find information for his business. It was during the way back home that things began to deteriorate. It was in the middle of the winter and the road was blocked : for two weeks, storms made the road dangerous and a car accident finally occurred. It was no more than three hundred meters from their house. During the last minutes of wait, Aston looked out the window and saw a strange shape that reminded him of the werewolf: animal’s legs and human’s torso. Surprised, he put that vision on the fact he had drunk a lot. But the creature had a harrowing fragrance of reality. Aston looked at his wife, she was gazing at the police cars, he looked around him staring at the people’s faces, nobody seemed to have seen anything. When they arrived in front of their house, they discovered another group of ambulances and car park. In the middle of all that flashing noise, they learned that there have been three victims whose one still alive but in a critical condition. Three days later the babysitters died at her turn. During those days, Aston was the only one who believed that her words ‘monster’ wasn’t the result of a dying woman’s delirium and he was also the only one not to believe the result of the police inquiry. He didn’t think that prowlers could have killed his children and let their dog devour them.

He had talked at his wife and the police about the creature but nobody seemed to believe him. He had too much alcohol on the blood that night. In the meantime, he tied to drown his sorrow in work. His company became the first in Western Europe and his marriage failed. Reduced to despair, his wife left him trying to forget her children. A strange idea came to Aston: he would prove that he had been right, punish the guilty, be reunited with his wife and make a fresh start. He began to search about similar stories. And then he discovered that if the normal police didn’t give any credit in his testimony about the werewolf others did. One morning, two policemen, or so he thought at that time, came in his home and told him the real facts. He was making too much trouble and risked to discover and to disperse unwisely the truth. One year after the drama, he had been revealed that zoanthrope exist and the policemen in front of him were in a special department. When they left, Aston had been offered a job in the ZI. A job that he refused a couple of day later and he began a politic campaign in order to seek the job of the law city council. Unfortunately, his opponent Robert Walpole won.

For a time, Aston seems to do nothing except developing his company. It now is the first breeder company with its own fabric of fish food and he had created some genetic research laboratories in order to create clones to restock the oceans. But it only seems that. Unofficially, Aston joined a group named Morrigan. If he doesn’t agree with all the project of killing humans, he sees that as a temporary solution of compromise until he cans apply some other solutions that are in preparation today.

Dossier médical

Nom & Prénom - Sinclair, Adel Ladislaz Brett
Sexe - Masculin voyons !
Âge - 29 ans
Traits physiques -

En un mot ? Noble. Il n'y a pas à dire mille ans de sélection soigneusement arrangée laisse des traces sur le physique. Ou l'attitude. Car plus que mes traits physiques qui sont beaux, à la limite du moyen d'ailleurs, c'est ma manière entière de me tenir qui me confère ma prestance habituelle. Enlevez d'ailleurs cette attitude et vous vous retrouverez avec un homme peu corpulent, peu physique, peu grand, plus habitué à tenir sur une chaise en train de signer des contrats qu'à courir le marathon. Par ailleurs, comme j'ai 29 ans, la pleine force de l'âge et j'ai dû m'endurcir un peu durant la préventive, ce qui fait que je suis un poil plus résistant qu'avant mais dans les limites aristocratiques tout de même.

Mes mains sont relativement petites, ce fut un désastre lorsqu'on essaya de m'enseigner le piano. Et elles sont souvent glacées, mauvaise circulation. La sélection laisse également des tares héréditaires.

Quant à mon visage, et bien, il est bien dessiné sauf le menton que je ne trouve pas assez masculin, trop rond pas assez carré. Mes lèvres ? C'est malheureusement ce que j'aime le moins chez moi. Un comble tout de même ! Moi ? Mal m'aimer ? A peine croyable mais pourtant véridique. Je n'aime pas mes lèvres. Je les trouve trop rouges et trop charnues. Même si Amy m'a dit que cette impression est seulement due à mes yeux, qu'il suffit que je les ferme pour qu'on oublie le contraste. Mais n'ayant jamais réussi à regarder mon reflet dans la glace les yeux fermés, j'ai du mal à me départir de cette sensation. Mes yeux sont effectivement bleus. D'un de ces bleu roi transperçant et transcendant. Autour de mon oeil droit on aperçoit ce que j'appelle des tâches de lait. Ces tâches presque blanches contrastent sur le reste de ma peau et de loin, font croire que je porte une cicatrice. J'ai appris à les aimer avec le temps.

Enfin mes cheveux sont presque blancs, plutôt blonds. Je les laisse généralement assez long mais j'ignore si je pourrais les garder ainsi : quelle sera la coupe réglementaire ?

Ah oui ! A mon oreille droite également, une boucle d'oreille. Il s'agit d'une perle qui nous a été offert dans le passé par sa majesté la Reine en remerciement de notre fidélité. Elle se transmet maintenant de chef de famille en chef de famille.

Taille - 1 m 68. Seul le fait que je me tienne toujours droit donne l'impression que je mesure bien dix centimètre de plus.
Poids - 72 kilos
Maladie ou handicap physique - N'ais je pas dit que j'avais quelques tares? A cause de mon pedigree ou de ma vie d'ailleurs. Je fais une allergie sévère à l'arachide. J'en ai par ailleurs développé la trouille des cacahuètes. Idiot mais j'ai failli mourir lorsque je me suis découvert cette allergie après avoir mangé une poignée de ces amuse gueules. Je souffre également de dacryocystite. Parfois douloureux et me rendant fiévreux, la principale conséquence est désormais que mes larmes coulent très facilement. Parfois utile souvent désavantageux, je remercie infiniment et ironiquement les drogues que m'ont injecté la famille.

Autres - Mes chevilles sont à toutes épreuves, j'ai plusieurs fois été blessés lors de mes entraînements d'aviron et de boxe. Les séquelles ne sont qu'internes.

Dossier psychologique

Qualités - Je suis moi. Je les ai toutes. Mais plus particulièrement certaines que je vais vous citer. Premièrement je suis un génie financier. Les chiffres, les mystères de la bourse n'ont plus aucun secret pour moi. Même les mauvaises langues sont forcées d'admettre cela. Ensuite, comme j'ai reçu une éducation des plus sévère et complètes, je maîtrise l'art de la politique, de la manipulation, le droit et plusieurs langues vivantes (comme l'anglais, le français, l'espéranto, le suédois, l'espagnol, le russe et l'allemand) ainsi que le latin et le grec ancien. Je maîtrise également la boxe et quelques techniques du combat de rue que j'ai appris en préventive. Apprendre vite et bien est presque inscrite dans mes gènes. Une de mes qualités : je suis décidé, lorsque j'ai quelque chose en tête, rien ne m'arrêtera, les autres doivent s'écarter ou se soumettre. Je travaille jusqu'à temps que se réalise mon objectif. Je sais très bien qu'elles sont mes priorités. Je sais très bien mentir et j'ai même assez d'imagination.

Défauts - Egocentrique ? Pas vraiment. Mais je ne suis pas n'importe qui. Hautain, altier, fier, orgueilleux, sont des termes qui sont souvent utilisé pour me décrire. Mais ce ne sont que des gueux jaloux et qui ne méritent même pas que je pose un regard sur eux. D'une manière générale, les autres ont tord et moi raison. S'ils n'aiment pas, qu'ils s'inclinent.

Je suis très directif et les choses doivent être faite convenablement suivant les règles. Mes règles si celles de l'Etat sont erronées. Il vaut mieux se soumettre ou se préparer à pire. Je ne transige que très rarement et uniquement pour la diplomatie en vue d'atteindre un but plus important. Certaines mauvaises langues disent que je suis étroit d'esprit. Ce sont elles qui ne savent pas où doit s'arrêter les choses correctes. Un autre défaut : je ne me connaît pas très bien moi-même. Il m'arrive à posteriori d'avoir des réactions dont je ne me serais pas douté. Cela arrive surtout concernant les raisons de ma colère. J'essaie d'être calme mais il m'arrive (trop) de m'énerver.

On dit de moi que je veux toujours avoir le dernier mot. Ce n'est pas tout à fait vrai : il arrive que je ne réponde pas, ou du moins seulement pas un mépris grandissant.

Enfin, certaines partisanes de la féminité disent que je suis machiste. C'est absolument faux ! Je suis seulement galant et je prend donc garde comme il se doit à ces jolies choses qui nous permettent d'avoir de la descendance et un peu de plaisir.

Aime - J'aime Amy mais si elle est morte, moi bien évidemment, j'apprécie la poésie et les langues. J'aime également l'Angleterre. Gare à ceux qui se permettent de mauvaises réflexions ! J'apprécie la bonne chère, le bon vin et les voitures de sport. Aussi étrange que cela puisse paraître, mis à part l'assassinat d'Amy, j'aimais ma vie. J'essaie de m'intéresser à tout.

N'aime pas - J'abhorre qu'on me prenne ou qu'on me traite comme ce que je ne suis pas : une personnalité plus qu'importante qui doit être respectée. Je déteste l'aviron, je n'ai que la trouille de me noyer. Je ne regarde pas la télé, cela me semble un loisir pour gueux. Je n'aime pas non plus l'idée qu'en ce moment, c'est conseil qui dirige la famille, conseil que je déteste également. Je déteste qu'on me donne des ordres (c'est moi qui les donne, non ?) même si n'oublions pas, je suis également diplomate lorsque je poursuis un objectif plus important. Je déteste qu'on me demande de faire quelque chose qui ne soit pas de mon rang.

Comportement avec les gens - mon comportement avec les gens est directement induit par l'objectif que j'ai avec eux. Suivant comment ils peuvent me servir. Mais d'une manière générale, j'ai été élevé pour la politique, je ne fuis donc pas les contacts, sauf lorsque de temps à autres il me prend une envie de solitude.

Maladie ou handicap mental - On peut rappeler ici que j'ai 'peur' des cacahuètes et également j'ai peur de la suffocation, l'idée de mourir noyé ou asphyxié m'est insupportable. Comment serais-je si cela se réalise ? Je n'en ai aucune idée et je ne tiens pas à l'apprendre.

Tics - J'hausse tellement le sourcil que l'on ne peut qu'avouer que c'est un tic. Moi-même je le dis, c'est pour vous dire !

Passé -

Mon passé ? Mon passé est si compliqué mais si simple à la fois. Pour vous le narrer remontons au début. Non pas jusqu'à Eve ni Adam. Quoique, je suis presque aussi important qu'eux.

Je suis né au Royaume-Uni dans le comté du West Midlands près de Birmingham dans le château familial. Pourquoi là et non pas à l'hôpital ? J'étais peut-être l'héritier de la famille, et tout héritier naît par tradition sur ses terres. Etant un mâle je fus effectivement héritier de la famille et mes parents ne virent pas la raison de procréer une fois encore. J'étais fils unique, seul dans une maison pleine de monde et vide de sentiments affectueux. Mon père, Lord Henry Sinclair, gérait les terres et la fortune de la famille tandis que ma mère, Sarah, gérait sa réputation. Pour ma part, avant mon entrée au collège, je fus élevé par des gouvernantes et éduqué par des précepteurs particuliers. Je fus ensuite envoyé à mes onze dans une école privée, l'une des plus renommées du royaume. Puis j'entrais finalement avec les honneurs à Oxford, première de mes écoles mixtes. Là, ce fut la révélation : j'y rencontrais Amy. Ce n'était pas un coup de foudre, l'image est trop classique, trop banale. C'était autre chose, nous n'étions pas fait l'un pour l'autre, nous étions l'autre. D'un seul regard nous pouvions discuter de philosophie, d'un seul souffle nous comprenions les mystères du monde. Mais cette liaison était vue d'un mauvais oeil par la Famille.

Si j'écris le terme famille avec un F majuscule, il ne s'agit pas là d'une erreur d'orthographe, pour qui me prenez-vous ? Il s'agit plus d'un concept. Nous étions parmi les plus vieux noms d'Europe et chaque chef de Famille avait pour charge de le transmettre, lui, notre patrimoine, nos titres et nos terres. Le chef de famille était aidé d'un conseil de soixante membres parmi les plus influents des Sinclair ou de personnalité importantes et nécessaires. Lorsque j'y annonçais que j'allais me fiancer avec Amy, cela fit un tollé. En tant qu'héritier, je devais avoir une femme qui m'aiderait dans ma tâche et ne dissoudrait pas notre sang. Ils m'avaient choisi dès mes cinq ans, une de mes cousines éloignée. Je n'avais aucune envie de me marier avec Grace : elle me semblait plus comme une soeur que comme une femme, et l'inceste était une insulte à Dieu. Mon argument ne fut reçu et je quittais le conseil dans un état de rage que je ne soupçonnait pas jusqu'à lors. Amy devint ma femme devant Dieu la semaine suivante. Nous avions vingt quatre ans et nous étions majeurs.

Deux semaines plus tard, alors que je rentrais dans notre appartement, je vis Amy, la gorge ensanglantée, étendue sur le sol entourée par deux hommes. Le premier se tourna vers moi. Je le reconnu, il se nommait Richard et avait été l'un des membres les moins favorable à ma décision. Je restais à contempler la scène, complètement tétanisé. J'entendis sa voix retentir :

"Voilà Adel, comme ça, tu ne t'éloignera pas de la famille.
- Richard... C'était ma femme !
- Nous t'avions dit de ne pas te marier avec elle. Mais maintenant le problème est réglé.
- Pourquoi ? Comment ? 'J’avais la voix cassée
- Le conseil a prononcé la sentence.
- Quoi ? Combien ?
- Tous. Oublie-la Adel. Grace t'attend depuis vingt ans."

Et je le vis décocher un coup de pied à ma bien aimée. Je cru l'entendre prononcer mon nom et voir une lueur dans ses pupilles s'éteindre. Je me jetais vers elle, espérant follement que je pouvais la sauver. Mais Richard et son acolyte m'attrapèrent et avant que je ne puisse me dégager, je sentis une piqûre dans mon cou. Le monde devant moi noircissait et je m'écroulais regardant le visage morbide de mon autre moi-même. La scène devenait floue. Mon univers le resta durant six mois. Durant six mois je fus drogué. Mon anniversaire se passait une autre semaine après l'assassinat. Je devais prendre officiellement le contrôle de la famille sous la tutelle de mon père et du conseil. Ils savaient pertinemment que je n'aurais pas accepté cela. Durant six mois mon esprit fut emprisonné dans une prison chimique. Une fois, je repris conscience, c'était au beau milieu d'un conseil d'administration d'une des entreprises que je détenais désormais. Mais bien vite, on me drogua à nouveau. Il me fallu six mois pour que mon corps s'habitue et combatte la drogue.

Ce matin là, le château n'était peuplé que des domestiques. Ils étaient ignorants de la situation et ce fut l'erreur de mes géniteurs. Ces employés m'aidèrent à me sortir de cet état semi comateux qui me torturait. Certes, ils ne me firent qu'un café mais comme j'ignorais et j'ignore encore comment en faire un, je leur en fus extrêmement gré. Le lendemain, un visiteur impromptu s'annonça. Richard. J'ordonnais qu'on le fasse entrer puis les congédiait. Je menais ainsi seul Richard jusqu'aux cachots. C'était l'avantage lorsque le manoir était aussi millénaire que la famille. Je haïssais cette bête, je ne pouvais plus le qualifier d'homme et pourtant ce fut l'un des plus chanceux. Ce fut le premier être que je torturais. J'étais trop inexpériencé et il mourut rapidement. Je décidais alors de faire subir à chacun des membres du conseil la sentence qu'ils avaient voté à l'encontre d'Amy. Oncles, tantes, grands parents, cousins, neveux, père et mère. Tous mourraient. Je torturais systématiquement les hommes et je laissais le choix de la mort aux femmes. Les vingt premiers furent faciles. La suite s'avéra plus ardue. Mon génie financier qui me servait à faire prospérer mon empire, me servit également à payer des informateurs. J'ignorais l'identité de beaucoup de membres, leur localisation ou simplement, il me fallait désormais faire attention à ne pas laisser la police faire un lien entre eux et moi. OU tout du moins, le moins possible. En effet, plusieurs fois des policiers vinrent mais peu continuèrent leur enquête. Aucun à vrai dire. Les ordres émanaient d'en haut : moi.

Après localisation, certaines personnes étaient faciles d'accès. L'une vraiment me donna du fil à retordre. Il s'agissait d'un parent éloigné sous la protection d'un dictateur africain. Un dictateur qui avait la malchance pour moi d'être dans un gouvernement stable dû à un peuple paisible et à peu près prospère. Je ne pourrais l'atteindre que si le chef d'état tombait. Malgré mes habilités, je me savais incapable de mettre à exécution le plan le moins risqué pour moi, aussi j'engageais le meilleur hacker qui puisse exister. Tandis que de mon côté, je m'arrangeais pour déstabiliser la monnaie de ce pays, lui falsifia les comptes. Au bout de trois mois, l'Etat, les entreprises publiques et 90 % des entreprises privées déclaraient cessation de paiement et licenciait leur personnel. La pauvreté se répandit, des insurrections commencèrent, une guerre civile se mit en place, des vieilles rivalités furent déterrées, des milliers de morts se produisirent pendant que des centaines de familles de réfugiés marchaient sur les routes. J'attendais mon heure et le gouvernement tomba. Je pris un billet d'avion pour l'Etat voisin où je savais qu'irait se réfugier ce parent. Il disparu officiellement de la circulation. Officieusement, il mis 27 heures à disparaître. Ma technique s'était améliorée et ma haine ne faiblissait pas. Je retournais en Angleterre après avoir au passage décroché un contrat dans ce pays ce qui me permettait d'avoir un alibi et je continuais ma vendetta.

Tout se passait bien ou presque. J'appris qu'une enquête avait été ouverte par l'ONU sur les événements que j'avais provoqué. Je connaissais le conseiller permanent du royaume uni. Malheureusement, je n'avais pas le même pouvoir au niveau international que national. Je pensais être à peu près à l'abri lorsqu'il s'avéra que ce maudit hacker avait laissé une trace qui permit de remonter jusqu'à lui et ensuite jusqu'à moi. Je fus arrêté et tous les dossiers ressortis. Après quelques mois de prison préventive, je fus emmené à la cour pénale internationale de la Haye et condamné à perpétuité. Retenu en prison sans que je ne puisse terminer ma vengeance. Cette prison ne me verra pas mourir.

Autres -

Croyant (et surtout quand ça l'arrange) mais peu pratiquant
Objectif : s'évader, continuer sa vengeance et reprendre le contrôle de la famille

Dossier criminel

Crime(s) commit(s) - 48 meurtres dont 32 avec tortures ; crime contre la paix
Matricule - 000 002
Rang - Maître gentleman
No. de cellule -
Personnage sur l'avatar - aucune idée

I Carte d'identité

Nom : Fubuki
Prénom : Kayal
Âge : 32 ans
Sexe : masculin
Classe sociale : classe moyenne
Métier : bibliothécaire et rentier mais il a des "activités" annexes
lieu d'habitation : dispose d'une maison à Antasya, néanmoins lorsqu'il va à Masta Flown, il réserve toujours dans le même hôtel à tel point qu'on pourrait croire qu'il loue tout le temps la chambre.

II Personnalité et histoire

Caractère : Kayal fait preuve d'une cordialité mitigée à l'égard des gens. Pour certains il aimera beaucoup passer du temps en leur compagnie pour d'autre absolument pas. Cependant s'il est question de leur soutirer quelque chose -une faveur, un renseignement ou autre, il oublie qu'il ne les aime pas et pense d'abord à ses objectif. Il peut agir de même avec d'autres choses, où même s'il n'aime pas il le fera parce que c'est nécessaire, en cela, il peut faire preuve d'un certain sacrifice de soi.

Kayal est assez émotionellement influencable et ses doutes, ses peurs et ses envies se lisent assez facilement sur son visage. Pour cela il a du mal à mentir. Dans un autre sens, comme il dispose d'une assez grande aura, qu'il a un caractère de leader et d'aucun problème pour transgresser les lois morales ou publiques, il est assez dangereux lorsqu'on le trahit. A ce moment là il est rancunier et impitoyable.

D'autre part, il suffit de le toucher -émotionnellement parlant- pour qu'il baisse un peu trop facilement sa garde. Il devient alors très vulnérable -physiquement et emotionnellement parlant cette fois. Dans ce cas, il est lui-même assez manipulable surtout qu'il écoute souvent les conseils de ses lieutenants -du moins, autant qu'il est possible.

Qualités : patient, rusé, intelligent, n'est pas franchement colérique. Peut penser d'abord à ce qu'il doit faire avant de faire ce qu'il lui plaît, il peut ainsi faire preuve d'un assez grand oubli de soi-même au profit des autres. Il cherchera d'abord à regler un conflit pacifiquement, têtu, il sait s'entourer de gens compétents.

Défauts : calculateur, manipulateur, égoïste dans le sens où il n'aura aucun scrupule pour atteindre ses objectifs. Indifférent. Il se fiche des lois et a des idées parfois un peu mafiosies. Gourmand. Il est aussi quelques foi assez empoté et naïf. Il est assez hautain et méprisant. Il a parfois tendance à ne pas toujours écouter les conseils de ses lieutenant, notamment au niveau de sa garde personnelle, ce qui lui amène souvent quelques ennuis.

Goûts : lire et apprendre, aime beaucoup s'adonner aux péchés capitaux : gourmandise, luxure. Il aime également le pouvoir, l'argent, le luxe. Il adore manger - et il craque littéralement devant de la patisserie.
Dégoûts : déteste qu'on lui rapelle ses origines paysannes, déteste la pauvreté et le malheur (enfin surtout le sien), déteste qu'on lui mette des bâtons dans les roues. déteste aller à la messe mais il s'y trouve bien obligé pour conserver les apparences.
Compétences : Kayal est bon en magie (noire plus particulièrement). Il maîtrise également quelques drogues qui lui paraissent utiles. On lui a appris quelques petits trucs de la rue et il s'y connaît en étiquette.

Objectif : Kayal cherche à prendre le pouvoir à Tang Crisis aussi bien le pouvoir public que les triades

Histoire : Kayal est né tout ce qu'il y a de plus simplement dans son village. Pas de prophéties bizarroïdes ou tout autre truc étrange. Il a grandit assez simplement en aidant ses parents qui étaient fermiers. Mais la travail de la terre n'était pas vraiment ce qui l'interressait alors dès qu'il le pouvait, il allait vagabonder dans la nature. Un jour, alors qu'il visita une partie de la campagne environnante qui lui était inconnue, il se retrouva face à une petite cahute. Intrigué, il entra et découvrit une vieille femme dedans. Il lui sembla qu'il s'agissait de la Sorcière dont on parlait tant dans les environs. Un peu impressionné de voir cette femme qui ressemblait tant aux sorcières et enchanteresses des contes locaux et qui jouissait d'une si sombre réputation, Kayal resta coit jusqu'à ce que la vieille dame l'interpelle. Elle le questionna, il répondit et ainsi de suite. Il resta toute l'arpès midi et revint souvent. Après quelques temps au bout duquel Kayal commença à considérer la femme comme sa grand-mère celle ci décida de lui apprendre tout ce qu'elle savait, à commencer par la lecture.

Kayal commença donc à s'intruire, à lire les livres, à découvrir qu'il y avaient d'autres lieux ailleurs que sa campagne, à découvrir qu'il y avait d'autres forces en puissance que celles qu'il connaissait. Il commença à apprendre des remèdes de grand mère, des charmes et des filtres. Plus il s'instruisait plus il avait envie de tout connaître et plus il méprisait les habitants du village. Aussi plus il connaissait la grand mère, plus il se séparait de ses parents. Il ne les détestait pas, il les méprisait. Aussi, un jour de ses 14 ans, il finit par quitter définitivement son village et alla s'installer chez la grand-mère.

Maintenant qu'il ne travaillait plus aux champs, Kayal grandit en finesse et en agilité et non pas en force et en muscle. Il se laissa pousser les cheveux pour se distinguer à tout prix des paysans comme ses parents. Par ailleurs, sa vue commença à baisser et il commença à mettre des lunettes. Lorsque Kayal eut fini d'apprendre tous les charmes et toutes les potions de la grand-mère, celle ci lui montra alors un autre livre qu'il n'avait jamais vu avant : sorts et charmes de magie noire, niveau élémentaire. Kayal s'y essaya et l'appel des démons, la puissance qu'il lui donnait le grisa. Il eut bientôt appris tout le grimoire et eut envie d'apprendre de nouveaux sorts plus puissants.

Il quitta donc de nouveau son foyer et décida d'aller directement là où il pourrait trouver ce qui l'interressait : Antasya. Il se trouva un appartement qu'il loua avec les économies que les gens avait bien voulu lui donner (aidés il est vrai par la présence d'un démon aux côtés de Kayal) et fut engagé dans la bibliothèque de la ville. Bibliothèque immense où il pouvait lire tout son saoûl et jusqu'à plus soif.

Après avoir trouvé une première chambre, Kayal a recherché un lieu qui lui convenait : un peu ancien et mystique. C'est ainsi qu'il a trouvé coincé entre deux artères, une vieille rue gorgée de manoirs et de bâtisses particulièrement luxueuses. Il se trouva que quelques jours après cette découverte, un habitant mourru de mort violente et il légua ce qu'il possédait, outre sa maison une considérable somme d'argent, à un inconnu de la famille. Ceux ci protestèrent mais se turent bien vite. Le nouveau venu, nommé Kayal Fubuki, se trouvait très soudainement être très sympathique.

Un jour, Kayal se disputa avec un propriétaire d'un auberge. Kayal invoqua quelques petits monstres et autre et fiinalement récupéra le certificat de propriété du lieu. L'ancien propriétaire fut rétrogradé au rang de gérant. Sauf que Kayal était tombé sur une taverne dont le commerce principal ne provenait pas de la vente de boissons mais de celui de drogue. Lorsqu'il le découvrit quelques semaines plus tard, le gérant fut congédié au fin fond des eaux du fleuve et son second reprit sa place tandis que le petit commerce reprenait cette fois ci au profit de Kayal.

Le jeune homme étant désormais à la tête d'une petite bande de contrebandiers et appréciant les avantages que cela lui apportait, il décida de diversifier ses activités. Ils commenca d'abord par reprendre le contrôle d'une autre série d'auberges et de commerces en tout genre qui permettaient ainsi de sécurité le flux de marchandises dans la ville. Kayal a étendu ses activités aux armes, jeux, services divers, prostitué(e)s et esclaves. Son contrôle de la ville est devenu assez important et les relations entre les différents mouvements sont désormais assez tendues, notamment avec son concurrent numéro 1 : Tagakami. Kayal a éprouvé à un certain moment des difficultées à justifier ses revenus auprès des forces publiques.

A partir de ce moment là, après un contrôle fiscal où il ne fut pas redressé in extremis -ou plutôt grâce à l'aide in extremis d'une certaine drogue hallucinatoire, Kayal a officialisé la possession de certaines de ses auberges en "réachetant" publiquement ses propriétés dont l'argent venaient officiellement d'un ticket de loto -lui-même acheté au véritable gagnant. Désormais, il n'a plus besoin de travailler, pouvant vivre oficiellement confortablement sur ses rentes. Bien qu'il reste bibliothécaire, cela est considéré comme une excentricité par les connaissances de la haute société qu'il fréquente désormais. Dans la pratique, la bibliothèque de Antasya est un bâtiment très ancien comportant de nombreux passages et de nombreuses caches qu'il a redécouvert, fais aménager et il s'agit plus ou moins de sa base. Sans compter son affinité pour les livres.

Il continue désormais ses affaires, essaie d'étendre son pouvoir underground et commence à réfléchir au moyen de prendre possession du pouvoir royal. Pour accéder à cette partie de la haute société qu'il ne peut pour l'instant pas fréquenter parce qu'il n'est lui-même pas noble, il est en train de négocier pour acheter un titre de baron.

III Physique

Portrait :



Taille : 1 m 67
Corpulence : 66 kg. Elancé, s'il n'est pas très musclé cela a l'avantage qu'il n'a pas de poids inutile. IL est même un peu trop léger et petit.
Cheveux : blond très clairs, long, lui arrivant au milieu du dos
Yeux : bleus
Vêtements : chemise et cravate blanche, gilet et manteau rouge bordeau, broderies du gilet, monture de lunettes et épingle à cravate mais il change facilement de style du moment que ça a la classe.
remarque : grain de beauté sous l'oeil gauche.
Lien vers la galerie : La Fubuki Galerie Compagnie


Autre :

Kayal n'a aucun sens de l'orientation et se perd tout le temps.
Il aura toujours un morceau de craie sur lui ainsi qu'une dague (il en a plusieurs qu'il change).

Nom: Dupont

Prénom: Robert Alain

Âge: 19 ans.

Caractère: Robert mériterait presque une entrée dans le dictionnaire pour définir Robert. Mais en résumant, nous pourrions trouver les mots suivants : c'est un faible ayant très facilement les larmes aux yeux ou sur les joues, sans force aucune, nerveux, peureux et lâche. Il a donc tendance à fuir et partir en courant. Il a peur d'un peu de tout avec particulièrement sa mort, se faire frapper. Il est pessimiste et se lamente pour un rien. Il est très supersticieux. Robert est également gaffeur dans le sens où il dit sans le vouloir des choses aux autres qu'il aurait mieux valu qu'il taise. Mais à toujours la fuir, il ne sait pas très bien se comporter en société et en dit trop ou pas assez. Il est parfois très timide, parfois beaucoup moins.

Dans un sens, il pourrait être un animal de compagnie, il est très calin, sait passer de longues heures sans rien dire. Il faut avouer qu'il a un langage corporel très expressif ce qui lui permet parfois de ne pas parler pendant de longs moments et de se faire comprendre quand même. Il est assez serviable, il cherche quelque part la reconnaissance des autres, c'est pour ça qu'il n'arrive pas à détester qui que ce soit -il faut dire qu'il est également assez pacifiste et ne comprend pas la violence..

Élément: bon courage !

Arme: Tout objet lui passant sous la main. (ex : bâtons, soupière, chaise, chat, tomate) De toute manière, il en aurait eu une qu'il se la serait fait voler. Il faut cependant noter qu'il se bat très bien à mains nues en utilisant le Zui Quan -à condition qu'il soit saoûl.

Classe maitrisée: Sentinelle

Classe secondaire: Invocateur

Physique: S'il a dix neuf ans, Robert parait aussi chétif qu'un gamin de treize ans bien qu'il ait la taille (1m55) et le poids (52 kilos). Il ne paraît jamais respirer la fraicheur : il a le cheveu gras, la tignasse moribonde, le muscle maigre, la graisse abondante et la peau terne. D'ailleurs, côté intestinal, il n'y a aucune fraîcheur : il a une tendance à avoir des diarrhées aïgues mais ne l'a jamais vraiment avoué à quiconque. S'il part en courant, c'est souvent pour ça. Côtés vêtements, il s'habille généralement avec des T-shirt et des baggys. On notera qu'il a tendance à perdre sa chaussure gauche en courant ou en marchant.

Grade: Élève ou Professeur. (si vous souhaitez être professeur, allez voir comment faire dans les règles.

Familier: La Chaussette.

La Chaussette a toute une histoire. En réalité, ce n'est pas le familier de naissance de Robert. Son famillier était une blatte qu'il avait nommé Fifi. Il aimait beaucoup sa blatte et l'emmenait partout avec lui ! [remake de la petite maison sur la prairie en cours] Mais un jour qu'il avait 7 ans et qu'il courait dans les champs pour prévenir monsieur Ingalls, son voisin, que sa chèvre s'était échapée ! (ô malheur) il fut stoppé net par ce qui s'avéra être le postérieur d'un mage. Mais dans le choc, la blatte tomba à terre. Alors que Robert se mettait à quatre pattes pour ramasser Fifi et tendait la main pour la saisir délicatement par le pronotum, le mage se retourna vivement et lui écrasa la main avec son pied pour lui apprendre à vivre. Il apprit également la mort à Robert qui se retrouva avec de la bouillie de Fifi sur la paume des mains. Pleurant à qui mieux mieux, il s'enfuit précipitament en tenant son poignet avec l'autre main et décida de ne plus jamais se laver la main en souvenir de Fifi.

La résolution ne put tenir quinze jours et les coups de pieds au cul de sa fermière de mère. La main fut lavé et le coeur blessé reporta son affection sur une vieille chaussette bleue au bout reprisé de vert qu'il avait trouvé. Elle devint ce jour là : la Chaussette. Il gardait toujours sa chaussette avec lui et l'emmenait en la calant dans une de ses poches. Généralement un bout en dépassait car la chaussette était plus volumineuse que la poche.

Cependant, vers ses treize ans -où il n'en paraissait toujours que huit- il rencontra à nouveau le mage qui devait avoir les fesses sensibles et était manifestement doté d'une excellente mémoire. Rancunier, ce dernier avisa la Chaussette et lui jeta un sort lorsque Robert eu le dos tourné. Depuis, dès que la Chaussette en a envie, elle s'anime et se met à jouer des mauvais tours à Robert. Car il ne faut pas croire ! En plus de la doté d'intelligence, le mage a donné à la Chaussette le pouvoir de léviter, de communiquer par télépathie généralement avec les meubles et les animaux plus rarement avec les humains et enfin de pouvoir allonger et mouvoir les quelques brins de laine qui dépassent de la reprise de la Chaussette, comme s'ils étaient ses tentacules.

Histoire:

- Comment parler de l'histoire, de l'enfance de Robert ? Il y a tant et rien à dire à la fois. Alors peut-être pourrions nous commencer par le début ? Alors donc, il était une fois...
- Non, non, non ! Il était une fois, c'est pour les contes de fées, de princes et de princesses ! Pour ce qui est beau, ce qui est mignon, ce qui est gracile et doux ! Ce qui est fort et courageux ! Là, on se retrouve avec...Robert.
- Tu crois ?
- Oui, là on a tout sauf un prince.
- Mmmmh. En effet, je reprend donc.
- Oui, c'est mieux.
- Alors, Robert. Robert est né sans trompette ni bonne fée,
- là, c'est mieux !
- Dans un petit village perdu dans la campage.
- Un trou ! Il est né dans un trou ! Mais à un point ! Tu vois un puit dans la route, il faut que tu creuses encore et encore et encore pour te donner l'idée du trou ! Dis mètres de profondeur, c'est pas suffisant ! PLuis campagnard que ça, tu crèves !
- Et donc, il fut élevé à la campagne parmi sa famille de fermiers.
- On se demande d'ailleurs toujours comment il a survécu. Il n'aurait pas pu tenir dix jours !
- Il est vrai que Robert fut toujours un enfant malingre et chétif,
- Et une tête à claque ! On ne s'en est pas privé d'ailleurs.
- Mais son enfance ne fut pas malheureuse ! Il garde toujours le sourire !
- Et son esprit supplie à ces moments là 'me frappe pas', t'es vraiment naïve, l'angelette. en plus, ça a raté, il donne encore plus envie de le maltraiter quand il sourit. D'ailleurs, tu te souviens à ses neuf ans ? Lorsqu'une bande de soudards arriva ?
- Oh mon Dieu, oui.
- Ce mioche est un aimant à baffes.
- Suite à cet épisode, il devint un peu plus le Robert qu'on connait aujourd'hui.
- Oui, de tête à claque il est passé à souffre-douleur.
- Ce n'est pas là la question.
- Bin si.
- Non ! Ce fut à partir de ce moment là qu'il commença à éviter les travaux de la ferme afin d'aller étudier chez les moines des environs. Il apprit ainsi à lire et à écrire ! C'était merveilleux, il se plongea dans les grimoires.
- Tandis que d'autres le plongeaient dans le lac.
- Et il arrivait à faire les plus belles enluminures de tout le monastère
- C'était soit ce paiement là soit l'autre pour dédommager les moines des enseignements qu'il lui donnaient. Bien évidement qu'il a choisi de dessiner des machins inutiles sur des morceaux de parchemins.
- Que tu es mauvaise langue !
- Que tu es niaise. Continue à raconter l'histoire plutôt : il y a l'admin et les membres qui veulent savoir la suite.
- Mmf ! C'est bien pour eux ! Parce que,
- Parce que moi je connais déjà l'histoire. Hey, hey ! Saute le passage chez les robes de bure et va tout de suite à cette épisode lors de ses douze ans !
- Oh c'est affreux !
- Ouais mais c'est... Robert dans toute sa splendeur.
- Certe. Alors un jour, à la foire de la Saint Jean, Robert participa à la loterie et il s'avéra qu'il avait gagné ! Alors ses amis,
- T'as une drôle de conception de l'amitié, toi !
- Ses amis, l'invitèrent donc à fêter ça en l'invitant à étancher sa soif à l'auberge du Marais. Malheureusement, il but un petit peu de trop et,
- Ils le bourrèrent en un mot. Robert devint rond comme une queue de poële en moins de temps qu'il ne faut pour avaler leur eau-de-vie à la framboise. Et puis là, ils lui piquèrent son ticket et s'enfuirent avec. Continue.
- Désespéré, Robert déambula
- Tituba.
- Déambula dans les rues du village. C'est là qu'il rencontra Marguerite. Mais son désespoir se mua petit à petit en colère et il se mit à frapper la jeune fille, la laissant assommé.
- Ce fut lui qui se fit assommer le lendemain par le père de la gueuze et par la nouvelle. Faut dire qu'il avait tout oublié, comme à chaque fois qu'il ingurgite une goutte d'alcool.
- Il aimait Marguerite de toute son coeur depuis son enfance ! Elle était la seule à ne pas le rudoyer.
- Ensuite, elle prit la tête du club.
- Bref. Depuis ce jour là, Robert évita toujours de boire. La vie continuait tant bien que mal
- Surtout mal pour lui.
- Jusqu'à ce jour fatidique de ces dix neuf ans. Pour fêter son anniversaire, on lui offrit de boire un peu.
- On le forca à boire pour s'en moquer, nuance. Et une fois qu'il fut bourré on s'amusa bien.
- En effet, l'alcool faisait délirer ce pauvre Robert !
- Délire ? Tu parles ! Il disait toute la vérité : ce pays est pourri, les troupes pillent pour le compte des riches, faut pendre les notables jusqu'au dernier ! Voilà ce qu'il a dit ! Avec courage ! Pour une fois !
- Oui, il a des attitudes un peu bizarre quand il est ivre. Mais ce qu'il ne savait pas, c'est que dans la salle se trouvaient deux voyageurs qui n'étaient rien de moins que des traitres à la solde des rebelles !
- Comment ça des traitres ?
- Et alors des guardes qui avaient été prévenus des paroles de Robert arrivèrent. Et un miracle se produisit !
- Les miracles, ça n'est que pour les bonnes consciences. Il se passa juste qu'on découvrit que Robert est un maître dans le Zui Quan. Et qu'il envoya du haut de ses trois pommes, deux gardes à l'hôpital en se faisant à peine botter le cul.
- Effrayés, les habitants le laissèrent dessaoûler et, dès qu'il fut sobre et innofensif, il fut jugé par le tribunal du village.
- Condamné à l'exil. La belle affaire.
- Le matin où il devait quitter son village natal, il reçut une étrange missive lui signalant l'existance d'un refuge. On le mandait, on avait besoin de lui ! Son coeur était rempli de joie et de courage.
- Et il pleurait. Lui, il aurait voulu rester dans son trou avec ses vaches et ses cochons.
- Il n'empêche que c'est en arrivant dans cette école, qu'il connu le coup de foudre !
- Ouais, avec Tibarian. Mais tais-toi, ils ne le savent pas encore, t'es cruche toi aussi."


Divers :

Il a lu beaucoup de livres et dispose d'une connaissance très importante. Ainsi que d'un certain sens logique et pratique.
Il est imbattable au jeu de dames et aux petits cheveaux.
Un de ses gestes favori est de lever les yeux au ciel, les mains secouées à hauteur des joues et de murmurer des paroles de prière.
Il rafole des trucs visqueux et gluants
Il sait très bien esquiver les projectiles mais pas les baffes.
Il évite de boire de l'alcool (et ignore qu'il maîtrise le Zui Quan)
Il en a marre de s'entendre dire "mais bon sang remue-toi t'es un homme maintenant !" et à tendance à partir en se cachant les mains dans les yeux et en pleurant.
Il ne craint pas le froid.

Full Name: Christopher "Chris" Tom O'Donnel

Power: Animorphism

Age:17 and two months

Social level : rich

Physical Appearance: Chris is a muscled young man but it's not very easy to see. His look often depends of his mind. Now, he has a little beard and short hair

Eye colour : blue
hair colour : brown
skin colour : suntanned
height : 1meter 78 cm (sorry I'm used to metric system)
Weight : 78 kilos
Particular sign : he has a gold earring

Few photos :
http://www.gerardbutler.zoomshare.com/my_images/gerard-butler-pics-001.jpg
http://www.hellomagazine.com/celebrities/specials/grandfinalemen05/fotos/gerard-butler.jpg
http://handson.provocateuse.com/images/photos/gerard_butler_02.jpg


History: Christopher is born in France at Paris. His mother is French and his father is an English ambassador. When he was four years-old, his parents moved to the English embassy of Roma. As every little boy, he grew up with friends, hating school and loving to play in the Italians streets. As he was too often outside, he hadn't good marks. And so, his parents sent him in an English boarding school. There he did not like at all the classes and the weather. He ran away regularly and stayed in the narrowed streets of the nearest town where he learned the hardest lessons of the life. He has been part of a group where he tasted the joys of the liberty and the difficulties of an empty stomach... Each time, the police caught him and he was again send to that school. After a runaway of eight months long and a ticket back to the hated school, his parents come to visit him. After the first real talk in their life, Chris' parents understood that he was not in the good place for him... He came back to his parent house, in Paris where they moved in the meantime. He was fifteen now. He was learning in a Parisian college enjoying the gentles pleasures of the teenagers life. He was very popular with the girl and more or less with the boys, but his knowledge in fights often force the other to be quiet. Well, in a word he was the king of his world. Time to time, he couldn't prevent himself to leave the apartment for one day or two tasting another time the Liberty. But now he pinned a word on the fridge for his family : that was a part of the deal with his parents.

Once, he was running away since two days and he was walking in the streets of the north of Paris. It was early in the night. He heard a loud noise and a scream. And, just turning the corner of the street, he saw all the scene : a man was hit by three men. Christopher couldn't move a muscle. he had already seen such scenes but now, it was of an huge cruelty, there were nearly torturing that guy. he was looking at that scene and then all came black.

When he woke up, he was lying on the cold and wet street. He saw two feet and behind them the guy who has been hit. He was now on his knees, crying of pain, fear and despair. There was now four men around him. He heard a door bang and a car starting. Now the man was begging for his life but one of the man came behind him, pulled his head back and took a knife. The poor guy only had the time to close his eyes and had the throat cutted of. In a slow motion Christopher saw his dead body fall on the floor. He understood that if he stayed here he would die. Now, the murderers came to him...

Chris jump on his feet and run away. He run as fast as he could but it wasn't as fast and he didn't know this part of the capital... At a moment, he stop and hide between dustbins and trash. He heard the men asking each other if they didn't have seen Christopher. He heard them looking for him. Chris was terrified. He saw a cockroach near him and he couldn't help him to tell to that insect that he would do anything to be as little as him... And strangely, Chris saw the dustbins grow and grow and the cockroach also and everything around him. At the end, the other insect was as big as Christopher. This one came to identify Chris in its animal way of doing and because he didn't recognize Chris, it attacked ! Christopher run out the bins as fast as he could with all the new legs he had but the other animal followed him. Soon, Christopher heard a fantastic crash and looked back. The bug had been crushed by the shoe of one the men who was looking for him. Christopher went into a tiny place and waited for the men to go every else where. After a very long time for him, they stop looking for him. Christopher waited a little again and came out the place where he was hiding. The morning sun was hurting him and he had the idea to wish to coma back into a boy again. What he did. He only had one idea in mind : tell everything to his father. He look at the name of the street where he was, then went to the nearest train station and bought a ticket. After a moment, he went out and run toward the English embassy. He came in and met his father. He told everything he saw or feel. Even the bug event.

Before they came to the police, the father ask the promise to his son that he would never told of his capacity to anyone. Chris promised and then they went to the police.

the life carry on for Chris for a few weeks where he trained to transform. But since that first time he never could transform again. Then, his father sent him in a special school in the south of France.

Personality: Chris loves the liberty and the feeling that nothing is behind him telling him what he has to do. He doesn't have any difficulties to make friends and he is very social. he doesn't like to tell anyone his past. He would speak of few anecdotes but no more. It confers to him a dark side. But in other sides, he keep his childish soul : he can be naïve and loves to make jokes. He can easily fight if someone said a wrong thing to him. But he can also tell very important things seriously, his childhood in the street had made him very mature even if he doesn't show a lot this trait . Well, in a word Chris is a teenager who doesn't expose his past and his maturity.

Weakness : Chris can’t bear to be locked up. That fear had evolved to a kind of claustrophobia. He can stay in a little place with no problem but if he can’t go out to any place (like if he is in a locked place or even a room with someone voluntary obstructing the way) he will panic or become aggressive.

Hobbies:
-What he loves to do his to go out during a few days and tasting the Liberty. So in that way, he also loves to walk and to make tracking. He likes also to be alone thinking and contemplating the nature and for that he stays in the most strange places.
-He likes to fight so he is a member of different fighting clubs as boxes, kali or fencing. But he is very sportive teenager and he can do nearly all sorts of sports while it's not a team sport as rugby or soccer. He particularly likes horse riding, skiing and car piloting but only when he is at a great speed (liberty feeling always)
-Another hobbies is cooking. Nobody knows where he learnt to cook or to enjoy cooking but he is a real "chef".
-He also like to play chess even he is a beginner in this art. More generally, all cards games or every other games...


Abilities : due to the part of his life where he was in the street, he had learn the street way of fighting. He has also learn how to burglar a house, to steel a passer by... He has a great talent for being a pickpocket.
He is fluent in English, Italian and French.
He also is very intelligent but doesn't often show it

Family:
His father : Mike. He is an ambassador. He loves his children and his son is his preferred one.
His mother : Marie. She is working as designer in Peugeot company. She had met Mike in a meeting with the french/english relations in the car industry. She also love her children but has difficulties to understand Christopher.
His older sister : Jeanne. She has already finished her studies of accounting. She is engaged to Paul a school classmate.
His younger sister : Angela. She is leaning in a college.

Chris loves his family even if he doesn't show too much affection to them.(that why I don't talk about them in his story.) But they are not dupe and knows very well what he thinks about them.

Additional Info: This is a point that I would like to tell you. Me, the gamer, I am a French guy. I'm coming here to improve my English, so if you find I'm making to much errors just tell me and I will correct. OK ? Thanks a lot

Personality in avatar : Gerard Butler

¤ Nom : Smith
¤ Prénom : Adam
¤ Surnom : Beaucoup. Entre autres : la femmelette, la pute de la directrice, « Hey toi ! » et le Carpocapse.
¤ Sexe : Masculin (et oui !)
¤ Âge : 31 ans
¤ Nationalité : Américaine
¤ Ethnie : Irlandaise
¤ Classe sociale : Moyenne.

¤ Nom du Pouvoir : Fabulakinésie (nom trouvé par Adam lui-même) sinon cela serait bêtement ‘création et maîtrise de créatures fabuleuses'.
¤ Effet(s) : Adam peut faire apparaître des créatures de conte de fée, de légendes et de fables et en prendre le contrôle
¤ Limite(s) et Faiblesse(s) :Lorsque son pouvoir est activé, Adam ne peut bouger comme complètement tétanisé. Par ailleurs, il ne peut pas inventer de créatures totalement sorties de son imagination ou de créatures qui n’ont pas été mentionnées dans ces histoires. Il ne peut pas matérialiser des créatures mentionnées dans les romans modernes (à partir des années 1900 grosso modo). Ainsi tout ce qui est Tolkien lui est interdit par exemple. Enfin, il ne peut pas contrôler un nombre infini de créatures à moins qu’elles n’aient un esprit de groupe, comme les fourmis par exemple, en ce cas, il les contrôle comme étant une seule entité.

¤ Nom du Pouvoir : La Saloperie. (nom également donné par Adam)
¤ Effet(s) : Lorsqu’il éternue, d’immenses ailes apparaissent dans son dos et deux bulles de savon lui sortent par les oreilles.
¤ Limite(s) et Faiblesse(s) : Tout : selon lui, ce pouvoir n’a aucune autre utilité que de le désigner clairement comme un mutant et de lui foutre la honte.

¤ Position : Il considère tout simplement que les humains n’ont plus aucun droit à être encore sur cette terre et devraient disparaître. Bien sur, il va les laisser vivre. Mais s’il peut les aider à passer l’arme à gauche, il le fera avec plaisir. Quant aux académiciens, il ignore s’il doit les tuer tout aussi purement et simplement que les humains ou bien essayer de leur faire entendre la voix de la raison, sa raison. Cela dépend donc des circonstances et de son humeur.

¤ Histoire : Adam est né au Bronx dans l'hôpital local. Il est le cadet de sept minutes par rapport à sa soeur jumelle. Ils grandirent ensemble, se soutenant mutuellement par rapport à leurs parents. En effet, leur père était d'un naturel très violent et encore plus lorsqu'il buvait. Il avait souvent tendance à rentrer de son métier de docker alors qu'il était déjà saoul. Les disputes éclataient souvent entre lui et leur mère. Il ne maîtrisait plus sa force, s'en prenait souvent à sa femme et aux meubles. Leur mère, malgré ses nombreux travers, a toujours réussi à leur épargner les coups. Cependant, elle ne pouvait éviter la terreur de s'emparer d'Adam. Et il devint un petit garçon assez craintif, suivant souvent voire toujours sa soeur.

Au fur et à mesure qu'ils grandirent, il acquit un petit peu plus d'indépendance et d'audace et évita les disputes qui régnaient dans l'appartement en restant dehors, en apprenant la rue par son côté le plus ingrat : celui de souffre-douleur. Timide, il ne trouvait pas d'argument pour répliquer, plus grand que son âge mais fin comme un haricot, il ne pouvait se défendre. Bien que cela était dur, il ne s'en faisait pas tant qu'on aurait pu le croire. Cela lui faisait moins peur que ces cris et ces coups entre ses parents. Mais un jour de sa puberté où il allait imminement se faire rosser par les gamins du quartier, il éternua. Etrangement, des ailes apparurent et deux bulles apparurent d'entre ses boucles blondes. Mais lui, ne vit rien d'autre que les yeux écarquillés des garçons. Ils s'enfuirent en courant et en hurlant des paroles qu'il ne saisit pas, trop étonné et se sentant quelque part en faute. Un éternuement n'avait pas pu leur faire peur ainsi. Il regarda derrière lui, il n'y avait rien. La cause de cet évènement, la cause du problème, c'était lui. A partir de ce jour là, le comportement des gamins du quartier changea du tout au tout. Même si c'était pour le chahuter et le frapper, des gens venaient vers Adam. Désormais, ils l'évitaient.

Il parla à sa soeur de cet épisode mais cela ne le soulagea pas. Cette même impression d'étrangeté et de culpabilité lui serrait toujours le coeur. Ce fut à cette période où la première dispute entre eux deux, d'habitude toujours si unis, éclata. Il découvrit son autre pouvoir à peu près à cette époque alors qu'il lisait, seul, un livre de contes dans un terrain vague. La fée apparue et il lui demanda, il ne sut pas très bien comment, une brouette remplie de chocolats, de caramels et de bonbons. Il se réveilla d'une certaine tétanie avec une lourdeur dans les membres et mangea beaucoup de ces sucreries avant d'en ramener quelques unes pour sa soeur. Il ne sut jamais vraiment si elle l'avait cru ou pas lorsqu'il lui annonça la chose. Mais lorsqu'ils arrivèrent sur le terrain vague, la brouette n'était plus là.

Adam douta encore de lui-même, de la réalité de la chose, se sentant encore plus étrange, pas comme les autres. Les relations avec sa soeur et sa famille ne s'améliorèrent pas. Lorsqu'il avait presque atteint la majorité, il se disputa avec son père et claqua la porte. Il se mit à prendre des petits boulots, ne revenant pas à la maison et ne désirant pas y revenir. Il voyait encore assez souvent sa soeur qui suivait des études et de temps à autres sa mère. Il apprit à cette époque ce qu'il était : un mutant. On commençait à en parler du bout des lèvres, la rumeur commençait à se répandre. Et il se retrouvait parfaitement dans la description. Combien de fois n'avait-il pas été licencié après un éternuement public ? S'il avait réussi à trouver une explication qui lui avait permis de rester, il ne supportait pas longtemps le regard de ses collègues. Mutant, il l'était et c'était une malédiction. Puis au bout de long mois, il se décida à reprendre des études dans le domaine qu'il pouvait se payer en cours du soir. Il n'y en avait pas tant, il choisit le secrétariat. Ainsi, trois soirs par semaine, après son premier boulot ou avant le deuxième, il allait s'asseoir dans une salle et écouter sagement jusqu'à minuit. Minuit, c'était tard et un froid soir d'hiver, il éternua. Cela intrigua deux brutes avinées qui le rattrapèrent puis trouvèrent finalement son aspect androgyne à leur goût.

Ce fut le déclic. Il resta prostré longtemps dans la rue, tremblant de douleur, de détresse et de haine. De douleur et de détresse pour ce qu'il s'était passé, de haine contre le genre humain, contre lui-même. S'il n'avait pas été mutant, s'ils n'avaient pas été humains, ils ne se seraient pas intéressés à lui, il ne se serait rien passé. Un passant s'approcha et commença à l'aider. Mais Adam avait pris froid et les conséquences de son éternuement le firent fuir, cette fois-ci. Complètement déboussolé, Adam appela sa soeur en pleurant pour qu'elle vienne le chercher. Celle-ci vint. Traumatisé, Adam lui expliqua ce qu'il pensait désormais des humains, ce qu'il fallait en faire. Peut-être sa soeur crut-elle que ce fut à cause du choc, peut-être pas, mais Adam le pensait sincèrement et depuis le pense toujours. Ce fut également à partir de ce moment là qu'il devint anorexique et qu'il se brouilla un peu plus avec Eve, la voyant finalement de moins en moins.

Adam ne se releva jamais vraiment de cet épisode, évitant désormais de se promener tard dans les ruelles lorsqu'il est seul, faisant parfois de grands détours. Il termina tout de même ses cours du soir, pressé par son niveau de vie et son loyer à payer. Il quitta alors son petit job et trouva du travail en tant que secrétaire dans un entreprise de service informatique. Il y acquit ses premières armes et commit également ses premiers meurtres sur les humains. Etrangement, cela ne lui faisait ni chaud ni froid. Il s'était entraîné à maîtriser son pouvoir et avait donc acquis une certaine dextérité à faire apparaître les principaux personnages du conte 'le joueur de flûte de Hamelin." Les rats qu'il fit apparaître étaient affamés et firent rapidement disparaître le corps. Adam quitta son entreprise et fut embauché en tant que secrétaire de direction par le patron de BioM dont l'épouse était particulièrement jalouse. Le poste était intéressant, son loyer n'avait plus aucun problème et il économisait même un peu d'argent. Peu après, son arrivée le directeur décéda dans un accident de voiture et Annalina Bluestone fut nommée pour le remplacer. Les ragots couraient abondamment mais Adam s'en fichait. Il se contentait de faire son travail consciencieusement et de se promener dans la ville en exterminant quelques humains au passage.

Mais à ce moment là, une rumeur se faisait de plus en plus persistante. Certains mutants se proclamaient comme tels et estimaient qu'ils fallait protéger les humains. Cette philosophie était incompréhensible pour Adam. Il rechercha qui se proclamait comme tel, sachant pertinemment que toutes les rumeurs avaient une base véridique. Il trouva. C'était le directeur de l'Académie. Il prit contact avec lui, le rencontra plusieurs fois et essaya de le convaincre d'abandonner cette idée. De sa part, l'autre essayait de le convaincre d'abandonner les siennes. Finalement, au cours d'un rendez-vous, le ton monta excessivement et Adam fit apparaître un lion. Ce dernier se jeta sur l'homme et le tua. Mais Adam perdit le contrôle de sa créature. Cela ne voulait dire qu'une seule chose. Il arrêta et trouva effectivement sa soeur en face de lui. Leurs regards se croisèrent. Celui du frère n'exprimait plus que haine et inhumanité. Finalement, il s'échappa et perdit quasi définitivement le contact avec sa soeur. Etrangement, il ne fut pas inquiété par la police.

Peu après cet épisode qui fit grand bruit dans les journaux, la personne qu'il avait assassiné ayant été une sommité, Annalina commença à discuter avec lui de manière plus approfondie. Finalement, ils découvrirent qu'ils étaient tous deux des mutants partageant la même opinion. Ce fut à partir de ce moment là, qu'Annalina lui proposa l'accès à certains fonds de BioM. Adam pouvait enfin voir grand dans ses projets et Annalina également. Ce fut ainsi que commença la corporation. Ils trouvèrent trois autres mutants qui travaillaient dans l'immeuble et petit à petit le mouvement se faisait plus grand.

[suite]

¤ Famille : Actuellement, Adam est brouillé avec sa soeur, s'ils se voient, il ne se passera que peu de temps avant que la conversation ne dégénère. Encore faut-il que la conversation ait eu le temps de se mettre en place. Il évite clairement son père et ne va voir sa mère que lorsqu'il n'est pas là. Sa mère est encore le seul membre de sa famille qu'il voit et à qui il avoue tenir. Il a eu plusieurs petites amies mais aucune n'a duré vraiment longtemps (surtout dès qu'il était certain qu'elles étaient humaines). Seule une fut avec lui pendant quelques temps, il en est toujours plus ou moins amoureux et espère toujours pouvoir se remettre avec elle.

¤ Ambition(s): Rayer les humains de la terre. Une goutte d’eau, n’est ce pas ? Accessoirement, ne pas prendre de poids et devenir riche.

¤ Apparence physique : Comment décrire Adam en trois mots ? Androgyne, grand et maigre. Si Androgyne que souvent on se demande s’il s’agit d’une fille ou d’un garçon sans jamais trouver un élément de réponse. Si maigre qu’on se demande en plaisantant –à tort- qu’il est anorexique. Ses yeux paraissent un peu plus globuleux, ses pommettes sont un plus prononcées, ses joues un peu plus creuses que sa sœur jumelle. Mais il en est tellement ressemblant que la différence se voit peu. Il a des longs doigts qu’on croirait prêt à casser si on lui serrait la main un peu trop fort.

¤ Taille : 1m80
¤ Poids : 53.5 kg
¤ Yeux : marrons
¤ Chevelure : blonde coupée mi court mais plaquée.
¤ Signe particulier : Androgyne ; anorexique
¤ Tic : Il n’a pas vraiment de tic, sauf peut-être investir compulsivement dans des balances toujours plus perfectionnées et d’acheter tous les nouveaux manuels de minceur.

¤ Caractère : Il est sans sentiments envers les humains, impitoyable mais par contre, il est très altruiste envers les mutants en difficulté, tout particulièrement les enfants. A première vue, on ne pourrait pas croire qu'Adam est renfermé sur lui-même, il parle, va avec les gens mais il évite de dire le maximum de choses sur lui et n'a aucune crainte à mentir et inventer des mensonges (plausibles ou pas) pour se protéger. Il se ment d'ailleurs souvent à lui-même. Mais ce sera dans ses moments là de communication qu'on verra son visage exprimer des émotions. Lorsqu'il est seul ou en confiance, son attitude est de marbre. D'un naturel plutôt timide et soumis, Adam est cependant devenu un véritable leader dans le cadre de la corporation ou de son ambition. Il sera assez courageux lorsqu'il se sentira en position de force mais pourra très facilement retourner à son caractère inné qui a tendance à fuit les choses. Il est cependant assez discret et très travailleur, ce qui fait qu'il est très apprécié dans son travail. Malgré tout, c'est une personne assez faible qui peut facilement être déstabilisée. Il culpabilise très vite, se sentant coupable et s'excuse assez facilement. Il est en revanche très persévérant quand une peur ne vient pas l'interrompre dans ses efforts. Il est assez entier dans son comportement, n'arrivant pas à choisir le milieu et se décidant très facilement pour les extrêmes.

¤ Goûts : Il aime beaucoup aider les enfants, il a l'impression qu'il fait quelque chose pour le futur. IL aime beaucoup son appartement, il s'y sent en sécurité dedans à tel point qu'il n'y a jamais invité personne par crainte de voir briser son intimité. Il a toujours une petite fascination pour New York et aime se promener en plein jour et observer les bâtiments.

¤ Dégoûts : Il n'aime pas les ruelles sombres. les violeurs, il ne peut pas les supporter qu'ils soient humains ou mutants. Il n'aime pas vraiment la nourriture où dès qu'il en prend il culpabilise. Il déteste les filles qui se rendent saoules. Il n'aime pas se montrer. Il n'aime pas beaucoup de choses en général et est très facilement rebuté, dégoûté ou effrayé par une chose. Il a une sainte horreur des chiens.

¤ Passion(s) : Toujours occupé à son travail ou à combattre pour ses idées, Adam n'a jamais vraiment pris le temps de se découvrir une passion.

¤ Phobie(s) : le viol (il fait un syndrome de stress post traumatique); peur de prendre du poids (même si ce n’est pas vraiment une phobie mais plutôt une conséquence de son anorexie) et il a aussi peur des psy.

¤ Croyance(s) : La croyance d'Adam dans un dieu est assez aléatoire et dépend surtout de son état d'esprit et des ennuis qui lui arrivent.

¤ Force(s) / capacité(s) : il connaît la ville comme sa poche et il a de nombreux contacts grâce à son travail de secrétaire. Son pouvoir aussi est une force car il sait très bien l'utiliser même s'il cherche encore à améliorer sa maîtrise de celui-ci.

¤ Faiblesse(s) : A part son caractère et son état physique ? Il confond parfois sa droite et sa gauche.

¤ Divers : Adam fait souvent des cauchemars et a du mal à dormir une nuit sans se réveiller

¤ Vous :
¤ Avez vous déjà joué sur un forum de RPG? Plutôt, oui. XD

Nom : Ässelya Fuduelej
Race : Wroonien


Histoire :

Wroona. Il y a 32 ans, sur une île quelconque mais dans une maison pas si quelconque, naissait Ässelya, fille de Sderf, un pêcheur, et de Alreda, une mère qui confectionnait des bijoux, nouvelle soeur de deux frères de quatre et six ans, Real et Ysor. Sa petite enfance se passa sans encombre, jeune fille joueuse et curieuse, elle découvrit rapidement tous les recoins de l'île et se mit à discuter innocemment avec les explorateurs les plus divers, qu'ils fussent seulement des marins au long court ou des navigateurs interstellaires. A leur contact, elle apprit rapidement le basic et les récits les plus incroyables et exotiques des aventuriers. Si le bleu était la couleur préféré de la petite, c'était non seulement parce que c'était la couleur de la mer qu'elle adorait mais également celle du ciel qui la fascinait. Son enfance se passa sans encombre, comme l'enfance de tous ceux de son île, partagée entre jeux, danses et apprentissage de ce qu'il était nécessaire de savoir pour une fille de pêcheur modeste, future mère de famille.

Pourtant, lors de l'automne de ses treize ans, le ciel bleu devint rouge. Un incendie dans le port. Un des grands navires brûlait, les marins sautaient à l'eau tandis que les habitants essayaient d'endiguer le feu. L'incendie éteint, le bateau était inutilisable. Si quelques rares marins purent s'en aller en payant une place à un coût exhorbitant sur les autres bâtiments, nombreux furent ceux qui durent être recueillis par les sédentaires. Ce fut le cas de H'nuteru, un jeune mousse à peine plus âgé qu'Ässelya. Sa famille lui offrit l'hospitalité et, après quelques temps où la jeune fille se méfiait de lui, ils devinrent très amis partageant leurs rêves et leurs espoirs.

Le jour où Asselya lui confia son amour de l'espace, il lui promit qu'il trouverait un moyen de les faire partir hors de la planète. La jeune fille ne voyait pourtant pas l'intérêt de laisser tomber sa famille et l'île. Ils étaient fatigués de leur journée et elle supposa que ce n'était qu'une promesse en l'air du garçon. Mais H'nuteru la convainquit et elle se laissa faire. Ils travaillèrent les quatre années suivantes afin de payer des billets hors de prix et de s'assurer un peu de quoi vivre là bas pour quelques semaines.

Il s'en allèrent discrètement un soir, Ässelya laissait juste un mot pour s'expliquer et rassurer sa famille. Elle ne les oublierait pas, disait-elle, mais l'île était trop petite ppour la taille de ses rêves. On ne devenait pas un grand explorateur en restant sédentaire. Ils avaient achetés des billets pour la planète XXXX où H'nuteru lui avait dit qu'il pourrait faire fortune rapidement puis s'acheter un petit vaisseau pour parcourir l'espace.

La première partie du voyage se passa bien. Ils devaient faire escale deux jours à Coruscant. Ce fut deux jours de trop, deux jours maudits, du moins pour elle. Ils profitèrent de ce temps libre pour visiter la planète. Le deuxième jour, après quelques heures de marche, fatigués, ils entrèrent dans un bar pour se reposer un peu. Ils furent accosté par des autochtones rencontrés la veille et ceux ci leur offrirent à boire. La conversation allait bon train mais ällesya voulait partir. Elle fit discrètement signe à son ami qui lui répondit de se débrouiller seule et de ne pas rester à ses bottes comme un chien. Vexée, elle sortit du bar et alla se promener à nouveau.

Lorsque quelques heures plus tard, elle revint pour réembarquer dans le vaisseau, elle apprit qu'elle était déjà à l'intérieur du vaisseau sur la liste officielle. Complètement sidéré, elle fit un scandale mais rien n'y fit. Elle repartit rapidement au bar où elle avait vu H'nuteru pour la dernière fois. Il n'y était pas mais elle obtint l'explication de ce qu'il s'était passé. Son ami avait joué et avait perdu. Elle compris que lorsqu'il était sorti, il ne lui était plus resté que son propre billet. Il avait pris sa place. Elle couru à nouveau jusqu'à l'astroport mais le vaisseau était repartit sans elle.

Elle resta là quelque temps, hébétée, jusqu'à ce qu'un droïde lui conseille de partir. Elle quitta l'astroport et retourna au seul endroit qu'elle connaissait un peu : le bar. Elle demanda aide à Krüss , le patron. Celui-ci était presque honnête. Presque : il lui fournit un travail en tant que serveuse, lui fit signer un bail de locataire dans un logement qu'il possédait. Mais il ne la paya que très peu et le loyer était cher. Avant peu, elle se trouvait fortement endettée. N'ayant pas le choix, elle quitta le magasin à la sauvette. Elle avait passé deux ans à trimer mais deux années où elle avait appris un peu plus sur le fonctionnement de la planète. Elle s'était fait un ennemi tenace à cette occasion car sa dette était grande.

Elle trouva un autre logement, d'autres travails car un seul ne suffisait pas à la faire vivre. Plusieurs non plus d'ailleurs. Après six mois de galère, elle fut expulsée soudainement. Alors qu'elle marchait sans but, ses pas la ramenèrent vers le bar. Lorsqu'elle s'en rendit compte, elle voulu partir en courant mais Krüss l'attrapa avant qu'elle ne put faire deux pas. Il la dépouilla et s'apprêtait à la frapper lorsqu'un passant s'interposa. C'était en réalité May Ythbee, un client régulier du bar. Ce fut pourquoi le patron la lâcha non sans lui avoir murmuré à l'oreille que ce n'était que partie remise.

May était un humain généreux. Il la logea pendant quelques jours et lui présenta notamment une amie. Bibai Code n'était rien d'autre qu'une prostituée qui la prit sous son aile et l'entraîna au métier. N'ayant pas vraiment d'autre idée, Ässelya se laissa aussi convaincre. Leur territoire se trouvait non loin du sénat et elle faisait son travail. D'ailleurs, son boulot ne la dérangeait pas vraiment : les wrooniens sont connus pour apprécier les plaisirs de la vie et celui-ci en était un de taille.

Relativement jolie, elle attirait les clients et commençait même à en avoir de réguliers parmi lesquels des politiciens qui comptaient sur elle pour les détendre. Le sénateur S. l'appréciait tout particulièrement et avait l'habitude de lui offrir de somptueux cadeaux qu'elle appréciait tout particulièrement. Bien qu'elle n'était pas vraiment éduquée pour cela, il la payait également pour l'accompagner à d'ennuyeux dîners d'affaire où Ässelya apprenait les imbroglios politiques et tactiques en même temps que l'art de savoir choisir la bonne fourchette pour manger de la salade. Le second étant nettement plus compliqué que le premier d'ailleurs.

Mais néanmoins, les ennuis ne tardèrent pas à revenir. Il y avait eu des meurtres pour leur argent parmi les filles et la terreur régnait. Pourtant il fallait bien vivre et continuer à prendre des clients. Ässelya fit part de ce problème au sénateur qui lui offrit en retour Blaster de sport Defender. Ses 'collègues' des trottoirs voisins demandèrent à Ässelya de bien vouloir garder leur argent et les protéger. Ce qu'elle accepta de bon coeur pour protéger les membres de ce groupe qu'il lui était cher. Néanmoins, pas folle, elle demanda un certain pourcentage sur la somme gardée.

Au bout de nombreux mois et avec l'aide de May et Bibai, elle ouvrit son 'hôtel'. Hôtel qui n'était pas grand chose d'autre qu'une maison close qui commença à devenir célèbre dans le quartier et surtout parmi les sénateurs qui siégeaient non loin. L'assassin n'avait toujours pas été arrêté et les filles venaient chez elle trouver la sécurité. Elle pouvait ainsi choisir les plus jolies et faire rentrer son afafire dans un cercle vertueux. Les affaires marchaient bien et elle était désormais à peu près heureuse. Une après midi, elle quitta l'établissement pour aller rencontrer le sénateur S. Tout se passa bien mais ce fut lorsqu'elle revint qu'elle découvrit l'horreur. Le bâtiment était entouré par des pompiers. Une explosion avait causé un incendit qui était maintenant en train d'être éteint. Ässelya se précipita et vit des corps éventrés et le sang goutter des murs.

Ses dents se serrèrent de rage et de chagrin. Elle alla d'un cadavre à l'autre jusqu'à apercevoir le corps agonisant de Bibai. Elle lui parla pendant quelques secondes avant sa fin. Quelques secondes où elle promit de retrouver son fils et de l'aider dans la vie. Elle devait en aider un autre alors qu'elle avait elle même tout perdu, une fois de plus.