Suis tombé

Je suis fatigué... Tellement fatigué... Je rentre ce matin seulement, et déja, une journée de boulot bien remplie... Enfin bref, c'est finit maintenant, je viens d'aller fermer les cellules, et je m'en retourne vers ma chambre.

Je traine les pieds, les mains dans les poches, les yeux a moitié fermés. Vivement que je sois dans mon lit, au chaud sous ma couette, sans un bruit parce que depuis ce matin, question calme, can'a pas été vraiment ca... J'ai eu en plus de cela une longue route pour revenir a la prison pendant la nuit, cela n'arrange pas les choses.

Le couloir est vide, mes pas raisonnent dans celui ci, je dors a moitié... Aussi, je ne vois pas le petit trou dans le sol, et mon pied se prend dedans. Aussitot, dans un bruit raisonnant dans tut le couloir, je métale de tout mon long sur le sol, j'ai tout de même le réflèxe de proteger mon visage avec mes mains, sinon, je pouvais dire adieu a mes dents...

Je lance quelques juron, avant de me redresser doucement, pour me mettre à genoux, puis, je nettoie la poussière qu'il y a sur mon pantalon et ma veste en tissu fin et noir.

Je viens de fermer la porte de ma chambre, à clé, en vérifiant bien que cette folle ne soit pas rentrée quand j'entends un bruit dans le couloir, je rouvre et tombe nez à nez avec un gardien qui vient de s'étaler de tout son long sur le sol. Je le regarde un instant, il est un peu plus petit que moi, blonds, les cheveux longs, des yeux sombres... totalement endormis. Il est encore à genoux à terre, je m'avance et lui tends la mains.

"Ca va ? Tu t'es pas fait mal ? Je t'ai jamais vu ici, t'es nouveau ?"

Il finit d'essuyer la poussière sur sa tenue impécable. On dirait les aristo que mon père invitait à manger dans ses grands banquets... Je me rends alors compte que je ne me suis pas présenté... Puisqu'il a l'air d'un noble, je vais sortir de grand jeu...

"En fait, c'est peut être moi, le nouveau, je suis arrivé il y a quelques jour. Pythagoras De La Flaam et toi ?"

J'évite le titre, quand même... Et puis, Vicomte, c'est pas super... Mais dans la noblesse, même des autres pays, les De La Flaam sont assez connus... Mon père est tout de même le frère cadet du Grand Duc du Luxembourg...

Ma main toujours tendue, j'attends sa réaction.

Son nom me dit quelque chose, mais je ne suis pas certain... Hellies... Il est autrichien il me semble... Je sers sa main et je remarque bien qu'il me vouvoie... Mais franchement, ce n'est pas le lieu...

"Evitons l'étiquette dans cet endroit, je trouve ça vraiment déplacé. Et puis je ne suis pas ici qu'un gardien comme toi. Ici, je suis Pyth."

Je lui indique ma chambre dont la porte est encore ouverte et l'y invite:

"Si tu veux, on peut discuter de la noblesse europenne dans ma chambre, mais franchement il y a d'autres sujets plus interressants... Tu as visité les chambres de torture ?"

Je ne réponds qu'à moitié à sa question, mais mon père est connu pour sa cruauté alors s'il sait qui je suis, il ne sera pas surpris de savoir que je suis là pour ces... jouets.

Je l'ai vouvoyé sans vraiment m'en rendre compte, l'habitude surement... Même si cela ne se remarque pas vraiment, j'ai quand même recu une exellente éducation, et il en reste quelques marques.

D'un pas lent, les mains dans les poches, et sans un mot, je me dirrige vers la porte qu'il me désigne. A ses mots, j'hausse les épaules d'un air indifférent. La salle de torture... Je l'ai bien "visité" une fois avec sybille, mais sans plus. Pour ce qui est de la torture, j'aime tout autant la torture psychologique, et les simples coups de matraque...

-Hum... Oui, vite fait... A vrai dire... La plus part des prisonniers se tiennent a peu près a carreau avec moi...

On se demande pourquoi... Se serraient ils passé le mot ? J'arce un discret sourire, qui s'efface aussitot de mon visage.
J'entre dans la chambre du jeune homme, et je m'étire.

Il entre dans ma chambre et je ferme derrière nous... a clé. Je lui explique aussitôt pourquoi:

"Je ferme à clé, décolé, mais je ne veux pas que la personne qui est censée partager ma chambre y entre. Cette pute devra dormir ailleurs !"

Instinctivement, je pose mes doigts, sur le pansement qui orne ma joue... Quatre points de suture... Je déteste l'idée que je vais avoir une autre cicatrice sous l'oeil. Comme si une ce n'était pas suffisant ! Sans même réflechir, je lance ma veste sur un chaise et me tourne vers lui:

"Installes toi ou tu veux. Tu sais, la torture n'est pas aussi barbare qu'on le croit. C'est un véritable art... Et un immence plaisir..."

Tiens tiens... Il a des ennuis avec son, ou plutot sa camarade de chambre ? Je n'ai rien a dire au sujet du mien, je l'ai vu une fois, et depuis, disparu, envolé de la circulation... Je l'entend le soir et le matin, et de temps en temps, mais a peine ai je ouvert les yeux, qu'il est déja parti.

-Un problème relationel... Ca va être pratique pour la suite.

Car ca, il e peut pas changer, je ne pense pas que cela soit possible... Il est coincé avec je cite cette "pute", pour tout le temps qu'il travaillera dans cette prison.

Pour ce qui est de la torture... J'ai l'impression de m'entendre parler, je ne dis pas ces mots exacts, mais ce qu'il dit, reflète ce que je pense depuis longtemps. La torture est une douce chose, pour le boureau bien sur, quoi qu'il y a quelques cinglés qui en redemandent...

-Je sais... C'est une chose qui mérite parfois l'expression : mieux qu'un orgasme enfin... ca dépend...

une expression que j'utilise de temps en temps, peu connue, qui fait toujours sourire les imbécils...

Je me tourne face à lui. Nous sommes sur la même longueur d'onde. Je ne pensais pas rencontrer quelqu'un comme ça ici... enfin, si, mais pas qui soit en plus de sang noble car, meme si je n'aime pas cette idée, je pense que je suis plus à l'aise avec les personnes aux sang bleu.

Je le detaille un instant, il semble vraiment fatigué. Ses yeux sont cernés et ses traits tirés.

"Hey, ça va Helies ? T'as vraiment l'air crevé. C'est ce boulot qui te fatigue autant ? Personnelement, il m'amuse plus qu'autre chose."

Je me frotte doucement les yeux, pour me reveiller u petit peu. c'est fvrai que l'état de fatigue avancé dans le quel je me trouve en ce moment doit bien se voir...

Je le regarde, le temps d'analyser ses paroles, ce que je fais toujours quand je suis ainsi fatigué, impossible de tout comprendre sur le coup, puis, je hausse des épaules, avant de lui répondre sur une voix neutre :

-Le boulot ? Non, pas du tout, en fait, j'étais en vacances... Et j'ai conduis toute la nuit, alors forcément, je suis fatigué la...

Je m'étire a nouveau, je commence a etre tellement fatigué, que l'envie de dormire que j'avais disparait. et oui, ca a toujours été comme ca avec moi, quand je suis vraiment, mais alors vraiment fatigué, je n'ai même plus envie de dormire...

-Pour tout dire... Ce boulot m'amuse aussi. Je suis la de mon plein gré, je m'en vais quand je veux...

Je le regarde se frotter les yeux, on dirait un gosse, il est vraiment pas mal. Et quand il me parle de ses vacances, je vois bien qu'il veut prendre un ton détaché mais il y a comme une lueur qui s'est allumée dans ses yeux.

"Je crois bien qu'on est les seuls ici à pouvoir faire ça, quitter le boulot dès que ça nous chantera," dis-je en riant, moi, je suis ici pour perfectionner mes connaissances en torture, le Duc, mon oncle, m'a dit qu'il y avait ici des objets d'une autre époque et il n'avait pas tord... J'ai même déjà eu l'occasion de les tester."

C'est donc parce qu'il était en vacances que je ne l'ai pas vu avant. Des vacances... C'est amusant. Pour moi, c'est être ici qui est "des vacances". Bon, je le mets dans mon lit ou je le reserve pour une autre fois ? Bah, on va voir comment il réagit... Je depose nonchalamment mon arme de service sur mon chevet et ôte ma chemise tout en continuant la discution sur un ton leger.

"Je me change, excuse moi, je ne supporte plus cette chemise. Tu es allé où en vacances ? Tu es rentré en Autriche ? Je suis jamais allé là-bas, c'est un beau pays ?"

Oui, je ne pense pas qu'ici tout le monde soit la de son plein gré. quand les gens me demande avec de l'ironie si je me plait ici, et que sans aucune ironie je leur répond oui, cela les choque le plus souvent, et cela m'arrache aussi un sourire d'amusement.

-Pour ma part... Je n'ai encore rien testé. J'attend que ca en vaille vraiment le coup...

Il enlève ses vetements... Bien foutu dites moi. sur son dos, est tatoué un phoenix, immense, il est un peu musclé, grand, même plus grand que moi, ce qui est rare je dois dire, les générations sont de plus en plus petites en ce moment... bien qu'on dise le contrair, mais bref.

Mon regard gourmand se promène donc sur son corps, je ne m'en cache pas, et toujours sur un ton neutre, comme si de rien n'était, je lui répond :

-Oui, je suis rentré la bas... Pour environ deux semaines, j'avais quelqu'un a voir. Beau, je ne sais pas vraiment... c'est la ou je suis né, c'est... c'est trop habituel puor moi pour que je te réponde... Et toi, t'es la depuis combien de temps ?

Je me tourne face à lui et remarque son regard sur mon corps... Adjugé, il finira dans mon lit ! J'ouvre sans gêne mon pantalon et le laisse glisser à mes chevilles avant de le jetter sur une chaise.

"Je suis arrivé, il y a quelques jours. Moins d'une semaine. Mais tu sais, la torture, ça en vaut toujours le coup... J'aime briser les gens... Faire que les gens forts me supplient..."

Je me dirige vers mon armoire et l'ouvre pour lui montrer chocolats, biscuits, cigares...

"Quelque chose te ferais plaisir, Helies ?"

Décidément... Ses paroles reflètent exactement ce que je pense, et ce que j'aime. C'est pour cela que j'aime mon métier, qu'importe que les gns soient forts faibles, hommes ou femme, je fais d'eux ce que je veux, tout ce que je veux. et cette fois ci, je me dis que ca serait interessant de lui dire, juste histoire de faire de la conversation...

-J'ai parfois l'impression de m'entendre moi même parler... c'est étrange... est ce notre sang qui veut ca ?

Je n'ai aucune honte a être fière de mon sang, je suis noble, j'en profite. J'ai des avantages, et les inconvéniants, je ne les ai jamais subbit, alors bon...

Je regarde ce qu'il me propose, je ne fume pas le cigare, et pour ce qui est des gourmandises, je n'en mange jamais... J'ai toujours eu une allimentation très saine, je n'aime pas vraiment le sucré. Enfin saine... si on meta a part l'alcool...

-Non merci, mais te gênes pas pour moi.

Je lui souris et referme les portes de l'armoire. J'attrape ma veste et en sort un paquet de cigarette et mon briquet. Je glisse un tube entre les lèvres et allume le briquet pour jouer avec la flamme.

"Personnellement, la torture est dans mes veines, dans mon sang... dans mon éducation."

J'allume la cigarette et jette le briquet sur mon chevet avant de m'étendre sur mon lit. Je croise ses jambes et laisse mon regads se poser sur lui. Je chasse une mèche de mes yeux en tirant une bouffée.

"Mais c'est possible qu'on se ressemble... Eduqués par la vieille noblesse qui tient tant à ses coutumes et ses principes..."

Je soupire.

La torture est tout pour moi, sauf dans mon éducation, j'ai toujours été élevé pour être un gentils fils, qui serait la fièrté de sa famille... Je cris que c'est réussis... Mais pas dans le sens que mes parents auraient voulu, tout simplement.

-Ce n'est pas mon cas.... Je l'ai apris tout seul... Comme un grand...

Disons que je l'ai en quelques sortes découvers par hasard, j'ai vu que cela pouvait servire de manière de se vanger, puis, j'ai vu que j't prenais toujours un malin plaisire, même si la personne n'avait rien fait, et c'est comme ca que je suis arrivé ici...

D'ordinair, quand quelqu'un fume, je ressens l'envie de fumer aussi, mais la, je ne sais pas pourquoi, ca ne me vient même pas a l'idée... Non, je n'ai pas envie de fumer la maintenant tout de suite. Peut etre parce qu'avec ma fille, j'ai pris l'habitude pendant les vacances de ne fumer que tès peu.

-Ca n'a pas que de mauvais cotés, c'est ca qui faut se dire...

Je recommence a dévorer son corps du regard, je me suis assis depuis quelques minutes déja sur une chaise, je ne bouge pas, je ne fais que le fixer, et lui parler.

Il me dévore des yeux... Mais qu'attend-il donc ? Je soupire bruyamment et écrase ma cigarette au sol. Je le regarde fixement.

"Ludwig, c'est ça ? Arretons de tourner autour du pot... On en a rien à foutre de notre sang bleu ou de notre éducation..."

Je me laisse aller sur le lit en écartant les bras et conclue sans quitter ses yeux:

"Si tu veux quelque chose, sers-toi !"

J'avais bien compris ce qu'il voulait dire la première fois qu'il m'avait demandé si je voulais quelque chose, mais je sais encore me tenir, mais maintenant, il me provoque trop, qu'il ne vienne pas se pleindre.

Je me lève, en soupirant, puis, je dis, encore une fois, comme i tout était normal ici :

-On cuit ici... J'enlève ca...

Je déboutonne doucement ma veste noir, je ne porte rien en dessous, et elle tombe sans un bruit sur le sol. Tout en faisant cela, je me dirrige doucement vers le lit, donc vers lui.

Arrivé juste devant Pyth, alors qu'il est a moitié allongé, et moi juste en face, je monte sur le lit, un genoux de chaque coté de son corps, puis, j'approche doucement ma tête de la sienne, penché sur son torse, je lui murmure.

-Il y a bien quelque chose que j'aimerais...

Oui, pour le moment, ses lèvres... Je ne vais pas me gener pour les prendre, et c'est ce que je fais.

Il retire sa chemise et se coule contre mon corps. Merde, il est sexy ce mec ! Il pose ses lèvres contre les miennes et je laisse ma langue jouer sur sa bouche avant de s'imiscer à la recherche de sa jumelle. Je ferme les yeux et me laisse totalement tomber sur le lit, l'attirant avec moi en passant mon bras dans son cou. Puis, mes mains partent explorer son corps. Il a la peau douce, une peau d'aristo, une peau comme je les aime.

L'une de mes mains se niche dans le creu de ses reins, juste sous la ceinture de son pantalon, quant à l'autre, elle remonte dans son cou et mes doigts se perdent dans ses cheveux. Nos langues tournent encore et encore puis essouflés, nous nous séparons de quelques centimètres. J'ouvre les yeux et les plonge dans les siens puis je lui lance d'un ton moqueur:

"Fais attention à ce que tu fais, je suis entièrement réservé au Grand Duc du Luxembourg... Vas-tu prendre possession du bien d'un autre ?"

Sans lui laisser le temps de répondre, je pose à nouveau mes lèvres sur les siennes... Je sens que la nuit va être chaude.

Reservé ? Et c'est marqué ou ca ? Je suis un Aristo bète et borné, quand ca m'arrange bien sur... Aussi, je réagis et me comporte comme tel, toujours quand ca m'arrange est il besoin de le préciser.

Me séparant de ses lèvres, je lui fais un sourire provocateur. Si il pense se débarasser de moi comme ca... Aussi, j'approche mes lèvres de son oreille, et je lui souffle :

-Je suis un aristo... Tu ne connais pas la règle principale des gens de notre espèce ? Ce qui a fait il y a bien longtemps de nos familles ce qu'elles sont aujourd'hui ? C'est pourtant connu... Si ce n'est pas écrit cacheté et signé, ce n'est pas officiel... Tu as un papier de ce genre sur toi ?

C'est vrai qu'a la base, l'aristocratie a aquérie en grande partie sa fortune en se basant sur sa capacité a arnaquer les autres... et il y a bien longtemps, quand personne ne savait écrire, c'était chose courante, depuis, c'est resté... Un carractère typiquement des gens comme nous... Sauf que d'ordinair, cela ne touchait pas au sex... Plutot aux affaires... Mais qu'importe, c'est la même chose pour moi.

Ses cheveux tombent sur mon visage, le caressant alors qu'il murmure à mon oreille. Je ris à sa remarque et commence à mordiller son oreille qui se trouve trop proche de ma bouche puis je lui réponds...

"J'aurais pu te dire que c'est marqué dans mon dos, mais c'est le contraire, ce tatouage veut dire que je n'appartiens à personne..."

De toute façon, en m'envoyant ici, le Duc savait ce que j'y ferais... Même s'il ne se doutait pas que je tomberais sur un si beau spécimen. Je dépose des baisers sur les tempes du blond et fait glisser ma main sur ses fesses pour les serrer entre mes doigts...

J'esquisse un petit sourire a sa remarque, puis, après avoir été parcouru d'un frisson après qu'il m'ai mordillé l'oreille, je lui glisse :

-C'est un écrit... Et je me fis toujours aux écrits....

Encore une fois... Quand ca m'arrange...

Je le laisse parcourire mon corps de ses mains, je ne touche pas a mes vetements, a lui de les enlever. Pour moi, c'est comme une règle d'or, on n'enlève pas ses propres vetements dans ce genre de situation...

Mes cheveux me tombent sur le visage, et viennent effleurer le siens. Je carresse doucement sa joue, puis, j'approche mes lèvres des siennes, pour l'embrasser a nouveau.
Pendant ce temps, la main qui carressait son torse desscend doucement le long de son corps, dan un geste sensuel.

Alors qu'il pose à nouveau ses lèvres sur les miennes, je les mordille doucement... Juste pour le provoquer. Puis nos langues entamment un nouveau ballet, sensuel cette fois. Sur sa taille, mes doigts defont la boucle de sa ceinture et ouvrent son pantalon... juste pour qu'il soit plus à l'aise... Mais je ne vais pas le deshabiller maintenant... Pas encore... Alors que ses doigts effleurent doucement mon torse, je laisse ma tête tomber en arrière, interrompant notre baiser. Puis je la plonge dans son cou... que je mords jusqu'à y laisser une marque rouge.

"Et ça, est-ce un écrit à tes yeux ?"

Je ris doucement, mais je sens que si ses doigts descendent encore, je ne vais plus me contrôler longtemps... J'ai les aristo parce qu'ils savent vraiment y faire !

Ca fait du bien de ne plus être autant serré dans ce fichu jeans... Mais bon, pour le moment, je me soucis d'autres choses plus interessantes... Par exemple, mon cou... Une marque... Celle ci.. Ca ne va pas le faire pour quand je vais revoir sybille...

-Une signature plutot... et tu signes pourquoi exactement ?

Ma main descend toujours, jusqu'a arriver a son entrejambe, mais je ne m'arrete pas, je ralentis juste un peu ma course. Je passe sensuellement ma mai sur sa virilité, au travers du tissus, l'air de rien, mais ma main ne s'arrete pas, et descend maintenant sur sa cuisse, pour le faire languir un peu...

rien de tel que l'attente pour aprécier le plaisire, je fais toujours attendre mes partenairs, toujours... en plus de cela, ca m'amuse je dois dire.

Ses doigts me font frissonner. A leur contact furtif, mon membre se durcit d'impatience. J'embrasse avidement son cou alors que mes mains reviennent prendre possession de ses fesses - bien fermes, les fesses - pour les malaxer doucement.

"Une signature... C'est à toi de me dire... Je signe un droit de propriété peut être..."

Ma voix est sensuelle, douce... lointaine. Ses doigts sur mes cuisses m'excitent considérablement et j'enroule mes jambes autour de ses hanches. Ma tête roule sur l'oreiller et je ferme les yeux... Je veux sentir ses doigts sur moi... Je me languis de ses carresses. L'attente c'est bien, mais pas trop longtemps non plus...

Un droit de propriété ? Désolé, il n'y a qu'un seul exemplair, et il y a déja une signature apposée en bas... Et puis... Je ne sais pas encore si tu en vaux le coup... Mon petit Pyth...

-Qui sait... L'espoire fait vivre...

Je commence a me sentir un peu a l'étroit dans mes habits, mais comme je l'ai dis, ma règle d'or, ne jamais enlever ses vetements soit même... Je le laisserais faire, mais qu'il ne tarde pas trop non plus...

Après avoir doucement carressé sa cuisse d'un mouvement de l'index pendant quelques minutes, ma mai reprend du mouvement, et remonte vers le boxer su jeune homme.

Je dois dire que je suis un peu décu, j'attendais de sa part un peu plus de... réactions, pour le moment, il se laisse gentiement faire.

Ses doigts remontent enfin vers mon sexe, mais sa voix me fait ouvrir les yeux. Je le fixe un instant, il ne semble pas "dedans"... Je me redresse un peu et attire son visage près du mien alors que ma main prend appui dans son dos.

"Tu ne me sembles pas satisfait, mon cher Ludwig à la peau douce."

Je lui souris, seducteur, et le fait rouler sous moi d'un coup de rein. Je vais marquer son corps et le faire crier par la même occasion. Je me penche dans son cou et commence à lecher sa clavicule, à la mordiller... J'y fait aussi une marque rouge pendant que mes mains commencent à faire glisser son pantalon... Mais je laisse le boxer en place. Mes lèvres avancens peu à peu sur son torse et je marque l'un de ses pectoraux... Il a la peau si pâle qu'elle marque très facilement...

J'arrive à l'un de ses tétons que je me mets à sucer, caresser, mordiller, lecher pendant que mes doigts s'occupent de l'autre et que mon autre mains se preds dans ses cheveux.