La culture d'Arnaud de Fontainebleau
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La culture d'Arnaud de Fontainebleau

La culture, c'est comme la confiture...
 
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 Paumé dans le couloir [edward]

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arnaud de fontainebleau
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MessageSujet: Paumé dans le couloir [edward]   Paumé dans le couloir [edward] Icon_minitimeMar 11 Nov - 15:25

Mais qu’est ce que je fais là ? Qu’est ce que je fiches encore dans ces saletés de sous sol ? Je me suis pourtant fait prendre la dernière fois et ça n’a pas été des plus agréable, et encore ! Ca aurait pu être pire… Alors pourquoi est ce que je reviens ici ? Je vais finir par croire que j’ai le cerveau dérangé… mais en fait je sais très bien ce que je fais là. C’est plus fort que moi quand on m’ordonne quelque chose je ne le fait pas et quand on m’interdit quelque chose… et bien je le fait, c’est bien pour ça que je suis là.

Je marche le plus doucement possible encore une fois, si possible j’aimerai pouvoir explorer sans me faire repérer. Le gros problème là tout de suite c’est mon sens de l’orientation déplorable. Je voudrais bien retrouver l’endroit où j’avais gratté le mur pour voir de quoi il était fait. Pour pouvoir poursuivre mes recherches, mais je crois ça va être peine perdue. Je ne m’y retrouve vraiment pas dans ce dédale… De dépits je donne un grand coup de pied dans le mur… et m’en repends aussitôt. Après quelques instants à sautiller sur place mon pied dans la main je le repose par terre.

Je décide alors que ça ne servira à rien d’aller plus loin et que donc autant chercher ici. Je pousse un soupir résigner et commence à gratter ce que je soupçonnes être du sang séché pour découvrir de quoi est fait le mur en dessous. Reportant malheureusement toute mon attention sur le mur et plus du tout sur mon environnement immédiat. Je sais pourtant que je risque de croiser un gardien comme l’autre fois mais je n’y peux rien, quand je me concentre sur quelque chose, je me concentre vraiment.


Dernière édition par Arnaud de fontainebleau le Jeu 13 Nov - 9:15, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Paumé dans le couloir [edward]   Paumé dans le couloir [edward] Icon_minitimeMar 11 Nov - 15:25

Alors que je rentrait dans la salle commune, j'ai appercu Dan en train de se faire raquetter par deux détenus. L'un a fini à l'infirmerie, quand au deuxième, je viens de le jeter au trou... Maintenant, je dois allez voir Dan... Il me doit bien une petite faveur... Alors que je marche dans les couloirs des sous-sols avec cette pensée, je croise un gars en train de gratouiller le mur. Je m'arrete et le regarde. Il ne semble pas me voir alors que je dois être dans son champ de vision. Apparemment, c'est un prisonnier. Il n'a rien à faire là. Je m'approche derrière lui sans vraiment chercher à être discret. Je le plaque contre le mur avec violence et immobilise l'une de ses mains dans son dos. S'il tente quoi que ce soit, l'épaule va sauter. Je m'approche de lui et pose mes lèvres sur son cou pâle... Mmm... Je pensais aller voir Dan, mais je crois que j'ai trouvé mon déssert... Je murmure alors à son oreille:

"Qu'est-ce que tu fous là, gamin ? Tu veux une visite guidée des sous-sols ? A moins que ce ne soit moi qui visite ton intérieur..."

Je souris à ma blague, elle est vraiment nulle... Alors que je mordille son oreilles, ma main libre se glisse déjà dans son pantalon... Oui, celui là, je vais le sauter et je le terminerais dans le calme de la salle d'isolement...
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MessageSujet: Re: Paumé dans le couloir [edward]   Paumé dans le couloir [edward] Icon_minitimeMar 11 Nov - 15:25

Ce que ça peut m’énerver ! L’autre fois j’avais presque atteint le mur mais là étant donné qu’il faut que je recommence depuis le début ça prends encore un temps fou ! Avec ma chance un gardien va encore rappliquer…Alors que je me faisais cette réflexion mon ongle atteint enfin une surface moins friable. Enfin ! On dirait que je vais pouvoir savoir de quoi est fait ce mur finalement….

On me plaque contre le mur et quelqu’un me tord le bras dans le dos.

… Et non ce sera pas encore pour tout suite… Fait chi** ! Et puis c’est quoi cette habitude de tordre le bras des gens comme ça ! Depuis que je suis arrivé ici j’ai eu une révélation, gardien et douceur ça ne marche pas ensemble… Enfin c’était quand même pas la peine de me tordre le bras à ce point. Je sens quelque chose se poser dans mon cou. Euh il se prends pour un vampire ou quoi ? Qu’est ce qui lui prends de faire ça ? J’ai horreur de ça, ça me donne une impression désagréable.

"Qu'est-ce que tu fous là, gamin ? Tu veux une visite guidée des sous-sols ? A moins que ce ne soit moi qui visite ton intérieur..."

J’ai déjà eu droit à une visite guidée de la salle de torture, j’ai pas aimé je me passerai volontiers d’une deuxième…. En tout cas une chose est sûre si il y a une chose que je savais sur cet endroit avant d’y venir et qui c’est amplement vérifié c’est ça : les gardiens ont tous une case en moins (sauf celui qui m’a accueillit à l’entrée peut être….). En tout cas à défaut de vampire il se prends vraiment pour un chien celui là, qu’est ce qu’il a à me mordiller l’oreille ? Euh là il y a vraiment quelque chose de bizarre…

« Eh ! Mais lâchez moi espèce de pervers !! »

Je me débats dans tous les sens sans grand succès à part de me faire encore plus mal à l’épaule. Alors je transvase d’un coup tout mon poids sur une jambe et donne un grand coup de talon de l’autre dans le tibia du gardien. Vous savez, à l’endroit où il n’y a pas de muscles pour amortir le coup juste de l’os. Dans le même temps je tord le cou au maximum pour le mordre de toutes mes forces ce qui ne donne pas grand-chose étant donné ma position mais bon on peut toujours essayer, en attendant je continue à donner des coups de pieds vers l’arrière sans trop savoir où ils attérissent.
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MessageSujet: Re: Paumé dans le couloir [edward]   Paumé dans le couloir [edward] Icon_minitimeMar 11 Nov - 15:26

Merde ! Je déteste quand ils se débatent ! Sous la douleur, ma main se crispe sur son entre jambe, puis je recule d'un pas et lui décoche une baffe qui le fait tomber à terre. Sans même m'en soucier, je l'attrappe par les cheveux et le replaque violemment face contre le mur. La haine se lit dans mon regard, mais il ne peut pas vraiment le voir. Je ne tiens plus son poignet... C'est juste ma main, sur son crâne, qui écrase son visage contre la parois. Je dis alors, d'une voix glacée:

"Il t'interresse, le mur de Sadismus ? Bah tu vas en bouffer !"

J'appuie encore plus fort. Son visage se déforme sous la pression et, sans me contrôle, j'arrache son pantalon... Le tissus de l'uniforme de la prison n'est pas très résistant. L'élastique avant laché, je m'assure que les reste du vêtement tombent bien sur ses chevilles pour obstruer ses mouvements. Je descents ses dessous et pose ma main sur ses fesses en me collant à lui.

"Tu vas vite comprendre que ton role c'est la soumission. Te rebeller ne pourra t'apporter que plus de douleur..."

Je n'ai toujours pas laché son visage. De ma main libre, j'ouvre ma braguette et commence à écarter ses fesses... Je vais le faire hurler de douleur, il me suppliera en pleurant pour ma pitié !
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MessageSujet: Re: Paumé dans le couloir [edward]   Paumé dans le couloir [edward] Icon_minitimeMar 11 Nov - 15:26

Aie aie aie c’est bien beau de tordre le coup comme ça mais dans le même temps ça me vrille l’épaule… Mais qu’il me lâche ! Je crois que mon coup de pied lui a fait mal mais du coup ça m’a fait mal aussi, saleté ! Il ne pouvait pas mettre ses mains ailleurs ?

Enfin il me lâche. Le soulagement et de courte durée. Je sens une douleur cuisante sur la joue et je me retrouve par terre. Je n’y vois plus rien, mon regard c’est voilé de rouge sous le choc. D’un coup je me sens tiré par les cheveux et le mur se précipite à ma rencontre. Je laisse échapper un gémissement de douleur, ce n’est pas le genre de rencontre que j’apprécie, un peu trop… soudain dira-t-on. Comme si c’était le moment de perdre la tête ! On ce reconcentre.

"Il t'intéresse, le mur de Sadismus ? Bah tu vas en bouffer !"

Il ne m’intéressait pas de si près, merci. Il est complètement fou ce mec ! Je commence à étouffer un peu sous la pression mais pour l’instant je peux toujours respirer, heureusement j’ai pas envie de voir combien de temps je peux tenir en apnée. Le gardien arrache d’un coup mon pantalon. Là il commence vraiment à me faire peur. Je ne peux même plus lui donner des coups de pied à cause de ça, ça me ligote les chevilles d’une certaine façon. Je me force à respirer le plus calmement possible malgré la panique qui commence à monter en moi, inutile en plus d’étouffer. Ca devient de plus en plus difficile de rester calme alors qu’il m’enlève mon sous-vêtement et pose ça main sur mon postérieur. Qu’est ce qu’il va me faire au juste ? mon cœur bat de façon de plus en plus erratique. Je crois que je n’ai jamais eu aussi peur de ma vie.

"Tu vas vite comprendre que ton role c'est la soumission. Te rebeller ne pourra t'apporter que plus de douleur..."

Bizarrement cette phrase à pour effet à la fois de me terrifier davantage et à la fois de me révolter suffisamment pour passer outre. Moi soumis ? Jamais ! Enfin peut être un jour mais certainement pas maintenant ; j’ai tué tous ces imbéciles justement parce qu’ils attendaient de moi que je sois soumis et que je ne le supportais pas. D’un autre côté il me terrifie proprement et je ne me suis jamais senti aussi paniqué. Enfin pour le moment les deux s’accordent à merveille. Je ne sais pas ce qu’il veut à mes fesses mais sûrement pas du bien. Je me débats de plus belle en lui donnant des coups de coude dans les côtes, c’est l’avantage qu’il m’ait lâché les poignets. Pour l’instant je ne me soucis pas des conséquences je suis bien trop furieux et surtout bien trop paniqué par les actes étranges de ce gardien à qui il a l’air de manquer plus d’une case.
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MessageSujet: Re: Paumé dans le couloir [edward]   Paumé dans le couloir [edward] Icon_minitimeMar 11 Nov - 15:26

Il tente de se débatre... encore ? Je soupire et écarte un tout petit peu sa tête du mur avant de l'y replaquer avec violence. Le coté de son visage est contre la parois, alors que j'appuie sur l'autre joue. Tiens, je vois du sang couler sur le mur, mais je ne sais pas d'ou il vient... Mmm... Vu comme c'est abondant, j'ai du lui exploser l'arcade... Bah, peu importe, j'ai besoin de me calmer, là... J'inserre sans précautions deux doigts dans son intimité et commence à étirer son anneau de chair... Juste pour ne pas le déchirer dès la pénétration... Même si le sang est un très bon lubrifiant, je n'ai pas envie qu'il me casse les oreilles... Je me colle à son corps et mon sexe tendu frotte déjà contre ses fesses. D'un air mauvais, je sussure à son oreille:

"Un conseil, si c'est la première fois, détends toi parce que je vais entrer..."

Sur ses mots, je place l'éxtrémité de mon menbre au niveau de l'ouverture de son intimité. Je retire mes doigts et commence à pousser... C'est très étroit... très excitant surtout... S'il tente de se déffendre ca exélèrera ma progression...
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MessageSujet: Re: Paumé dans le couloir [edward]   Paumé dans le couloir [edward] Icon_minitimeMar 11 Nov - 15:26

Il ne doit probablement rien sentir tant mes coups sont ridiculement faible mais bon c’est pour le principe. Je me sens démunis et faible devant la facilité et la force avec laquelle il me colle le visage contre le mur mais je n’en cogne pas moins vers l’arrière, c’est plus une réaction de panique qu’autre chose. Pendant un bref instant la force qui m’oppresse le visage disparaît et c’est ma foi fort agréable. Toutes les bonnes choses ont une fin et là franchement je trouves que la fin arrive très très rapidement, bien trop à mon goût. La douleur implose dans ma tête et je pousse, bien malgré moi, un gémissement plaintif. Le sang qui coule à abondamment sur le côté de mon visage me renseigne sur l’origine de cette douleur lancinante. Il a du me péter une arcade sourcilière ce… Je ne trouve pas de mots pour le décrire, aucun n’est assez fort et dans un hélant passager de lucidité je m’interroge sur le pourquoi. Ce n’est pourtant pas la première fois que quelqu’un me frappe et je n’ai pourtant pas hait ni était terrorisé à ce point par ces gens. Alors pourquoi ?

Il m’entre brutalement dans les fesses et là ça me revient. Je ne le comprends pas, enfin je ne comprends pas ces actions. Pour moi ce qu’il fait n’a aucune logique et au fond ça me frustre un peu et m’effraie beaucoup de ne pas comprendre parce que ça veut dire ne pas pouvoir prévoir. En tout cas il me fait sacrement mal, je sert les dents et me tends contre cette intrusion. Il se colle contre moi et je sens quelque chose de dur se frotter contre mes fesses. Je déteste déjà la proximité en général mais alors là ce contact me révulse complètement. Et puis qu’est ce que c’est que ce truc…

"Un conseil, si c'est la première fois, détends toi parce que je vais entrer..."

Ma première fois de quoi ? Entrer où ? Quand à me détendre franchement je peux difficilement être plus tendu qu’en cet instant, difficile de se détendre quand quelqu’un vous terrorise ! C’est alors qu’une pensée m’effleure sur une possible explication. Le truc dur… son sexe ? Mais alors… Je n’ai pas tellement le temps de m’étendre sur la question qu’il enlève ses doigts de mon intimité et que je sens quelque chose de beaucoup plus gros de beaucoup trop gros, de mon point de vue en tout cas, qui commence à vouloir y entrer.

« Arrêtez espèce de malade je ne suis pas une fille ! »

Sauf qu’à l’intonation ma voie qui monte dans les aigués on pourrait se méprendre je crois. Terrorisé je cherche maladroitement à me dégager mais je ne réussis qu’à me faire plus mal encore. Le sang qui commence à sécher m’obstrue un œil, de toute façon tout ce que j’aurais pu voir c’est le mur en gros plan mais en l’occurrence ça ne fait que me paniquer davantage. C’est là que je me rends compte que la douleur m’a fait monté les larmes aux yeux. Enervé par cette prise de conscience je les ravale et me sers de mon coude le plus libre du fait qu’il me plaque maintenant un côté particulier du visage sur le mur et non plus de front pour le projeter sur l’endroit où je pense que se trouve la pommette de mon tortionnaire.
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MessageSujet: Re: Paumé dans le couloir [edward]   Paumé dans le couloir [edward] Icon_minitimeMar 11 Nov - 15:27

Et il tente de se défendre... Ce qui fait que j'entre en lui par acoups un peu plus violents... Je souris amusés... Mais surtout, je gémis de plaisir... Enfin, ça ressemble plus à un grognement qu'à un gémissement... C'est la première fois que je viole vraiment quelqu'un... Les esclaves du Duc sont toujours plus ou moins consentants... Et, franchement, c'est jouissif ! Il tente de me donne des coups de coudes, mais n'atteind pas mon visage... Je me colle à lui, cessant de plaquer sa tete contre le mur... C'est maintenant tout mon corps qu'il l'y maintient alors que je m'empare de ses poignets pour les immobiliser. Je murmure à son oreille:

"Ah bon ? Tu n'es pas une fille ? Pourtant, tu as un trou très accueillant... Je crois que je vais y rester un peu..."

Sur ces mots cruels, je fait un coup de rein brutal pour entrer totalement en lui. J'attend un peu qu'il s'habitue, mais pas plus que ça, je suis pressé, c'est vraiment bon... Il est tellement serré... Il aurait du se détendre... mais pour moi, ce n'est que plus agréable... Je me mets donc assez rapidement à executer des mouvements de va et vient violents et profonds... Je veux entendre sa voix appeler à l'aide dans le couloir, je veux qu'il me supplie...
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MessageSujet: Re: Paumé dans le couloir [edward]   Paumé dans le couloir [edward] Icon_minitimeMar 11 Nov - 15:27

Je dois avoir mal calculé où il était parce que mon coude ne rencontre que le vide ce qui n’est pas très étonnant en soit, j’ai bien trop peur et trop mal pour réfléchir calmement. Je me tortille malgré tout encore vaguement pour me dégager avant de cesser. C’est trop douloureux de se débattre comme ça. J’ai honte de baisser les bras ainsi et m’apprête de fait à recommencer immédiatement. Sauf qu’il ne m’en laisse pas le temps. Il me lâche la tête ce qui serait un soulagement, si le mouvement de recul par rapport au mur qu’elle a eu instinctivement lorsque la force qui la maintenait c’est relâchée n’avait pas provoqué une déchirure de ma peau collée elle au mur trop fermement par le sang coagulé avant que je ne replaque sous la douleur la tête contre ce mur que je commence à haïr d’autant plus que je ne connais toujours pas sa composition.

Et si il ne me maintenait à pressent pas contre le mur de tout son corps. Le sentir contre et en moi me révulse au point de me donner une forte envie de vomir que je peine à maîtriser. Je ne souhaite qu’une chose en cet instant, qu’il s’éloigne de moi et me laisse tranquille. Je me sens horriblement mal et ce n’est pas du qu’à la douleur qu’il m’inflige. En plus, maintenant qu’il m’a capturé les poignets je ne peux même plus me défendre… à part qu’avec mes jambes… Sauf que ça me ferait bien trop souffrir. Ainsi immobilisé, terrifié et incapable semble-t-il de riposter je me sens impuissant et le désespoir commence à m’envahir insidieusement. Comme si ce n’était pas suffisant, immobilisé comme je le suis-je ne peux éviter d’entendre ce qu’il me chuchote d’une voie basse aussi effrayante que lui.

"Ah bon ? Tu n'es pas une fille ? Pourtant, tu as un trou très accueillant... Je crois que je vais y rester un peu..."

C’est un mot de trop, je ne peux empêcher dès lors les larmes de me monter aux yeux. Pas plus que je ne peux les empêcher de rouler le long de mon visage alors qu’il m’assène un coup de rein violent qui le fait pénétrer entièrement en moi. Je serre les dents alors que je sens s’immobiliser brièvement. Ca au moins je peux le faire, m’empêcher de crier, je peux le faire. Mais alors qu’il commence à me pilonner violemment j’ai bien du mal à garder la bouche fermée. Finalement je me mets à sangloter pitoyablement. Mais pas bruyamment pas encore… Il ne me reste donc plus que ça ? Repousser de peu l’échéance ? Dans un sursaut de fierté je m’oblige à cesser ces sanglots humiliants et, tordant les poignets, je lui enfonce mes ongles dans la peau.
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MessageSujet: Re: Paumé dans le couloir [edward]   Paumé dans le couloir [edward] Icon_minitimeMar 11 Nov - 15:27

Je crois que je vais finir par lui passer les menottes s'il continue ! Pour toute réponse, je me mets à le piloner avec plus de force et lui parle avec un air menacant:

"Ce que tu fais est inutile, fillette, a moins que tu ne veuilles vraiment me mettre en colère... Cesse de te débattre, c'est ridicule."

Et ça, il ne le sait pas, mais il ne veut pas du tout ! Je souris, mais il ne peut le voir. Je le lache pour me saisir de ses hanches alors que je vois les larmes couler sur ses joues. Cramponnant mes mains sur sa peau, je fais des coups de buttoir de plus en plus violents. Il est si étroit, si paniqués, si effrayé... J'attends de l'entendre émetre des sons avant de me laisser aller, pour le moment, je ne fais que chercher mon plaisir en lui. Je le trouve d'ailleurs.... C'est vraiment agréable... Mais il y a tout de même un peu de déception là dedans... Le viol n'est pas vraiment mon truc en fait, je préfère partager ce genre de moment, même quand je les domine... Mais ce n'est meme pas la peine d'essayer, il ne peut pas trouver de plaisir dans ce que je lui fais, c'est impossible...

Dès que sa voix retenti de manière satisfaisante, j'accélère encore jusqu'à jouir en lui...
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MessageSujet: Re: Paumé dans le couloir [edward]   Paumé dans le couloir [edward] Icon_minitimeMar 11 Nov - 15:27

J’ai au moins la satisfaction de sentir mes ongles s’enfoncer dans la peau des ses bras, mais, bien sûr, ce sentiment est encore une fois bien éphémère. J’ai l’impression qu’il est encore plus brutal qu’avant et je peine à ravaler encore les sanglots qui me monte à la gorge. Ce qui ne me fait pas pour autant rentrer mes « griffes » aussi dérisoire que ça puisse être. En fait je crois que je m’accroche de toutes mes forces à la seule chose que j’ai pu attraper comme si ça pouvait m’éviter de sombrer.

"Ce que tu fais est inutile, fillette, a moins que tu ne veuilles vraiment me mettre en colère... Cesse de te débattre, c'est ridicule."

Sa voie a le don de me terroriser encore davantage, je ne pensais pas que c’était possible. Mais l’entendre parler juste à côté de mon oreille au milieu de cet océan de douleur est une expérience non seulement désagréable mais irréelle, je trouves ça impensable qu’il puisse parler aussi calmement. Je sais bien en théorie qu’il existe des gens qui trouve plaisir à faire souffrir leurs semblables mais j’aurais préféré ne jamais passer à la pratique. Et surtout pas dans ce sens là.. C’est alors que je remarque que je l’ai lâché et que je serre maintenant les poing jusqu’à enfoncer mes ongles dans ma peau à moi avec suffisamment de force pour faire couler le sang. Je lui ai obéis inconsciemment et cette nouvelle prise de conscience désagréable me mortifie et je me remets à sangloter en silence.

Il me lâche alors les poignets pour s’emparer de mes hanches. Je sens ses mains sur ma peau et ce nouveau contact me dégoûte lui aussi. Je bouge maladroitement mes bras tremblant pour poser mes mains contre le mur. J’ai besoin de faire un gros effort de volonté pour étendre mes doigts et cesser de m’entailler la paume. Dès l’hors je me raccroche au mur en face de moi en songeant étrangement que je dois être en train de rajouter mon propre sang à la couche de sang séché qui le recouvre.

Si mon effort de concentration nécessaire pour faire mouvoir mes bras m’avait distrait un instant ça ne dure pan bien longtemps. Chaque coup qu’il m’inflige me fait mal encore davantage. Soit qu’il soit à chaque fois plus brutal, soit que je soit de plus en plus sensible du fait des coups précédents ou peut être les deux. Sans pouvoir m’en empêcher je me mets à gémir et à pleurnicher de façon audible. Mais qu’est ce que j’ai fait pour mériter ça ? Euh…. J’ai tué plein de gens, c’est la raison pour laquelle je suis en prison, non ? Mais c’et différent je n’y prenais pas plaisir comme lui le fait, enfin si mais pas de la même manière ce n’était pas du plaisir plus un sentiment de contentement d’avoir réussi et une sorte de curiosité scientifique un peu morbide. Je délire complètement pour me lancer dans une introspection comme ça, ça ne m’était jamais arrivé auparavant. A bout de résistance je finis par pousser des cris de douleur qui résonnent dans le silence et l’obscurité des couloirs avant de le sentir jouir en moi. Un sentiment de dégoût profond et de répugnance me submerge. Je me retiens à grand peine de vider mon estomac, je suis suffisamment humilié comme ça inutile d’en rajouter. Je le hais. Je voudrais le faire souffrir autant qu’il me fait souffrir et le regarder mourir avec délectation. Ma haine dépasse ma paralysie provoquée par la terreur et je pose mes deux mains sur les siennes avant d’enfoncer d’un mouvement brusque mes ongles dans le dos de ses mains. Je sens sa peau se déchirer légèrement, je n’ai plus de force dans les doigts. C’est pitoyable mais c’est tout ce que je peux faire pour l’instant pour assouvir mon envie de le détruire. En même temps j’appréhende sa réaction et mes lèvres tremblent sous le coup de la frayeur.
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MessageSujet: Re: Paumé dans le couloir [edward]   Paumé dans le couloir [edward] Icon_minitimeMar 11 Nov - 15:27

Sans même m'en rendre compte, je mors sont cou avec violence pour le faire lacher prise... Ca semble marcher, je me rhabille et prends la parole:

"Pourquoi chercher à me blesser ? Maintenant, je suis obligé de te punir..."

J'attrappe alors l'un de ses poignets et le tire derrière moi. Son pantalon est toujours sur ses chevilles, mais je m'en moque éperduement, je marche à grands pas vers les salles d'isolement, j'en trouve une ouverte et le jette dedans sans ménagement. Mon ton était presque decu ou ennuyé... Mais le torturer ne me dérange nullement, au contraire... Je lèche doucement le sang qui coule des quelques blessures qu'il a tenté de me faire et referme la porte à clé derrière moi avant de me tourner vers lui d'un air mauvais.
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MessageSujet: Re: Paumé dans le couloir [edward]   Paumé dans le couloir [edward] Icon_minitimeMar 11 Nov - 15:33

Je lui griffe le dos des mains avec une profonde envie de lui faire mal… et en même temps je meurs de peur en me demandant si je n’ai pas complètement perdu la tête. En tout cas il semble que j’ai abandonné toute notion de prudence, si j’en ai jamais eu une remarque. Ce qui ne m’empêche pas de trembler. Je ne sais pas à quoi je m’attendais en représailles mais certainement pas à ça. C’est le retour du vampire, en légèrement plus vorace. Je le lâche aussitôt par surprise, par douleur, parce que de toute façon je n’ai pas de forces ? Pourquoi est ce que je n’arrive jamais à prévoir ses réactions ? Pourquoi ?! Ca me terrorise plus que toute autre chose et pourtant il est déjà terrifiant de toute manière. Il m’a complètement lâché, il ne me tiens plus et la seule chose que j’arrive à faire c’est m’agripper au mur pour ne pas tomber. J’ai mal, tellement mal… Si ma blessure à la tête ne saigne presque plus, elle le fait encore un peu ce qui fait que c’est des larmes teintées de sang qui me dégoulinent encore sur le visage et j’ai aussi un peu de sperme qui me dégouline entre les cuisses… le sien… Je me sens tellement sale. Je ravale un sanglot supplémentaire et essaie de décoller ma tête du mur. Reprends toi, allez essaye au moins de t’en aller ! Je n’irais pas bien loin mais bon. Je ne pensais pas « pas bien loin » à ce point là…. J’avais oublié les restes de mon pantalon accroché à mes chevilles et je me suis affalé de tout mon long. Je crois que ça va me faire de jolies croûtes sur les coudes, c’était une mauvaise idée de me réceptionner dessus…Le sol est dur et froid, mais peut être pas autant que sa voie.

"Pourquoi chercher à me blesser ? Maintenant, je suis obligé de te punir..."

Parce que tu l’as pas déjà assez fait co**** ! Pour un peu on dirait que ça l’ennuie ! Je lui lance un regard meurtrier qui vu les sillons de larmes présents sur mon visage, mon arcade éclatée et ma position ridicule ne doit pas être des plus convainquant et dont il se fout de toute façon éperdument visiblement. En effet il m’attrape par le poignet et se met à me traîner derrière lui en marchant à toute vitesse (de mon point de vue). A la première traction sur mon bras il m’a remit debout et j’essayes donc de le suivre en trottinant maladroitement histoire de ne pas refaire une chute, tout en lui griffant sauvagement le poignet pour qu’il me lâche… mauvais calcul je me retrouve de revêche par terre à me faire traîner pour de bon. Mais avec la satisfaction d’avoir attrapé la main par laquelle il me tient de ma main libre et d’avoir par réflexe enfoncé mes ongles dont je ne me suis jamais autant servi dans cette fameuse main lorsque j’ai perdu subitement de la hauteur. En jetant un regard derrière moi j’aperçoit le mince sillon de sang que je laisse derrière moi et qui s’élargit au fur et à mesure que je m’écorche contre la sol en ayant dans le même temps l’impression d’être écartelé grâce à la douceur merveilleuse avec laquelle il me traîne par le poignet. Je n’ai guère le temps d’y penser avant qu’il me jette dans une salle sombre qui a l’air déserte. Il n’a pas du penser que je m’accrocherais je pense ou alors il s’en fiche d’avoir une très esthétique rayure rouge sur l’avant bras ;

Je trouve l’atterrissage sur le sol bien douloureux mais au point où j’en suis je le remarque à peine tant c’est d’abord aux fesses que j’ai mal…. J’essaie laborieusement de me redresser et parviens après un ou deux efforts infructueux à me mettre sur les genoux. J’ai une folle envie de me rouler en boule pour pleurer mais je me refuse à être si lâche. Je le regarde dans les yeux le défiant du regard… sauf que j’ai un nœud à l’estomac probablement du à une angoisse dévorante, que mes genoux me font souffrir le martyre, que mes lèvres trembles sous l’effet de la frayeur et que mes larmes momentanément taries ne demande qu’à repartir… et que je n’aime pas plus le regard qu’il avait en léchant ses blessures que celui qu’il a maintenant alors qu’il me regarde après avoir fermé la portes. Même si je refuse de détourner le regard et que mon regard est tout ce qu’il y a de plus insolent et provocateur, inconsciemment je referme mes bras autour de mon corps comme pour me protéger.
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MessageSujet: Re: Paumé dans le couloir [edward]   Paumé dans le couloir [edward] Icon_minitimeMar 11 Nov - 15:34

Je le regarde tenter de se relever. C'est ettonant la différence de réaction entre son regard et son corps. Je ne peux que remercier le Duc de m'avoir envoyé ici pour expériment tout cela: quand je torturais ses esclaves, ils étaient tous toujours soumis, c'en était devenu fade... D'où mon ennui constant qui l'a poussé à me parler de Sadismus. Ici, ce sont des "vrais" gens, qui résistent, qui se défendent... Et c'est d'autant plus jouissif... Mais je n'aime pas être blessé, je l'ai bien trop expérimenté. Etre l'esclave de mon père pendant plusieurs années, c'est terminé ! Les traces de fouet son désormais cachés par le tatouage qui orne mon dos. Cette pouriture ne me fera plus de mal !

Je m'avance tranquillement vers le garçon à genou devant moi... trop calmement... D'un coup, je l'attrappe par la gorge et le soulève du sol pour la plaquer au mur. Ses pieds - toujours liés par son pantalon - ne touchent plus terre. Je lui fous une baffe retentissante et sort mon couteau de son fourreau à ma ceinture avant de faire jouer la lame près de ses yeux. D'un ton plein de menaces, je lui murmure:

"Griffes moi encore une fois et je te coupe les doigts, vermine..."

Je le lache et il tombe à terre. L'une de ses mains se retrouve posée au sol à quelques centimètres de mon pied... Le talon de ma chaussure vient alors s'écraser dessus. J'appuie fort mais m'arrete juste avant que les os ne craquent. Va-t-il se soumettre ou encore tenter de résister ? Ce qui est sur, c'est que là, il ne peut plus vraiment me blesser: je porte des grosses botines de militaires bien solides et un jean que ses ongles ne sauraient entamer... Et puis, s'il tente quoi que ce soit, le craquement des os de sa main va raisonner dans la pièce vide...
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MessageSujet: Re: Paumé dans le couloir [edward]   Paumé dans le couloir [edward] Icon_minitimeMar 11 Nov - 15:34

Je le regarde s’avancer tranquillement vers moi en me disant que je voudrais être n’importe où ailleurs mais pas ici, surtout pas ici, surtout pas en face de lui. Il n’est pourtant pas bien loin de moi, en effet il ne m’a tout de même pas projeté à des kilomètres. Mais j’ai l’impression que le temps c’est figé, qu’il n’en finit plus de se rapprocher de moi avec cet air trop calme. C’est vrai qu’on a une perception du temps très relative mais pourquoi fallait-il qu’il se fige maintenant ? J’ai tout le loisir de sentir ma frayeur monter à son approche le tremblement de mes lèvres s’accentuer. Je perçois du coin de l’oeil le jeu des ombres dans la lumière qui filtre sous la porte. Et je me sens tellement mal qu’a cet instant je souhaites que enfin il soit arrivé près de moi qu’il fasse n’importe quoi mais quelque chose et qu’au moins cette insupportable attente se termine.

Mais bizarrement quand il m’attrape par la gorge pour me plaquer contre le mur je regrette vivement l’attente précédente et l’appelle de tous mes vœux… Comme l’homme est versatile… Par réflexe je saisis la main qui entoure ma gorge pour essayer de l’empêcher de m’étouffer. Avec la force que j’ai dans les doigts autant essayer de soulever un rhinocéros au bout d’un cure dent ! J’essaies de remuer les jambes mais liées comme le sont mes chevilles par mon pantalon ce n’est guère plus concluant… Il me gifle et j’ai l’impression qu’il a essayé de me décoller la tête des épaules. En plus il a frappé su la même que l’autre fois ce qui fait que cette pauvre joue passe de la teinte violette qu’elle avait commencé à prendre à une teinte rouge vif à nouveau peut être également due aux diverse entailles que la brutalité de son geste à ouvert dans ma pommette. Malgré l’étourdissement qui s’en suit et la sensation de manque d’air qui commence à se faire cruellement sentir je vois clairement une lame se balader devant mes yeux. J’ai la sensation que mes poumons vont exploser.

"Griffes moi encore une fois et je te coupe les doigts, vermine..."

A vrai dire ce que tu pourras bien faire de mon cadavre ne m’intéresse pas… Car je sens que je m’achemine lentement mais sûrement vers un état cadavérique si il ne me laisse pas respirer. Enfin il parait qu’on voit sa vie défiler devant ses yeux d’abord alors peut être pas finalement… Il me lâche après ce qui me parait une éternité et je me retrouve par terre à aspirer de grandes goulées d’air pour retrouver mon souffle. Mes poumons me brûlent à chaque inspiration, mais au final je suis un peu déçu je n’ai même pas vu de grande lumière au bout d’un tunnel. C’est à se moment que je décide officiellement que le manque d’air fait perdre la tête et provoque des pensées bien étranges, d’autant plus que je n’ai pas la moindre envie de mourir… même si c’est peut être préférable à ce qui m’attends ensuite à cause de se taré. Je pousse un cri de surprise autant que de douleur quand je sen ma main se faire écraser. Mon autre main se convulse comme pour essayer d’écarter ce qui menace sa consoeur, sauf que je me suis effondré vers l’avant quand il m’a lâché. Je suis donc tombé sur le ventre les bras de par et d’autre de ma tête. Je tourne la tête pour apercevoir sa botte que je trouve très moche d’ailleurs et dont le talon écrase ma pauvre main avec conviction. On dirait qu’il écrase un insecte. Je le hais.

Je sens alors que mon autre main s’est posée sur quelque chose. En tâtant doucement cette chose du bout des doigts je m’aperçoit que c’est une petite pierre et mon malheureux majeur en récoltant une éfilade m’apprend qu’elle a un côté tranchant ; je referme mes doigts sur la pierre. Je vais lui montrer que les insectes piquent. Son avertissement me revient en mémoire et je frissonne. Je n’ai pas la moindre envie qu’il me coupe les doigts, ni qu’il me fasse quoi que ce soit d’autre d’ailleurs. Si je me mets à imaginer tout ce qu’il est en position de me faire je vais rester prostré de terreur. J’ai toujours eu une très mauvais foi ce qui me fait penser que là objectivement je ne le griffe, je frappe avec une pierre ce n’est pas la même chose… N’empêche que je suis mort de trouille. Mais je refuse de m’aplatir devant ce sal***, pas tant que je pourrais en tout cas… Cette pensée m’arrache un nouveau tremblement et je peine tant à maîtriser mon imagination qu’à retenir un nouveau flot de larmes qui n’attendent qu’un relâchement de ma part pour survenir. Malgré ça je ramènes mes genoux sous mon ventre afin d’avoir assez de liberté de mouvement, les éraflant au passage mais je ne suis plus à ça près je pense, et balance de toutes mes forces mon bras qui vient heurter son tibia avec le côté tranchant de la pierre que je tiens. Je continue ensuite de m’acharner à cogner sur sa jambe tout en adressant une pensée à ma pauvre main qui se trouve sous la botte de mon tortionnaire, j’ai bien peur qu’elle ne soit en première ligne d’une prochaine attaque ennemie. Je m’aperçois que j’ai fermé les yeux et que je serres fortement mes paupières clauses.
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MessageSujet: Re: Paumé dans le couloir [edward]   Paumé dans le couloir [edward] Icon_minitimeMar 11 Nov - 15:34

Il me frappe, le coup est tranchant, mon jean me protège, mais je sens qu'il n'y a pas que sa main. Par réflexe, je relève le pied pour le retirer de sa ligne de mire... Par chance pour lui, je n'ai pas écrasé sa main... Par contre, mon pied reprend la direction de son visage à une vitesse fulgurante... Et il percute sa machoire avec violence. Il est projeté en arrière et j'ecrase la main armée cette fois ci... Et je ne m'arrete pas en chemin... Je ne relève le pied qu'après avoir entendu le craquement significatif. Ses os sont brisés.

Je recule d'un pas et le regarde... Il a l'air bien, tiens ! Sa joue est gonflée, son arcade brisée saigne encore un peu, mais c'est surtout le sang coagulé sur sa tempe qui est visible. Son épaule est blessée... Son épaule ? Moi qui pensait avoir atteint la machoire... Enfin bon... Son épaule est blessée, donc. Et sa main brisée... De plus, il est toujours défroqué, la queue à l'air et ses genoux sont ensanglantés... Je souris, amusé et lui demande avec une douceur malsaine:

"Tu veux toujours jouer à te battre contre moi ?"

Je fais tourner le couteau dans me mains... menacant...
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MessageSujet: Re: Paumé dans le couloir [edward]   Paumé dans le couloir [edward] Icon_minitimeMar 11 Nov - 15:34

Curieusement je sens encore ma main qui était sous sa botte et tout aussi curieusement elle est intacte. J’ouvre les yeux, intrigué, et j’en comprends alors la raison… Il a reculé sa jambe. Ce qui était au final le but, non ? Je crois que non. Tout ce que je voulais c’était le frapper, lui faire le plus mal possible… enfin je ne m’attendais pas du coup à ce qu’il enlève sa jambe, du coup ça ne sert plus à rien de frapper dans le vide comme ça. Je repose le bras et me déplace légèrement sur le côté pour essayer d’avoir moins mal aux genoux…J’aurais sans doute mieux fait de regarder ce que faisait ce sale gardien parce que là j’ai rien vu, peut être qu’il allait trop vite aussi. Toujours est-il que j’ai à peine eu le temps de sentir une douleur à l’épaule que je me suis retrouvé projeté en arrière avec tellement de force que je finis par heurter le mur derrière moi avant de retomber au sol complètement hébété par le choc. Je n’ai même pas le temps de recouvrer mes esprits que je sens ma pauvre main qui tenait la pierre se faire sauvagement écraser. Sous la pression, je lâche mon arme improvisée qui va rouler un peu plus loin. Ce qui n’arrête visiblement pas mon tortionnaire puisque la botte vengeresse continue de m’écrasé la main jusqu’à la briser. Mon hurlement de douleur retenti en même temps qu’un craquement sinistre. Je me remets à sangloter alors qu’il retire sa botte. J’ai mal partout et j’ai affreusement peur. Je crois que je grelotte. Il fait très froid dans cette pièce et je suis à peine à moitié habillé mais je ne pense tout de même pas que je tremble uniquement de froid…

Il se recule légèrement. Pour admirer son œuvre ? Je dois offrir un tableau pitoyable. Les élancement aigué de douleur de ma main reviennent en force et honnêtement je me fiches totalement qu’il me regarde en ce moment j’ai juste mal… J’essayes vainement de me redresser et tout ce que je réussit à faire c’est à retomber en plein sur mon épaule blessée. Je serres les dents pour ne pas hurler et cède à l’envie qui me taraude depuis qu’il m’a emmené ici. Toujours en pleurant et sanglotant doucement de la façon la plus inaudible possible, je me roule en boule sur le côté de mon épaule encore plus ou moins intacte. J’attrape ma main brisée et je la serre contre ma poitrine. Je reste comme ça le plus immobile et silencieux possible en me concentrant de toutes mes forces pour ne pas hurler et appeler au secours.

"Tu veux toujours jouer à te battre contre moi ?"

Sa voie a un ton horrible qui colle tout à fait au personnage. Je le regarde et m’aperçois qu’il sourit. Ca le fait sourire cet enf**** de me voir comme ça. Ca m’énerve… Sauf que à peine ai-je essayé de me redresser à nouveau que je laisse échapper un gémissement plaintif… Bor*** ! Il m’a pas loupé ! Je le foudroie du regard de mon mieux mais j’ai beau avoir de l’expérience à foudroyer les gens du regard avec les yeux pleins de larmes ça perd de sa crédibilité quelque part… Déterminer à effacer ce sale sourire de son visage je tentes une énième fois de me redresser, au moins un peu. Ma main ensanglantée serrée contre ma poitrine me rappelle autant que le reste de mes blessures à quel point ce type est dangereux et à quel point il vaut mieux ne pas l’énerver. Alors on va dire que je suis un peu taré quelque part parce que je finis par me retrouver assis, à moitié de traviole sur un côté, ma pauvre main complètement disloquée toujours serrée contre ma poitrine, toujours tremblant et avec l’impression que je vais m’évanouir mais assis quand même. Je ne sais pas quoi faire d’ailleurs je n’ose rien faire… il me terrifie et le moindre mouvement me fait souffrir. En plus à cette distance je ne peux même pas lui cracher dessus. Alors je me contente de le regarder droit dans les yeux sans détourner le regard. J’ai encore des sillons de larmes visibles sur le visage mais je ne pleure plus.

« Sale c** ! »

C’est sorti tout seul, je devais la penser trop fort pour m’en empêcher.
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MessageSujet: Re: Paumé dans le couloir [edward]   Paumé dans le couloir [edward] Icon_minitimeMar 11 Nov - 15:34

Oh que non !! Il va rapidement cesser de m'insulter et il va me supplier ! J'ai encore envie de son corps, c'est impressionnant... Je m'avance vers lui et le prend par le poignet, celui qui est encore en bon état, pour le forcer à se lever. Le poignard est toujours dans ma main libre et je le presse contre sa gorge. Je murmure alors:

"On va recommencer... Comme tout à l'heure... Sauf que cette fois, tu vas participer...", je presse un peu plus la lame sur sa peau et un goutte de sang perle, "n'est-ce pas ?"

Mon regard est mauvais. Je pose sa main saine sur mon épaule, dans mon cou pour qu'il s'y accroche et je remonte l'une de ses jambes - du coté qui ne tient pas le couteau - sur ma hanche. Je déboutonne mon pantalon et presse mon sexe contre son intimité. Je m'empare de ses lèvres, mais ne commets pas l'imprudence de lui donner un chance de me mordre... Je les lèche doucement, les goutant... Puis je passe ma langue sur ses joues, tendrement, savourant le sel de ses larmes... Puis je murmure:

"Je vais recommencer... Mais je serais plus doux si tu ne te débats pas. Je ne te ferais pas mal... Je vais baisser mon arme, je cherche pas à te défendre, je risquerais de te tuer sans le vouloir... Laisses toi faire. Ferme les yeux si tu ne veux pas me voir... Quel est ton nom ?"

C'est de la pure folie... Comment puis-je esperer donner du plaisir à un être que j'ai autant blessé ? Ma main libre passe doucement sur sa cuisse, la caresse... et s'approche de son membre pour l'effleurer... Ma main armée descend en détachant les boutons de sa chemise puis se pose sur sa hanche. Mon bassin commence à onduler contre le sien alors que je ne suis toujours pas en lui, tout est si lent, si sensuel... Je tente de reveiller une erection... Est-ce peine perdue ?
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MessageSujet: Re: Paumé dans le couloir [edward]   Paumé dans le couloir [edward] Icon_minitimeMar 11 Nov - 15:35

Il s’avance vers moi et c’est seulement là que je remarque le couteau qu’il tient à la main. J’avais pas vu enfin j’avais vu qu’il tenait un truc mais pas que c’était un couteau…. Ca doit être du au fait que j’ai l’impression que je vais tomber dans les pommes, ce serait peut être mieux remarque. Je ne sais pas ce qu’il veut me faire mais il ne devrait pas avoir trop de mal je ne suis pas en état de me débattre beaucoup. Il me force à me relever en tirant sur mon poignet intact et je suis obligé de lâcher ma main brisée qui retombe aussitôt le long de mon bras. Ca fait mal… Pas le temps de trop m’attarder dessus de toute façon, le couteau qu’il vient de poser sur ma gorge requiert toute mon attention défaillante. Il va me tuer ? Je ne veux pas mourir.

"On va recommencer... Comme tout à l'heure... Sauf que cette fois, tu vas participer..."

Non ! Pitié, tout mais pas ça ! Je ne veux pas ! Je préfère qu’il me continue à me cogner ! Non, non, non… Je frisonne de terreur et de dégoût rien qu’à l’idée. Il presse suffisamment sa lame pour entamer la peau de mon ou et faire perler le sang avant d’ajouter toujours en murmurant de sa voie tant haïe.

"N’est-ce pas ?"

Mes larmes font elles plus que perler, elles coulent ; Je ne veux pas qu’il recommences, ça fait bien trop mal. Et je veux encore moins participer de quelque manière que ce soit. Tout ce que je voudrais c’est qu’il me laisse tranquille. Et s’il essaye de recommencer je voudrais juste me débattre le plus possible pour qu’il me lâche. Sauf que je ne veux pas mourir… Je croyais pourtant que ça m’était égal de crever ou non, mais on dirait que j’ai quand même un certain instinct de survie puisque quand il me lâche le poignet pour poser ma main sur son épaule je m’accroche à cette épaule comme il a l’air de vouloir que je le fasse. Je me dégoûte de lui obéir comme ça, j’ai horreur d’être soumis. Il me prive de l’appui d’une de mes jambes par terre et j’ai le plus grand mal à rester debout, je m’accroche plus fermement pour ne pas perdre l’équilibre. J’ai envie de le griffer mais le couteau qui s’appuie sur ma gorge m’en dissuade. Qu’est ce qu’il est grand ! Je n’avais pas vraiment fait attention mais il me domine largement, on doit avoir environ un demi mètre de différence. Je sais bien que je ne suis pas encore bien grand mais quand même… Une horrible sensation me sort de mes réflexions sur la taille du gardien. Je me mets à gémir pitoyablement.

« Non, non… »

Je me vois dans l’obligation de me taire puisque sa bouche vient obstruer la mienne. Quelque part c’est tant mieux, ça m’évitera de le supplier, mais d’un autre côté je n’avais pas la moindre envie de le laisser m’embrasser. Il ne me laisse même pas une occasion de le mordre pour le faire s’arrêter, il est loin d’être bête. Je me sens mal, pourquoi fallait-il que ma première fois se passe avec ce type ? Je le déteste au moins autant pour ça que pour sa brutalité. Enfin là ça contraste sacrement avec sa brutalité justement. Et quand il me lèche les joues j’ai l’impression qu’il est presque tendre, ce qui ne m’empêche pas de continuer à pleurer. Que son attitude change aussi brusquement sans aucuns préavis me fait peur. Je n’ose pas bouger, son couteau est toujours sur ma gorge et au moindre faux mouvement je risque de m’empaler dessus. Ma main se crispe davantage sur son épaule, je tremble.

"Je vais recommencer... Mais je serais plus doux si tu ne te débats pas. Je ne te ferais pas mal... Je vais baisser mon arme, je cherche pas à te défendre, je risquerais de te tuer sans le vouloir... Laisses toi faire. Ferme les yeux si tu ne veux pas me voir... Quel est ton nom ?"

Non pitié, je ne veux pas, surtout pas, ne me faites pas ça… Même si je lui dis il s’en fichera complètement… Pas mal ? Je ne voit pas comment ! Mon intimité est déjà douloureuse de son dernier passage avant même qu’il ne me pénètre à nouveau… Il voulait peut être simplement dire pas plus mal… Je ne veux pas me laisser faire, ça me dégoûte ! Et je ne veux pas mourir… Sale dilemme. En tout cas je refuse de fermer les yeux même si j’en meurs d’envie. Je refuse de capituler à ce point là ! Mon nom ? Qu’est ce que ça peut bien lui faire ? Il n’avait pas tellement l’air de s’en soucier il y a un instant. Je déteste qu’il me prenne au dépourvu comme ça même si cette irritation ressemble plus à une contrariété d’enfant gâté par rapport au reste. Mais qu’et ce qu’il va faire si je ne lui réponds pas ? Je n’ai pas précisément envie de tenter le diable.

« Edward… Stevensen. »

J’ai une toute petite voie enrouée par les larmes. J’ai hésité avant d’ajouter mon nom de famille, nom d’une famille d’aristo pourrie de fric que je déteste, manque de bol s’est ma famille. Il me caresse la cuisse et je ne bouge pas même si l’étreinte du couteau sur ma gorge c’est desserrée, son avertissement m’est bien resté en tête. Puis sa main quitte ma cuisse pour effleurer mon sexe, pour le coup j’envoie l’avertissement dans les roses pour me tortiller un peu essayant d’échapper à son contact. Je ne veux pas qu’il me touche ici et encore moins comme ça. S’il m’a fait mal la dernière fois en aventurant ses mains dans cette zone pas cette fois ci et c’est encore bien plus effrayant, plus effrayant de penser que ses caresses pourraient me plaire et qu’il ait une emprise supplémentaire sur moi que celle que lui procure sa force. Je sens mes joues s’embraser, je n’aime pas du tout rougir devant quelqu’un et encore moins dans ce genre de circonstances embarrassantes. Dans le même temps il a semble-t-il décidé de me déshabiller encore plus que je ne le suis déjà puis m’agrippe la hanche sans pour autant me faire mal. Je songe un instant que je pourrais essayer de me dégager vu que son couteau est ainsi éloigné mais j’éloigne vite cette pensée, je n’ai réellement pas envie de parier ma vie la dessus. Son comportement me perturbe d’une manière étrange et réveille en moi une sorte de chaleur que je ne connais pas et qui me semble en discordance totale avec la douleur qui émane non seulement de ma malheureuse main mais aussi de mon épaule blessée, de ma joue enflée et de toutes mes autres meurtrissures. Je ne sais pas quoi faire, alors qu’il semble avoir décider de ne plus me frapper, et je préférerais que ça dure, et de me violer à nouveau et ça je ne préférerais pas. Je sais d’autant moins quoi faire que je réagit de façon étrange à ses nouvelles manières, comment puis je apprécier ses caresses et y réagir tout en me sentant dégoûté par le fait qu’il me touche et terrifié par la perspective qu’il me possède de nouveau en m’envahissant, en me faisant souffrir. C’est un sentiment plein de contradiction… Je cherche son regard histoire de savoir quoi faire. Je me force à décrisper un peu ma main, conscient que je dois lui blesser l’épaule à m’agripper aussi fort.
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MessageSujet: Re: Paumé dans le couloir [edward]   Paumé dans le couloir [edward] Icon_minitimeMar 11 Nov - 15:35

Stevensen... Mmm... Ce nom me dit quelque chose... Stevensen ? Ah oui ! Ce gosse qui a tué la moitié de la noblesse de son pays...

"Tu as tué une de mes cousines, je crois bien... J'appartiens à la famille du Grand Duc du Luxembourg... Mais, dis moi, tu as quel age, Edward?"

Les rumeurs le disaient enfant... Tout est toujours amplifié il me semble. Quand j'avais entendu parler de ça, je pensais qu'il avait 8 ans, le gosse... Lui, n'a pas 8 ans... Il est mineur, certes, mais tout de même... Néanmoins, je comprends mieux pourquoi il m'attirait irresistiblement... C'est le sang. Les hommes au sang bleu m'excitent plus que les autres.

Je le sens très accroché dans mon cou... Mmm... C'est vrai que je suis grand et cette position, bien que pratique pour la pénétration, n'est pas forcément très confortable pour lui. Je me penche à son oreille:

'Je vais ranger mon arme, Edward, n'essaie pas de me la prendre, ni de te débattre, ça serait une mauvaise idée..."

Je glisse le poignard dans son fourreau, à ma ceinture, du coté de sa main blessée. Puis je passe ma main, maintenant libre, dans le creux de ses reins puis sur ses fesses jusqu'à sa cuisse... celle sur laquelle il est encore appuyé. D'un coup, mais sans pour autant chercher à lui faire mal, je le soulève, le prends dans mes bras. Le voici, les cuisses autours de mes hanches. Je l'appuie sur le mur et me saisis de son bras pendant pour l'appuyer sur mon avant bras. Ainsi, il ne ballotera pas et ne risquera pas de cogner le mur.

"Edward, accroche toi à moi."

J'embrasse son visage, pose mes lèvres sur ses yeux comme pour arrêter ses larmes. Celle de mes mains qui était jusqu'alors en train de caresser son membre se déplace dans son dos pour atteindre son intimité. Mon sexe est toujours collé à ses fesses, mais je reste hors de lui. Mon bassin ondule lentement. Mes doigts entrent doucement en lui. Je doit le préparer, l'étirer lentement... Je murmure:

"Oublie la douleur qui se rappelle à toi. Ce n'est qu'une information que ton corps envoie à ton cerveau, ignore là... Je sais que c'est plus simple à dire qu'à faire... Je ne le sais que trop bien... Mais tu a certainement la force de caractère pour y arriver... Détends toi, Edward, calme toi... Je ne te ferais pas mal cette fois-ci, je te l'assure... Mais pour cela il faut que tu t'abandonne totalement..."

Ma voix est douce, comme une berceause alors que mes doigts explorent son intimité. Je percute involontairement sa prostate... Du moins, la première fois était involontaire... Je me tourne un tout petit peu pour que son poind appuie plus sur son épaule saine... Je devrais me ressaisir, un enfant si jeune, je ne devrais pas avoir autant envie de lui... Mais qu'y puis-je réellement ?
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MessageSujet: Re: Paumé dans le couloir [edward]   Paumé dans le couloir [edward] Icon_minitimeMar 11 Nov - 15:36

Il me connaît ? Enfin quelque part c’est normal si il appartient à la noblesse. Je suppose que ça a du faire du bruit dans ce petit milieu fermé si friand de rumeurs. Tous ces cancaniers qui adorent tant discuter de scandale en tous genres ont du s’en donner à cœur joie. Enfin bon à cette époque, même si je m’étais posé la question, j’étais déjà en prison coupé du monde extérieur. Quant à savoir si j’ai tué une de ses cousines où non, je n’en ai pas la moindre idée, dans le tas… De toute façon quelque chose me dit qu’il se fiche autant que moi voir plus encore de cette cousine éventuellement décédée. Ou en tout cas il n’a pas l’air d’en faire grand cas. Au fait comment ça se fait qu’un bourge comme ça soit devenu gardien de prison ? Je sentis alors nettement la douleur émanant des blessures qu’il m’avait infligé et me rappelais la cruauté dont il avait fait preuve, il était probablement gardien par goût. Je me remémore alors sa question, qu’est ce qu’ils ont tous avec mon âge ? La douleur est un très bon ancrage à la réalité, je me rappelais que j’étais enfermé dans une pièce qui avait tout d’un cachot lugubre dans les sous sols d’une prison où j’allais passer le reste de mon existence, si courte fut-elle si je continuais à m’attirer des ennuis ainsi, en compagnie d’un homme qui m’avait violé et battu et avait décidé de recommencer. Un homme dangereux que je n’avais pas envie de contrarier pour une raison aussi futile qu’un entêtement enfantin à ne pas vouloir répondre à une question. C’est donc en tremblant de nouveau et d’une voie légèrement terrifiée que je répondis.

« 13 ans »

Je me demande bien en quoi ça peut l’intéresser, tout comme mon nom remarque. Je n’ai pas vraiment le temps ni la possibilité de m’étendre sur le sujet, je peux difficilement ignorer ma situation présente, j’ai toujours mal et peur et je pleure toujours d’ailleurs, en plus il est collé contre moi et me touche d’une manière bien trop intime pour que je puisse faire abstraction de sa présence. Son souffle se glisse dans mon oreille me faisant frissonner.

'Je vais ranger mon arme, Edward, n'essaie pas de me la prendre, ni de te débattre, ça serait une mauvaise idée..."

Même si je le voulais, et je le voudrais vraiment je crois, comment m’y prendrais je au juste pour lui prendre son arme ? Avec quoi devrais je dire… Je ne pourrais plus utiliser cette main avant longtemps et l’autre est indispensablement accrochée à son cou pour m’empêcher de me retrouver par terre, remarque je me demande si je ne préférerais pas être par terre plutôt que contre lui comme ça. Le pire c’est que je ne le sais pas, une certaine partie de mon anatomie semble beaucoup apprécier ses caresses même si objectivement ça devrait me révulser. De même que son autre main qui me pelote les fesses, je la sens qui descend lentement de mes fesses à ma cuisse. Et puis d’un coup je sens mon pied encore en contact avec les pierres froides les quitter. C’est surprenant… et effrayant de perdre ainsi tout contact avec le sol. Instinctivement je passe mon bras par lequel je tenait son épaule autour de son cou et me serre contre lui. Je reste un instant dans cette position, dans ses bras. C’est étrange mais je ne m’étais jamais serré contre quelqu’un comme ça. Je sens une surface dure et froide qui doit être le mur contre mon dos et dans un sens c’est un soulagement. Je m’éloigne un peu de lui presque à regret de devoir retirer ma tête du creux de son épaule. Tout d’un coup j’ai honte de moi, comment ai- je pu faire cela ? Je m’éloigne d’avantage encore, me collant le plus possible contre le mur.

"Edward, accroche toi à moi."

Mais je me contente de reculer encore un peu même si je laisse ma main fermement posée sur son épaule. La pierre des murs est glacée. Il embrasse mon visage encore une fois, j’aime bien ça je crois. Je me morigène mentalement, pas question de se laisser aller. Cet homme m’a fait souffrir et c’est montré brutal avant de changer subitement pour une attitude plus douce. Ce qui signifie qu’il peut tout aussi rapidement repasser à la brutalité. Peut être qu’il n’attend que ça, que je baisse mes défenses pour pouvoir m’atteindre plus cruellement encore. J’ouvre à nouveau les yeux une fois que ces lèvres s’en sont retirées. Le flot de mes larmes s’est un peu tari même si il ne s’est pas complètement asséché. Il cesse alors de me caresser le sexe et je me rends compte que… ça me frustre. Cette découverte m’horrifie mais pas autant que le fait de constater que mon membre a commencé à durcir sous le toucher de ses mains. Qu’est ce qu’il m’a fait ? Pourquoi je réagis comme ça ? Je ne comprends pas. A cet instant je sens ses doigts entrer en moi et je me mets à sangloter fortement. Pas tant qu’il me fasse si mal que ça même si effectivement ça fait très mal, parce que rien ne devrait entrer normalement par là même doucement et surtout parce que cet endroit de mon corps a était cruellement endolori tout à l’heure. Mais c’est surtout que je suis complètement terrifié par la perspective qu’il entre de nouveau en moi. Je sens son sexe, toujours collé contre mes fesses, et je le trouve bien trop gros, bien trop volumineux pour moi… Son bassin bouge lentement mais je ne sais que trop bien à quel point ses mouvements peuvent être beaucoup plus brutaux et rapide... Et j’en tremble.

Comme c’est facile de m’enjoindre d’ignorer une douleur bien trop réelle, sauf que ça l’est beaucoup moins de le faire effectivement. Et en plus il dit qu’il le sait mais il me le demande quand même ! Hein ? Il ne le sait « que trop bien » ? Qu’est ce qu’il lui est arrivé ? Il s’est fait violé lui aussi ? Si c’est le cas alors pourquoi m’a-t-il fait ça ? Pourquoi me fait-il ça ? Encore une fois la douleur m’arrache à mes questions inutiles et je pousse un gémissement plaintif. Je n’arrive pas à calmer mes sanglots à me détendre… Comment le pourrais je ? M’abandonner c’est m’abandonner à lui, ça voudrait dire lui faire confiance. J’en suis incapable, déjà en général je ne fais confiance à personne mais alors à lui moins qu’à tout autre. Même si en ce moment sa voie est douce je ne peux pas oublier qu’elle était glacée il y a si peu de temps.

Il touche soudain quelque chose en moi et du plaisir vient se mêler à ma douleur, venant durcir davantage mon membre pas encore tout à fait érigé. Le phénomène se répète et je me sens confus dans cet étrange mélange de deux sensations opposées. Je suis si fatigué, je voudrais fermer les yeux et les rouvrir pour m’apercevoir que ce n’était qu’un cauchemar et en même temps je ne voudrais pas et toute cette confusion qui règne en moi ne fait que m’effrayer davantage. Je niche ma tête dans le creux de son cou, me resserrant de nouveau contre lui pour essayer vainement d’étouffer mes sanglots contre sa poitrine. Si je peux faire abstraction de la douleur, pas de la peur qui me dévore le ventre.

« Arrêtez… » Murmurais je presque imperceptiblement entre deux sanglots.
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MessageSujet: Re: Paumé dans le couloir [edward]   Paumé dans le couloir [edward] Icon_minitimeMar 11 Nov - 15:36

Il me demande d'arrêter, mais son corps commence à prendre plaisir à ce que je lui fait... Suis-je en train de me donner une excuse à ce que je fais tout comme mon père prétendait que c'était pour mon bien qu'il me fouaitait ? Je soupire alors qu'il se love contre moi. Comment puis-je avoir autant envie d'un enfant ? Pourquoi est-ceque je veux lui montrer les plaisir de la chair alors que je l'ai violé il y a quelques minutes... Et si je m'arrête maintenant ? Non, je ne peux pas... Et pourquoi pas ? Je percute à nouveau son point de plaisir et je sens que son corps en redemande... Le prendre alors qu'il est dans cet état n'est pas la meilleur solution pour qu'il aime ça... Pourtant, à la seconde où mes doigts sortent de lui, mon sexe se positionne à l'entrée de son intimité... J'en ai envie, tellement envie... Je murmure son nom... Mais ce que je ressent doit être incompréhensible à ses yeux... Je ne veux plus lui faire de mal... Maintenant qu'il est soumis, comme d'habitude, je veux proteger ma victime... Je suis si prévisible... Mon gland se glisse lentement dans ses chair... Juste quelque centimètres et je sais que je ne pourrais pas résister à plus... Pourtant il pleur dans mes bras... Mais c'est si bon d'être en lui... Celle de mes mains qui ne soutient pas son côté blessé repasse entre ses jambes et se saisit de son membre si dur pour le masturber... Et lui, comment peut it autant en voulair et me supplier d'arrêter... Quand mes doigts son entrés en lui, j'ai sentit qu'il n'y avait pas de déchirures, même si je l'ai irité je ne l'ai pas blessé... Je voudrait tellement entrer plus en lui... je gémis son nom en accélérant le rythme de ma main sur son sexe... En lui, ma verge fait des mouvement infimes, entrant un peu, ressortant un peu moins, entrant un peu plus... Je progresse lentement, en douceur... En cherchant à ne provoquer aucune douleur... Est-ce utopique de croire cela possible...
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MessageSujet: Re: Paumé dans le couloir [edward]   Paumé dans le couloir [edward] Icon_minitimeMar 11 Nov - 15:36

Je suis dans un état chaotique, tant physiquement qu’émotionnellement… D’un côté ma main ne s’est pas ressoudée par miracle pas plus que ma joue n’a désenflée pas plus que mon épaule et mes autres contusions n’ont guéries. Je suis terrifié, paniqué et à bout de forces, incapable d’arrêter mes larmes de douleur de fatigue et de terreur. D’un autre côté mon bas ventre est agréablement échauffé…. Et de fait l’intrusion de ses doigts me fait plus de bien que de mal… Mes sentiments à l’égard du gardien sont de même assez embrouillés. Je le déteste, je peux même dire que je le hait, il m’effraye toujours autant voir plus qu’avant. Et en même temps on dirait que je cherches sa protection en me blottissant tremblant contre lui, c’est d’ailleurs peut être une des raisons pour laquelle j’ai peur de lui. Je sens ses doigts quitter mon intimité et encore une fois je m’en sens frustré... Et encore une fois j’en ai honte. Pendant un instant je me demande naïvement si c’est enfin fini. Je sais pourtant que ce n’est pas le cas mais les humains ne peuvent jamais s’empêcher d’espérer n’est ce pas ? Je sens son membre bouger contre mes fesses pour se positionner à la place que les doigts viennent de quitter. Pourquoi ? Je ne veux pas, je ne veux pas qu’il continue, je ne veux pas qu’il me fasse ça… je me redresse à nouveau contre le mur en essayant faiblement d’échapper à son étreinte.

« Non… je ne veux pas… »

C’est stupide de dire ça, il n’en a rien à faire de ce que je veux ou pas… Il murmure mon nom, dire que je ne connais même pas le sien… Pourquoi est ce que je réagis si peu ? Parce que je n’ai plus de forces ? Je n’en ai jamais eu de suffisantes pour lui résister vraiment de toute façon… Parce que j’ai peur de mourir ? Je ne veux pas mourir c’est vrai mais je ne veux pas non plus qu’il me prenne et puis il a mis son couteau à la ceinture… Et il peut l’en ressortir très vite, attention à ce que tu fais ! En tout cas même si je ne peux pas faire grand-chose rien ne m’oblige à le supplier ! Je ne le ferais plus ! J’ai beau essayer d’avoir des pensées énergiques et de me concentrer dessus, je sens malgré cela son gland entrer en moi et ça fait mal… et j’ai peur. Je me retrouve de revêche à sangloter contre sa poitrine, j’en ai assez je voudrais que ce soit terminé… Et dire que mon membre reste pourtant dressé, j’éprouve à cet égard un sentiment de trahison. D’un autre côté il s’est remis à me caresser, alors c’est normal d’y réagir… Normal mais honteux. Je refuse de baisser les bras comme ça. Ca ne fait pourtant pas si longtemps qu’il m’a surpris dans le couloir mais j’ai l’impression que ça fait une éternité que je lui résiste… en intensité en tout cas ça fait beaucoup…

Il gémit mon nom de nouveau et je me demande à nouveau quel peut être le sien. Il entre en moi si doucement que ça ne me fait pas si mal… beaucoup moins que je m’y attendais en tout cas. Je me recule contre le mur, m’arrachant une nouvelle fois à son étreinte. Je voudrais le supplier d’arrêter mais je n’en fais rien, j’ai décidé de ne plus le supplier plus jamais… En même temps j’apprécie beaucoup les caresses que me prodige sa main et je trouve cela anormal. De ce fait je me sens sale… Je ne sais toujours pas quoi faire, pas plus que tout à l’heure. La petite goutte de sang qui a coagulée sur mon cou me rappelle très bien ce qu’il ne vaut mieux pas que je fasse. Je me plaque davantage contre le mur de pierre, si froid, alors que lui il est si chaud… non je ne me replacerais pas contre lui, je suis capable d’endurer ça sans son réconfort après tout c’est lui qui me fait subir ça, c’est paradoxal. Sauf que quand je sens sa main bouger si agréablement je ne sais pas si on peut dire endurer… mais c’est encore le verbe le plus approprié je pense, mes blessures me font mal, je ne veux pas le sentir en moi… Je reste là contre le mur sans bouger, je n’ose pas trop le provoquer, sans rien faire d’autre que pleurer doucement. Je vais finir déshydraté. Je tourne résolument mes yeux vers le plafond pour ne pas le voir mais c’est encore plus dur à supporter comme ça, retour des sanglots qui me secouent le corps, ce qui est dans ce cas douloureux.
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MessageSujet: Re: Paumé dans le couloir [edward]   Paumé dans le couloir [edward] Icon_minitimeMar 11 Nov - 15:36

Merde ! Le voir pleurer comme ça me culpabilise tellement que ça en diminue mon envie... Je me laisse glisser à genoux à terre pour que ses pieds touchent le sol et je me retire doucement de lui... J'embrasse son visage et le serre dans mes bras... Pourquoi j'aime le serrer contre moi comme ça ? Je suis ridicule. Ma main n'a pas cessé de caresser son membre et j'ai envie de lui donner du plaisir, de le faire jouir... Pourtant je m'arrête. Très doucement, avec une lenteur insupportable, je me détache de son corps et me relève puis je lui tourne le dos pour me rhabiller. Je suis frustré. Mon érection n'a pas été satisfaite... Mais je ne peux plus recommencer. Quand je l'ai violé tout à l'heure, c'était pour le punir, parce que malgré son jeune age, il se sentait si supérieur à moi... Il est en prison, c'est un criminel, moi je suis la loi...

Tu racontes n'importe quoi, Pythagoras, tu te moques totalement de la loi, elle te sert juste de prétexte...

Je soupire puis lui fait à nouveau face. Sans un mot, je le relève et lui remets son pantalon avant de le prendre dans mes bras comme on porterait un enfant. J'ouvre la porte et, en silence, quitte cette salle si noir, si froide, si humide, si horrible... Je voudrais le prendre, ce désir me tarraude encore, mais je ne veux pas le violer, je veux lui faire l'amour, je veux le faire jouir... Je suis tellement risible...
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MessageSujet: Re: Paumé dans le couloir [edward]   Paumé dans le couloir [edward] Icon_minitimeMer 12 Nov - 8:54

Je porte dans mes bras un garçon sanglotant. Je traverse les couloirs ignorant les regards des prisonniers et des gardiens. J'arrive enfin à l'informerie ou je le dépose doucement sur un matelas. Là, je vais ouvrir les placards pour en sortir de quoi le soigner. D'abord, désinfectant et eau, je rince sa main blessée, la nettoye, désinfecte les éventuelles plaies... Et installe une atelle... Je me souviens avoir fait les même gestes avec Carl... Mais là, il y a quelque chose en plus, comme de la tendresse. Ceci fait, je nettoie et désinfecte son épaule et son visage. Je murmure alors:

"Cesse de pleurer, Edward, c'est terminé. C'est fini."

Je passe doucement mes doigts sur ses yeux avant de demander:

"Je dois désinfecter tes genoux aussi. Tu veux bien te deshabiller ? Je vais te chercher d'autres vêtements."

Je reste dans la salle, mais je lui tourne le dos... C'est tellement ridicule... Je l'ai violé et je lui demande la permission de toucher de nouveau sa peau... Et je le laisse se deshabiller... Il a même la possibilité de se cacher sous les draps aussi... Je trouve enfin un uniforme à sa taille et je me tourne face à lui... Je me demande comment je vais m'y prendre pour lui parler de la pomade pour appaiser les douleurs de son anus... Peut être vaut il mieux que je lui propose de se l'appliquer lui même...
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MessageSujet: Re: Paumé dans le couloir [edward]   Paumé dans le couloir [edward] Icon_minitime

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