Arrivée d'un ange pour ainsi dire

Tout c'est passée si vite, mon arrestation, volontaire, le tribunal, la peine, et enfin lle fourgon qui m'emmene jusqu'a mon nouveau terrain de jeux, ce que je vais m'amuser. Dans une de mes mains, des cartes, qui ne me quittent jamais, j'en tire une, mais je ne la regarde pas, j'en tire une autre, tout en regardant une des trois gardiens du véhicules, celle là je la regarde, c'est la papesse, synonie de prudence pour cette occasion.
J'aurais bien aimée commencé à m'amusée dans ce fourgon, mais je me plait à suivre les conseils de mes cartes, tant pis, cela sera pour plus tard.

Je rejette un coup d'oeil aux gardiens, qui ne me lache pas des yeux, omme ci j'allais tenter de m'évader, si je suis ici, c'est uniquamant par choix, je vais pas partir alors que mon seul désire, pour le moment est d'arriver à destination. Je surprend l'un des hommes à regarder mon jeu de tarot, je tend la main, ce qui à pour effet de les faire reculer et de porter leurs mains sur leur armes

On se calme les cow boys, toi tire une carte.

Il semble hésiter, je connais bien ce genre d'homme, il suffit de le provoquer pour qu'il s'éxécute.

Tu vas pas me dire que tu as peur de moi, je suis desarmée et attachée.

Gagnée, comme toujours. Il attrape une carte, et la regarde, je sais très bien que pour lui tout cela ne signifie rien, je lui fait signe de me rendre la carte, je la regarde, le pendu

Tu es face à un dilemne et tu devras faire un sacrifice.

Sans un mot, je range mes cartes et regarde par la vitre, je sens sur moi les regards étonnée des gardiens, j'ai fait mon petit effet. L'une des gardiens ouvre la bouche, au même moment le fourgon ralentie puis s'arrète, la porte arrière s'ouvre. Les gardiens descendent, avant de me faire sortir, il rajoute un paire de menottes à mes pieds, et m'entrainent jusqu'a la prison, un sourire ce déssine sur mes lèvres.

*On y ait.*
*Qu'elle superbe idée nous avons eut*

L'un des gardiens frappent à la porte gigantesque, moi j'observe les alentours, et murmure les paroles d'une chansons, une manière de passé le temps.

Première journée, premier accueil...

D'après le dossier, c'est une femme... bizarre... Bah, je peux parler, un aristo qui vient se perdre dans une prison, n'est-ce pas bizarre aussi ? Elle a commis presque 150 meurtres. Interressant. Elle est extrêmement riche... Tiens, si ça se trouve, je connais sa famille. L'idée me fait sourire. Je glisse une cigarette dans ma bouche et repose les documents. Direction les grilles.

Je traverse la cours et arrive aux portes que j'ouvre quand j'entends quelqu'un y frapper. Ils s'y sont mis à trois pour cette gamine ? J'observe un instant les flics... même pas un gars potable.

"C'est bon, je prends le relais, merci les gars."

Elle a pas l'air d'avoir de bagages, parfait, je l'attrappe par le col et la pousse à l'interrieur alors que le camion redémarre déjà... Ils n'aiment pas venir jusqu'ici... Je referme consciencieusement la grille. Et me retourne vers la jeune fille.

Je la dépasse d'au moins 30 centimètres... Il faudrait que j'arrete de faire automatiquement ce calcul, je ne connais personne de plus grand que moi si ce n'est les joueurs de basquet... Alors c'est normal que cette gamine m'arrive au milieu du torse. Allez, on rentre. Je la pousse fortement vers les portes du hall. Et d'un ton ironique je lui murmure:

"Bienvenue à Sadismus, ma petite..."

J'ai à peine le temps de finir mon observation du coin et des environs, que la porte s'ouvre, je suis impatiente de commencer mon petit jeu, je le sens déja, ici je vais bien m'amuser.
Je regarde rapidement le gardien qui arrive, il est plutôt grand, peut être un peu trop.

Il salut c'est collègue après les avoir éxaminer, ceux ci se tirent sans rien dire en retour, ils doivent pas tellement aimée l'endroit, l'homme à qui j'ai tiré une carte me regarde bizarement mais je n'ai pas le temps de suivre son regard que le gardien m'attrape par le col et me pousse jusqu'à l'interieur de la cour avant de fermer la porte.

Ensuite, il avance tout en me repoussant vers le hall, c'est alors qu'il m'adresse pour le première fois la parole, oh miracle. Le coup de la petite il aurait pus éviter même si il à pas tort, a mon grand dâme, je suis sur qu'il est fière de sa petite tirade. J'aurais préferer qu'il se taise plutôt que de dire dès bétises pareille.

Mais quel acueil chaleureux, on se sent tout de suite à son aise

En même temps que j'avance, je sens mes cartes dans ma poche, j'aimerais bien que le gardien tire une carte, cela serait peut être la mort, et j'abregerais alors sa vie.
Il fait que j'apprene à être patiente je suis sûr que mes mmeurtres ne seront que plus artistique

Mais quel acueil chaleureux, on se sent tout de suite à son aise"

Je manque d'éclater de rire. Et la pousse un peu plus fort vers le fond du hall. Je détache ses chaines - les prisonniers sont libres de circuler ici - et lui indique le couloir des détenus.

"Tu t'attendais à quoi, ma jolie ? T'es pas dans un camp de vacances, là... T'es dans un camps de concentration..."

Un sourire sadique se dessine sur mon visage et je me penche à son oreille.

"Tu veux que je te fasse visiter la salle de torture ?"

Je me redresse en riant... j'aimerais bien qu'elle dise oui... juste pour pouvoir m'amuser un peu...

L'homme détache mes chaine, après m'avoir poussée un peu plus fort, pitoyable, mais je les comprends, les pauvres, ils n'ont que ça pour se divertir, il doit vraiment s'emmerdr, ou alors c'est un sadique.
Je me frotte les poignet, là où les chaîne m'entravaient quelques minutes plus tôt. Une marque rouge est légerement visible, rien de bien grave.

Je préfère le camp de concentration au camp de vacance, c'est plus divertisant.

Ba oui, si je voulais partir en vacance, je serais pas là, c'est evident, rien ne m'avait obligé de me rendre, les cartes m'avaient juste indiquée une direction, je n'avais fait que la suivre.
Puis il se penche vers mon oreille, aux mots salle de torture, mes yeux brillèrent d'un éclat indéfinnissable, que ma visite ici serait interresante, avec une salle comme ça, mon jeu ne serait que plus satisfaisant.

Salle de torture, voila qui est digne d'intêret, ces vacances seront encore plus divertissante que je ne le pensait.

Ma réponse n'etait pas clair, comme d'habitude, à lui de décider si il voulait y aller, à ses riques et péribles.

Ses réponses me font sourire, elle a la même vision que moi de l'endroit... Mais elle n'est pas gardien ici... Elle n'est donc ici que pour subir ! Il serait peut être temps de le lui faire comprendre. Je la presse vers le couloir des prisonniers et marche derrière elle. Puis, d'un coup, je glisse ma main sous son menton et me saisi de son cou. Je la soulève du sol et la plaque contre moi. Je glisse ma main sous sa jupe et la fait remonter lentement le long de sa cuisse. Je n'y prends aucun plaisir, je n'ai pas d'intérêt pour les femmes, mais le but est uniquement de lui faire peur. Je souffle ensuite dans son oreille:

"Tu n'es pas en vacances, tu n'es pas là pour t'amuser. Ici, ce sont les gardiens qui ont des activités divertissantes, surtout ne l'oublie pas !

Le gardien reavance, il me fait avancer dans un couloirs, et marche derrière, je suis occupée à memoriser chaque couloirs que nous appruntons, plus tard je ferais un plan de chaque piéce de cette prison, comme ça je nconnaitrais un peu mieux mon précieux terrein de jeu.

Sans trop que j'ai le temp de remarquer ce qui ce passe, il passe sa main sous mon menton, et ses doigts se resserent sur ma gorge, il passes sa main sous ma jupe, et la remonte, avant de me murmurer un tissu d'annerie aux creux de mon oreille.

Mes yeux dorée c'était posée sur lui, ils n'exprimaient rien, on aurait pu être en train de prendre le thé que cela n'aurait rien changé

Si je suis ici, c'est uniquement par ce que je les biens voulu, et je ne laisserais personne, qu'il soit gardien où non, gacher mon petit jeu. Maintenant enlève ta main avant que je m'énèrve.

L'une de mes mains avaient attrapée une carte dans ma poche, je n'avais qu'une envie, c'est que se soit la mort, comme ça je pourrais tuer ce gardien, maintenant, ou plus tard, tandis que l'autre était prète à agir en cas de nécéssiter.

Je me redresse, ne la lachant pas, ses pieds quittent le sol. Je vois bien ses yeux inexpressifs... Mais voit-elle les miens brillants de sadisme ? Je prends un plaisir certain à la provoquer. Mes doigts se ressenrent sur sa gorge alors que je griffe la peau de sa cuisse.

"Ce n'est pas à toi de me donner des ordres, jeune fille... Tu t'es jetée ici de ton plein gré, c'est ton probleme, maintenant, tu n'es plus rien ni personne !"

Je la jette à terre et elle glisse sur quelques metres et je marche lentement jusqu'à son niveau.

"Cellule R, voilà, tu es chez toi... A la prochaine !"

Je lui jette un regard de mépris et m'éloigne de quelques pas avant de la regarder... juste pour voir de qu'elle fait...

Je ne le quitte pas dur regard, il a une lueur sadique dans les yeux, il doit aimer faire souffrir,mais si il s'attend à ce que je réaggisent à lui, il se trompe, mes pieds ne touchent plus le sol, il ressere ses doigts, et m'écorche la peau de ma cuisse, je ne lui jette qu'un regard de pitié, c'est tout ce qu'il mèrite.

Pff, j'espère que tu te rend compte que tu es pitoyable.

Ensuite, il me jette à terre, ce qui me fait glisser sur quelques mètres, il se rapproche alors à mon niveau.

Il s'éloigne, et fait mine de partir, je sort alors la carte, le diable renversée, un sourire se déssine sur mes lèvres, il préche pas exés de plaisir, il se conduira lui me^me a sa perte, même si pour ça je dois l'aider un peu.

Je me releve, epouste ma jupe, et lui lance un regard, mon sourire aux lévres, je lui adresse une reverence histoire de dire qu'il ne ma quère impressionée.